Directeur Général d’Audencia business school depuis le printemps 2018, Christophe Germain revient pour The Mag sur la stratégie spécifique d’Audencia en matière de partenariats internationaux.
L’international est un élément clé de la stratégie des écoles de commerce. Où en est Audencia sur ce point ?
Christophe Germain : L’internationalisation se conjugue sur deux tableaux complémentaires. Il y a d’abord les étudiants étrangers que nous attirons sur notre campus. Ils viennent suivre nos différents programmes via des échanges ou en tant qu’étudiants Audencia. Il y a cinq ans, 25 % des étudiants de l’Ecole venaient d’un autre pays. Aujourd’hui, ils sont environ 40 % des effectifs, avec 102 nationalités différentes qui représentent près de la moitié du globe ! L’autre vecteur de l’internationalisation consiste à permettre à des étudiants français d’aller vivre une expérience ailleurs. Audencia a mis en place une stratégie de partenariats réellement différenciante sur ce point.
En quoi Audencia fait-elle la différence ?
Christophe Germain : Plutôt que d’établir des relations avec des institutions à l’étranger pour échanger des étudiants, nous développons des partenariats approfondis avec des institutions locales, basés sur l’élaboration commune de projets, de programmes, d’activités de formation initiale ou continue. Il s’agit d’intégrer l’écosystème local, d’en faire partie à termes. C’est le sens des partenariats que nous avons passés avec Shenzhen ou Pékin, par exemple. Ils se matérialisent soit par une école telle que Shenzhen Audencia Business School, développée en partenariat avec l’université de Shenzhen en 2016, soit par un campus. Nous investiguons d’autres pistes dans le monde. Des projets de partenariats devraient aboutir dans les 18 prochains mois.
Quels bénéfices les étudiants d’Audencia en retirent-ils ?
Christophe Germain : Cette stratégie partenariale nous permet de proposer une valeur ajoutée augmentée à l’étudiant. D’une simple période d’études à l’étranger, celui-ci accède à une période d’études renforcée par la possibilité d’être en contact direct avec l’écosystème local. En accédant aux réseaux de l’institution partenaire, les étudiants ont bien plus de possibilités de faire des stages sur place et de profiter des opportunités de carrière. Cela permet aussi aux étudiants d’aller chercher un double diplôme. Avec le diplôme chinois de la Shenzhen Audencia business School, on multiplie ses chances de trouver son bonheur sur le marché local !
Guy-Pierre Chomette, Rédacteur
Même si elle a du mal à s’imposer dans les entreprises, l’interculturalité a le vent en poupe. A l’heure d’un monde ouvert et interdépendant, elle est plus que jamais nécessaire.
Professeur à Audencia, Guilherme Azevedo possède trois nationalités : brésilienne, canadienne et lituanienne. Un profil idéal pour celui qui a fait de l’interculturalité l’un de ses domaines de recherche académique.
Mais de quoi s’agit-il au juste ?
« À la différence du multiculturalisme qui compare des cultures sans rien nous apprendre de leur rencontre, l’interculturalité nous permet de comprendre leur fonctionnement lorsqu’elles s’entremêlent, avance celui qui a également vécu dans plusieurs pays. Les cultures changent, elles sont en mouvement. »
Dans ce contexte, l’interculturalité est souvent vécue comme une couche supplémentaire de complexité dans les entreprises, alors qu’elle apporte une véritable valeur ajoutée. Mais pour que celle-ci soit supérieure à celle d’une organisation monoculturelle, encore faut-il voir dans la diversité un bénéfice incontestable et la considérer dans son sens le plus large : l’interculturalité se nourrit de la rencontre de personnes de différentes nationalités mais également de différentes professions, classes sociales, générations ou encore orientations sexuelles, pour ne donner que quelques exemples.
« Pour déceler la valeur de l’interculturalité, il faut une certaine tolérance, avance Guilherme Azevedo. Cela ne va pas fonctionner si l’on oblige des personnes de différentes cultures à travailler de la même manière. Pour chaque culture, il y a autant de manière de penser qui peuvent être utilisées de façon créative. Un mode de management plus inclusif, plus respectueux de la différence est nécessaire. Il s’agit de donner de la valeur à ce qui est différent ! »
Dans un contexte de mondialisation très poussée, il n’existe plus de marché isolé. Dès lors, l’interculturalité est devenue une réalité. Ceux qui ne sont pas capables d’en extraire de la valeur seront perdants, affirme Guilherme qui ajoute que la crise écologique mondiale illustre la nécessité de l’interculturalité :
« Personne ne pourra relever ce défi sans précédent de manière isolé. Nous devons unir nos forces. Sur ce point, nous n’avons d’autres choix que de travailler avec des gens qui viennent d’autres horizons. Aller à l’international est presque devenu une obligation morale pour ceux qui ont le privilège de pouvoir le faire. »
Lire une publication de Guilherme
Guy-Pierre Chomette, Rédacteur
S’expatrier, c’est une expérience tentée par d’anciens étudiants d’Audencia, comme Estelle Marie (GE 04), Olivier Papon (GE 14) ou Mélina Boudot (GE 14).
Retour sur leurs expériences internationales
C’est en 2007 qu’Estelle Marie a saisi l’opportunité de s’expatrier à New-York pour le groupe Cartier avant de revenir à Paris. Et c’est à Madrid que nous la retrouvons aujourd’hui.
« En 2015, j’ai décidé de démissionner pour suivre mon mari qui a été muté ici. L’occasion de créer sans accompagnement spécifique mon entreprise : une cafétéria workplace. » L’endroit a fermé ses portes en juin dernier. Une occasion pour Estelle de rebondir vers de nouvelles aventures. « Je travaille désormais pour le club business French Founders et j’anime cette communauté de dirigeants d’entreprises et d’entrepreneurs en Espagne, au Portugal et en Suisse. »
C’est d’ailleurs à Genève que Olivier Papon et Mélina Boudot, tous les deux de la même promo, viennent de s’installer après avoir passé trois ans et demi en Australie. Ce couple âgé de 29 ans reconnaît que leur profil d’expatriés a fait la différence auprès des recruteurs, elle en tant que Responsable marketing pour un groupe hôtelier et lui comme Consultant en marketing digital, alors que le marché suisse est « très compétitif ».
Pas si facile que ça !
Durant leur séjour en terre étrangère, ces trois alumni ont dû affronter certains obstacles. Pour Estelle, la barrière de la langue a été la plus grosse difficulté à surmonter, ressentant « beaucoup de frustrations ». Alors que pour Olivier et Mélina la distance avec la famille n’a pas été facile à gérer, en plus d'arriver en « pays inconnu ». Il leur a fallu six mois à un an pour s’entourer d'amis proches. Raison pour laquelle, après « un long cheminement », ils ont choisi la Suisse pour leur seconde expatriation. Et, cette fois-ci, pas question de le faire dans l’urgence. Mélina se souvient en effet d’un départ précipité en Australie.
« Entre le moment où j’ai su que j’étais retenue pour un poste et le moment où nous sommes partis, il s’est passé un mois à un mois et demi. Ça s’est fait beaucoup trop rapidement, sans aucune respiration. »
Mais bien que confrontés à ces quelques difficultés, tous les trois n’excluent pas un jour de repartir ailleurs. D’ailleurs, Estelle conseille à quiconque de tenter l’aventure :
« Une expérience internationale apporte dans une carrière tellement de choses ! C’est s’ouvrir à plus d’opportunités, se remettre en cause... »
Florence Falvy, Rédactrice
S'exporter n'est pas si simple. C'est pourquoi il vaut mieux s'aventurer sur de nouveaux marchés avec des bases solides. C’est ici qu’intervient Business France. Le point avec Pelak Desai (MBA 14), Chargée de développement en Inde
Accompagner les entrepreneurs français à l'international, c’est le rôle de Business France qui déploie ses activités dans quelques 124 pays. Parmi eux : l’Inde où plus de 400 entreprises tricolores sont installées, selon Pelak. Basée à Bombay, où se situe l’un des quatre bureaux de l’organisme, la jeune femme de 29 ans est Chargée de développement. Son créneau : le luxe, la santé, le bien-être, la décoration... Son rôle ? Promouvoir le savoir-faire français, valoriser l'attractivité et l'image économique de l’Inde ou encore « connecter » les entrepreneurs français avec les bons partenaires commerciaux afin de faire se rencontrer les besoins et les offres des deux pays. Des rencontres d'affaires, comme India Design ID (le rendez-vous annuel pour des professionnels de la décoration, du 14 au 18 février 2020 à Delhi), peuvent ainsi permettre de faire dégager des synergies entre diverses entités. Pas moins de 250 à 300 entreprises françaises (1), de toute taille, sont ainsi accompagnées chaque année par Business France Inde. Elles seraient ainsi de plus en plus à vouloir saisir des opportunités de développement à 7 000 kilomètres de chez elles. Il faut dire aussi que l’Inde a « une bonne image de la France ». D’après Pelak, son savoir-faire gage de qualité est reconnu et les relations politiques entre les deux pays sont propices au business.
Des conseils pour (bien) s’expatrier
Toutefois, selon la jeune femme, pénétrer le marché indien est « complexe » mais « pas impossible ». Identifier les bons partenaires, bien appréhender les caractéristiques du marché et sa réglementation, la culture du pays, très différente d’une région à l’autre... sont des étapes essentielles avant d’y aller, pour ensuite adapter sa stratégie et affiner son positionnement.
« Il faut aussi beaucoup de patience et montrer un réel intérêt pour le marché indien », conseille également Pelak. Et d’ajouter qu’il y a notamment de réelles opportunités à saisir sur le marché du luxe et du e-commerce. Car « les habitudes de consommation changent en Inde avec l’augmentation du pouvoir d’achat », indique-t-elle.
A bon entendeur !
Florence Falvy, Rédactrice
(1) Incluant le VIE (Volontariat International en Entreprise) qui permet d'exercer une mission dans une entreprise française à l'étranger.
2019 a vu se concrétiser de nombreux projets : c’est plus de 250 événements qui ont été organisés pour et par des diplômés et plus de 3 200 alumni qui y ont participé.
De nouvelles propositions événementielles ont vu le jour, comme :
Sans oublier :
Merci infiniment à tous les diplômés qui font vivre l’Ecole, ses événements et son réseau. Vous avez fait honneur à ces nouvelles propositions et les avez rendues incontournables pour l’année à venir.
2020 sera une année phare pour l’Ecole qui fêtera ses 120 ans, mais aussi les 20 ans de la marque Audencia, les 10 ans du partenariat avec WWF et les 10 ans de la Fondation. Cette célébration prendra la forme de 120 événements répartis tout au long de l’année et ça commence dès janvier avec la 2ème édition de la Career Connections Week (inscrivez-vous si vous souhaitez venir témoigner auprès des étudiants).
Nous avons hâte de vous dévoiler tout le programme !
Lauranne Heaume et Amandine Luce, pour l'équipe communication et alumni
« Excité », « très enthousiaste », « impatiente » ...
A quelques semaines du salon CES de Las Vegas (du 7 au 10 janvier 2020), les six étudiants d’Audencia sélectionnés pour participer à la prochaine Learning Expedition ne cachent pas leur optimisme. Au départ, ils étaient 66 candidats puis 18 à être venus devant un jury, pitcher leur projet en lien avec le digital et l’entrepreneuriat. Au final, seuls 6 ont obtenu leur billet pour les USA dans le cadre d’une Learning Expedition. Prochaine étape : le CES de Las Vegas.
Parmi eux figure Florian Bartocci (GE 21, ingénieur-manager) qui a réussi à se démarquer grâce à son projet intitulé Brain Services, une application intuitive pour développer les échanges de services entre particuliers.
A ses côtés, il y aura Nicolas Hubert (GE 20, ingénieur-manager), un féru de nouvelles technologies qui a imaginé Visuki. Cette caméra de détection faciale communique avec un système de déverrouillage de portes et ainsi autorise ou non l’entrée.
« J’espère en prendre plein la vue ! », s’exclame Nicolas.
Jeanne Scala Coa (SciencesCom 21) fera elle aussi partie de l’aventure en janvier prochain. Son pitch a porté sur le concept IMPACT. Faisant la part belle aux produits de luxe, cette application mobile vise à aider le grand public à consommer de manière plus éthique et durable, mais aussi les marques à valoriser leurs efforts en matière de RSE via un label.
Pour ces trois étudiants, ce voyage outre-Atlantique se présente comme une « opportunité » d’aller à la rencontre de professionnels, « d’être exposé aux nouvelles technologies qui façonneront le monde de demain », de « découvrir les coulisses de start-ups prometteuses » ou encore de « recueillir de précieux conseils pour entreprendre ».
Et pas question non plus pour Mathieu Hecquet (GE 20) et Antonin Fourcade (GE 20) de rater le départ. Il y a quelques mois Mathieu a lancé un projet de chaîne Youtube appelé Techtonik, dont l'objectif est de vulgariser l'essentiel de l'écosystème tech et startup pour le rendre accessible à tous. Quant à Antonin, il a créé "Prize & Fun", une application mobile permettant aux joueurs de gagner des prix offerts par les entreprises.
Se confronter au regard d'experts
Estelle Thomé (GE 21) va elle aussi s’envoler pour Las Vegas et compte bien profiter de cette expédition pour présenter sa solution Lightech. Objectif ? Remplacer les lignes peintes au sol sur les terrains multisports par des lignes LED qui peuvent être contrôlées via un Smartphone Android ou un Apple connecté au Bluetooth pour ainsi s’adapter aux besoins des joueurs.
Reste à leur souhaiter bon voyage !
Florence Falvy, Rédactrice
Le campus historique fait peau neuve
Ça y est après deux ans de travaux, les étudiants disposent désormais de nouveaux espaces de travail et d’apprentissage.
D’abord, l’ex-médiathèque, devenue The Knowledge Hub. Le nom anglais fait écho à la forte internationalisation de l’Ecole. Cet espace de 1 080 m2 a une capacité de 222 places et chacune possède sa propre prise électrique, pour le confort des étudiants. Ils ont aussi à leur disposition 8 salles de travail, 6 postes informatiques et accès à 11 000 ouvrages. 8 documentalistes sont là pour les aider dans leurs recherches. Le tout dans un décor lumineux et fabriqué par des entreprises locales.
Exit les salles informatiques ! Elles ont été remplacées par un Student Hub. Constitué de 95 places et 6 bulles, ce lieu moderne permet de réaliser des entretiens téléphoniques en toute tranquillité. Des places individuelles, des alcôves de 4 personnes ou des grandes tables y ont été aménagées pour réunir les meilleures conditions de travail.
Trois amphithéâtres ont aussi été rénovés. A la pointe de la révolution numérique, ils se pilotent tous via un écran tactile et sont totalement automatisés par la lumière, la projection des cours et la diffusion des documents audio.
Et puis enfin, des travaux sont en cours de réalisation sur Audencia Atlantic Campus. Ils devraient être terminés à l’été 2020. Le bâtiment sera rehaussé d’un étage supplémentaire de 250 m2 et les espaces intérieurs seront entièrement repensés pour combiner innovation, cohésion entre étudiants, entreprises et personnel.
Naissance d’un campus en Vendée
Et de 5 ! Audencia va installer d’ici septembre 2020, son cinquième campus français en Vendée, plus exactement à La Roche-sur-Yon. Baptisée Audencia Campus Vendée, cette nouvelle école de management a été réalisée en partenariat avec la CCI Vendée. Elle s’inscrit dans une volonté d’étoffer l’offre économique du territoire afin de répondre aux besoins en recrutement des entreprises locales.
Deux programmes de formation initiale y seront enseignés dès la rentrée prochaine. D’abord un Bachelor pour un groupe de 40 étudiants. Il s’agit du programme post-bac d’Audencia délivrant un diplôme visé Bac +3, qui est actuellement déployé à Nantes. Et puis, un Mastère spécialisé qui accueillera 20 étudiants sera également proposé. Ce diplôme délivrera un Bac +6. D’autres mastères spécialisés pourront voir le jour plus tard.
Géraldine Lance, Rédactrice
Surprises, animations et retrouvailles étaient les promesses du premier Audencia Homecoming Day, la célébration commune de tous les anniversaires de promotion, qui s’est tenue le 12 octobre. Alors quel bilan pour cette première édition ?
A en croire les 200 diplômés présents, l’événement a répondu à leurs attentes… Le rendez-vous était donné à 13h30 sur le campus nantais, route de la Jonelière. Certains n’y étaient pas revenus depuis des années, comme Julie Ferté (GE 99) :
« Homecoming a été l'occasion de partager de bons moments avec des personnes que je n'avais pas vues depuis longtemps, de me replonger dans mes années étudiantes et de redécouvrir Nantes pour la première fois en 20 ans. »
Dès 14h, le ton était donné ! Antoine Lambert (GE 06) de la Belle Boite, a accueilli nos alumni dans l’amphi Edit de Nantes pour une plénière originale et toute en humour. A partir de 16h, l’ambiance est montée d’un cran avec le challenge inter-promo, brillamment remporté par la GE 09. Répartis en équipes, les diplômés se sont affrontés sur 8 ateliers. Nicolas Mathias (GE 09) :
« Je m'attendais à passer "simplement" du bon temps avec mes amis, mais cette journée a été bien au-delà de mes attentes. Les animations et l'ambiance de folie l’ont rendue inoubliable. »
Enfin, point d’orgue de cette première édition, la soirée s’est déroulée sur l’île de Nantes. Le rendez-vous était d’abord donné au pied de l’Eléphant qui a accompagné les diplômés jusqu’à la Hab Galerie. Au menu : un dîner gastronomique imaginé par le chef étoilé Jean-Yves Guého, puis une soirée festive entrecoupée de temps forts et d’animations, le tout en musique.
Des alumni comblés qui ont déjà hâte à la prochaine édition
Promos 2015, 2010, 2005 et consorts, le rendez-vous est pris pour l’année prochaine : réservez votre 10 octobre 2020 !
Amandine Luce, pour l'équipe Audencia Alumni
J-100 avant le lancement de la 2ème édition de Audencia Around The World, une galaxie d’événements adossés à une campagne digitale d’envergure pour accroître la visibilité, la mobilisation et le dynamisme des communautés de diplômés d’Audencia dispersées à travers le monde.
Le principe, initié en 2019 par les équipes d’Audencia, relayé par 56 diplômés volontaires, est simple : huit jours pour marcher sur les traces de Jules Verne et faire le tour de la planète Audencia Alumni en une série de rencontres audacieuses, conviviales et inspirantes, mixant les parcours, les formats, les programmes.
Résultat : une semaine riche de découvertes, ultra-mobilisatrice avec plus de 450 diplômés participant à l’un des 31 événements organisés autour du monde, 308 alumni reconnectés au réseau, 3 nouvelles communautés créées (Séoul, Chengdu et Alger), 6 nouveaux ambassadeurs, 35 membres du staff et de la faculté d’Audencia engagés. Et au bout du voyage, une grande fierté, plus de 90 témoignages reçus pour constituer un magnifique roadbook souvenir, et un engagement jamais atteint auparavant de la communauté des diplômés d’Audencia sur les réseaux sociaux.
Vous l’avez compris : Audencia Around The World redémarre. La préparation d’une édition 2020 encore plus ambitieuse et rayonnante commence aujourd’hui avec la mobilisation de tous les alumni volontaires pour organiser un événement localement, relayer les actions de leurs communautés, participer de près ou de loin à ce projet construit pour accroître la présence et les liens des diplômés de tous les programmes d’Audencia dans le monde.
Audencia Around The World 2020, c’est :
En 2019, Liming Meng (MSCPM 19) a manqué l’opportunité à Helsinki, mais espère bien l’ajouter sur la carte en 2020 ! Si comme elle, vous avez envie de rejoindre cette aventure, contactez Katie Francois, Responsable du développement international Audencia Alumni, par mail : kfrancois@audencia.com.
Florence Alix-Gravellier, pour l'équipe Audencia Alumni
Cap à l’Ouest avec la Frogs Cup, une régate caritative organisée par le French American Yacht Club de New-York. Le 6 octobre dernier, ils étaient cinq étudiants d’Audencia en échange à Pace University à prendre le départ de cette course et à naviguer au milieu des mythiques gratte-ciels. L’équipage 100% Audencia, tout débutant ou presque, n’a pas démérité. Ils ont concouru dans une ambiance chaleureuse et se sont vu remettre le prix de l’équipe la plus féminine de la course !
A l’issue de la régate, étudiants et diplômés d’Audencia établis à New York ont pu partager un moment de convivialité, orchestré par Hervé-Pierre Beauchesne (GE 99). Echanges et conseils très appréciés par nos étudiants-apprentis matelots : Thomas, Aymeric, Alizée, Clothilde et Alix.
Changement de décor et direction l’Australie
Deux nouvelles éditions de French Aussie Drinks se sont déroulées : le 31 octobre à Sydney et le 14 novembre à Melbourne. Le concept ? Réunir une fois par mois, autour d’un verre, la communauté « Business » francophone établie en Australie. Ces rendez-vous informels facilitent les contacts et permettent de tisser des liens avec le monde des affaires franco-australien, le tout dans une ambiance festive et décontractée.
Ces événements sont gratuits et tous les alumni des Grandes Ecoles françaises y sont les bienvenus, ainsi que ceux des universités de Melbourne, The Swinburne University of Technology ou La Trobe University.
Merci à nos ambassadeurs établis en Australie de coordonner ces rendez-vous pour les Audenciens :
Le rendez-vous est pris chaque dernier jeudi du mois !
Enfin, retour à Nantes
Depuis 8 ans, chaque dernier vendredi de novembre est sacré pour les diplômés d’Audencia Bachelor et cette année n’a pas dérogé à la règle. Ce sont ainsi plus de 200 diplômés de l'EGC, l'IPAC, l'EAC ou d'Audencia Bachelor qui se sont retrouvés ce 29 novembre dans les locaux du programme, pour leur Welcome Back. Ce rendez-vous annuel est devenu LE moment de retrouvailles, de partages, d’échanges, privilégié pour les diplômés de ce programme. Ambiance festive et conviviale garantie !
Géraldine Lance, Rédactrice et Amandine Luce, pour l'équipe Audencia Alumni
Attention addiction ! Aventure, ouverture, adaptation permanente… Il est souvent délicat de tourner la page sur l’international après y avoir goûté. À moins de bien préparer son retour au pays natal.
Thaïlande, États-Unis, Chine, Allemagne… Jérôme Beilvert (MBA 10) a passé 12 ans à l’international depuis sa sortie de l’Institut catholique des Arts et Métiers de Nantes en 2001. Sa première véritable expérience des horizons lointains remonte à 2007, lorsqu’il prend en charge la direction industrielle asiatique de Guy Degrenne. Basé à Bangkok, il réalise combien l’expérience de l’expatriation lui apporte de satisfaction, à la fois en termes d’ouverture au monde et de connaissance de soi.
De retour en France en 2009 pour suivre le MBA d’Audencia, il n’aura de cesse de repartir à l’étranger une fois son diplôme en poche. Que ce soit à Atlanta, à Shanghai ou à Francfort pour des entreprises aussi différentes que Gravotech (marquage industriel), Autajon (packaging de luxe) ou Fayat (construction), il éprouve la même stimulation à devoir s’adapter aux différentes cultures :
« Partir en Chine pour travailler, témoigne Jérôme, c’est un peu partir faire un 100 mètres en chaussures de ski. Vous êtes différent, vous ne parlez pas la langue. Vous êtes en alerte, dans une sorte de dynamique et de remise en question permanente, à essayer de progresser. Vous ne pouvez plus autant vous appuyer sur vos acquis et cela créé une sorte de tension positive qui nécessite une ouverture aux gens, à la différence. »
Ses différents retours en France lui ont ouvert les yeux sur les difficultés à se réintégrer, socialement et professionnellement.
« C’est difficile de partager son expérience quand on revient en France. Il faut recréer des liens sur autre chose que ce que l’on a vécu à l’étranger. Mais le plus important, dans le retour, c’est le job. Si l’on revient pour un poste dont le périmètre est essentiellement la France, c’est très difficile. Travailler à l’international, c’est un savoir-faire. Le perdre peut provoquer des frustrations. Si l’on doit revenir, il faut que cela soit pour un job tourné vers l’international. »
Tenté par l’entreprenariat, Jérôme a dans l’idée de racheter une entreprise en France. Condition sine qua non : qu’elle ait un gros potentiel à l’international ! Accroc, Jérôme ?
« Peut-être ! En vivant à l’étranger, on développe des parties du cerveau qui sont de l’ordre de la connexion interpersonnelle, de l’intérêt pour les cultures différentes, de la dynamique permanente. Difficile de tourner la page ! »
Guy-Pierre Chomette, Rédacteur
La mobilité professionnelle internationale est un saut vers un inconnu qui mixe excitation, ambition, envie d’ailleurs, goût du risque, peur d’échouer, difficultés et bien d’autres sentiments contradictoires. Mais quand 40% des étudiants d’Audencia sont internationaux, quand les parcours des diplômés sont toujours plus globaux, l’expatriation devient un projet à considérer attentivement à un moment ou l’autre d’une carrière.
Qui mieux que Luis Maceda (MBA 18), né à Mexico et maintenant installé à San Francisco pour témoigner de cela ?
Quel a été votre itinéraire ?
Luis Maceda : J’ai grandi et étudié la comptabilité au Mexique, décroché mon premier poste chez PwC à Mexico, où j’auditais principalement des compagnies d’assurance, des fonds d’investissement et des courtiers. A leur contact, j’ai eu envie de me spécialiser en finance d’entreprise et tenter l’aventure MBA dans un environnement international. J’avais l’idée de développer ainsi mes soft skills en me confrontant à d’autres habitudes, d’autres marchés.
Pourquoi rejoindre maintenant San Francisco ?
Luis Maceda : J’adore le changement et l’idée d’expérimenter de nouveaux endroits avec tout ce que cela implique : la culture, les coutumes, la gastronomie, la langue… En quittant le Mexique pour venir faire mes études en France, je suis déjà largement sorti de ma zone de confort et j’ai beaucoup aimé cette expérience. J’ai eu envie de la renouveler, tout simplement et cette fois, en partant aux Etats-Unis, un pays offrant des opportunités uniques en termes d’apprentissage et de business.
Comment avez-vous décroché cette opportunité ?
Luis Maceda : Le réseau est un maître-mot. J’ai essayé plusieurs fois de décrocher un job dans un Big 4, avec une préférence pour PwC que je connaissais déjà. Mais cela ne marchait pas car les recruteurs sont pris d’assaut. Alors j’ai adopté une approche réseau méthodique, pour contacter les bonnes personnes au bon moment, en m’appuyant sur des relations nouées tout au long de mon parcours. C’est ça qui a marché.
Comment voyez-vous votre intégration ?
Luis Maceda : Les différences d’environnement de travail et d’interactions professionnelles sont fortes par rapport à ce que j’ai connu auparavant. Mais je suis certain qu’avec le temps, cela ira. Mon conseil pour ceux qui veulent partir, c’est d’ailleurs de planifier autant son départ que son arrivée sur place. Et surtout de bien réfléchir à la destination choisie : est-ce bien celle qui te conviendra personnellement ? Visiter la ville une ou plusieurs fois mais aussi se donner le temps de choisir un logement, ne pas se précipiter. Pour l’instant, je suis dans un AirBnB en attendant d’être plus sûr de moi.
Bonne chance, Luis, dans cette nouvelle aventure !
Florence Alix-Gravellier, pour l'équipe Audencia Alumni
Depuis qu’il en est sorti diplômé en 1964, Philippe Cholet est toujours resté attaché à l’Ecole d’une manière ou d’une autre, comme à travers les dons qu’il fait à la Fondation Audencia.
Pourquoi et comment êtes-vous resté attaché à votre Ecole ?
Philippe Cholet : La promotion 1964 comptait soixante étudiants. Nous nous connaissions tous, il y avait une vraie camaraderie. Je suis longtemps resté en contact avec eux, plus qu’avec l’Ecole elle-même que l’on a tendance à oublier une fois diplômé. Les années passant je me suis à nouveau tourné vers l’Ecole. Je me souviens avoir été démarché par trois étudiants pour verser la taxe d’apprentissage à Audencia. Je n’ai pas hésité une seconde ! Plus récemment, mon attachement à l’Ecole se retrouve dans le soutien que j’apporte à la Fondation et dans ma présence au premier Homecoming Day du 12 octobre, par exemple.
Votre soutien à la Fondation Audencia se traduit par des bourses de vie attribuées à des étudiants méritants qui ont besoin d’aide, notamment pour leurs projets entrepreneuriaux. D’où vous vient ce penchant pour l’entrepreneuriat ?
Philippe Cholet : J’ai fait une grande partie de ma carrière dans des grands groupes mais j’ai toujours été attiré par la création d’entreprise. À 26 ans, alors que je commençais dans mon premier poste, je lançais en parallèle une affaire avec deux de mes frères. Je passais mes soirées avec eux à monter une entreprise de signalétique de magasins. Une double vie professionnelle ! Puis j’ai créé SIGMA, une holding familiale de capital-risque qui gère aujourd’hui 23 filiales et participations dont SIGMA GESTION qui a levé et investi 200 millions d’euros au travers de fonds FIP et FCPI. Nous ciblons les PME à fort potentiel et les projets entrepreneuriaux prometteurs. En France, quand on a un bon projet et une bonne équipe, on peut réussir. Il y a beaucoup d’opportunités pour se développer : des petites sociétés de capital-risque comme la nôtre, la BPI, le crédit d’impôt recherchent…
Que diriez-vous aux diplômés pour les inciter à soutenir les étudiants d’Audencia via la Fondation ?
Philippe Cholet : Donner, ce n’est pas cher ! Un don de 100 € ne coûte que 34 € après la réduction d’impôt. Je donne chaque année à diverses associations, Médecins sans frontières, la recherche sur le cancer… Mes dons à la Fondation Audencia ont une place importante car ils reflètent mon attachement à l’Ecole et ma confiance dans la formation qu’y reçoivent les étudiants. Il faut penser à ceux qui ont besoin d’aide pour mener leur projet à bien.
Guy-Pierre Chomette, Rédacteur
Pour sa campagne de fin d’année, la Fondation Audencia fait appel à votre générosité pour contribuer au succès d’étudiants méritants pour lesquels votre don est indispensable, à l’image d’Amélie, Fantine, Kévin et Niels.
Amélie Dominique Goubo (FAM 18). Aide reçue : 2 500 €
« Après avoir étudié quatre ans au Ghana où j’ai obtenu un diplôme en agribusiness management, j’ai rejoint le master Food and Agribusiness Management d’Audencia grâce au soutien de la Fondation Audencia. Cela me permet d’acquérir les compétences et de me créer le réseau pour réussir. »
Fantine Bendano (GE 19). Aide reçue : 700 €
« Je tente d’orienter mes études et mes expériences professionnelles vers ma passion : l’art, le théâtre et la culture. Je suis partie faire un stage de marketing et de communication au Centre National des Arts du Canada, la plus grande institution culturelle du pays. Un rêve ! Je n’aurais pas pu faire ce stage non rémunéré sans l’aide de la Fondation Audencia. »
Kévin Hamon (GE 19). Aide reçue : 1 600 €
« Étudiant en école d’ingénieur (Mines) et de commerce (Audencia), j’ai déjà porté plusieurs projets entrepreneuriaux. C’est une vraie passion ! La bourse de la Fondation Audencia m’a permis de lancer « Âmes de Bretagne », une web-série accessible sur les réseaux sociaux. »
Niels Rolland (GE 19). Aide reçue : 2 000 €
« La Learning Expedition aux États-Unis est une des meilleures choses qui me soit arrivée dans le cadre de ma scolarité à Audencia ! Il faut absolument qu’une deuxième édition voit le jour et que l’événement se pérennise, avec plus d’étudiants que l’année dernière ! »
Comme d’autres camarades de promotion soutenus par la Fondation Audencia, Amélie, Niels, Kévin et Fantine n’auraient pu aller au bout de leurs projets sans le soutien de nombreux donateurs. Bourse de vie attribuée dans le cadre de l’ouverture sociale et de l’entrepreneuriat étudiant, financement de la Learning Expedition aux États-Unis : quelle que soit la destination que vous souhaitez lui donner, quelle que soit son ampleur, votre geste leur permettra de transmettre le flambeau à d’autres étudiants Audencia pour les soutenir sur les chemins de la réussite.
Guy-Pierre Chomette, Rédacteur
Opter pour le travail à domicile et exercer une activité professionnelle exclusivement tournée vers l'international, ce n’est pas incompatible. Exemple avec Tarek Alassar (IMM 14), en qualité de country manager, il représente aujourd’hui une entreprise parisienne dans plusieurs pays étrangers.
Aider les entreprises françaises (multinationales, startups, PME) à se lancer, à s’établir et à se développer à l’international. C’est le job de Tarek, diplômé International Master in Management. Agé de 28 ans, il a déjà fait ses armes chez Alcatel-Lucent (Nokia Networks) en charge du portefeuille international. Il a aussi contribué à développer les affaires du site e-commerce Pixmania au Royaume-Uni et en Irlande, mais aussi officié chez Dayuse et aidé cette start-up française (réservation de chambres d'hôtels en journée) à poursuivre son développement international au Moyen-Orient (Émirats Arabes Unis, Arabie Saoudite, Oman, Bahreïn), en Australie ainsi qu’au Royaume-Uni.
Depuis début 2018, il occupe le poste de country manager chez Legos qui opère dans les secteurs de la technologie des télécommunications B2B. Et c’est de Paris, où se situe le siège de l’entreprise et où il a élu domicile, que Tarek a permis le développement de Legos au Royaume-Uni, en Irlande, en Allemagne ou encore en Pologne. Dans sa ligne de mire pour 2020 : l'Amérique du Nord et le Canada.
Pour le travail flexible
Si Tarek n’est pas sans se rendre au siège de l’entreprise, ni faire des allers et retours au Royaume-Uni, il a opté pour le travail à domicile sur un rythme d’une fois par semaine. Selon lui, « chaque mode de travail a ses propres avantages ». Ainsi, travailler à distance lui procure une certaine « flexibilité » et lui permet d’être plus productif sur certaines tâches quotidiennes pour lesquelles il n’a pas besoin de travailler en mode équipe : préparer des contrats, assurer des conférences téléphoniques avec des clients internationaux, envoyer des courriels, réaliser des études de marché... Skype, Zoom, Outlook, WhatsApp... sont autant d’outils qu’il utilise pour travailler avec ses clients aux quatre coins du globe tout en gommant la distance physique. Tarek pense d’ailleurs que plus d'entreprises devraient introduire le travail à distance car cela fait « une grande différence », selon lui. A la clé ? Une plus grande productivité.
Florence Falvy, Rédactrice
Peu à peu, les métiers de la finance s'ouvrent aux femmes. En témoigne le parcours de Katherine Salguero (MBA 16). A 33 ans, la jeune femme d’origine colombienne a déjà une belle carrière dans ce domaine et est déjà une business woman accomplie. Sa touche à elle : un état d’esprit international et entrepreneurial.
Voilà 10 ans que Katherine Salguero évolue dans le domaine de la finance et manie les chiffres avec aisance. Un rôle stratégique pour cette diplômée MBA.
« En tant que professionnel de la finance, vous pouvez comprendre le fonctionnement d’une entreprise et contribuer à sa croissance. Même si c’est un secteur à prédominance masculine, c’est un métier passionnant et stimulant », indique-t-elle.
Cet univers, elle l’a notamment côtoyé de près lorsqu’elle a souhaité lancer son entreprise de vêtements bio pour bébés dans son pays d’origine, la Colombie. Mais aussi lorsqu’elle a travaillé pour le fonds d’investissements Solidus Capital. Puis c’est du côté des Pays-Bas, chez Randstad, qu’elle a décidé de poursuivre sa jeune carrière dans la finance.
« En 2018, j'ai commencé comme analyste financière internationale pour une société opérationnelle appelée Randstad Sourceright, pour la région EMEA (région économique qui regroupe les pays d'Europe, du Moyen-Orient et de l'Afrique). »
Et voilà trois mois que la jeune femme de 33 ans travaille en tant qu'analyste en investissements pour le fonds d'innovation Randstad.
« C’est un fonds de capital-risque stratégique destiné à favoriser l’innovation et à soutenir l’ambition de Randstad d’être un chef de file dans son domaine. Le fonds investit dans des entreprises spécialisées dans la technologie des ressources humaines, qui sont à la pointe de la technologie ou qui transforment le monde du travail », conclut-elle.
Florence Falvy, Rédactrice
Go France! - The guide to working in France
Rédigé avec l'aide de professionnels des ressources humaines et d'anciens étudiants internationaux, Go France est le fruit d'un effort conjoint du Centre de carrières d'Audencia et de l'équipe d'Audencia Alumni. Il a pour objectif de fournir aux étudiants internationaux des lignes directrices professionnelles pour travailler en France, des ressources et des outils utiles, mais aussi des informations sur la vie en France et le contexte culturel que les étudiants internationaux vont vivre.
New perspectives in multiple criteria decision making
Cet ouvrage présente un compte-rendu complet des dernières recherches en matière d’analyse des décisions multicritère et des domaines y afférents, organisé en chapitres de grande qualité, préparés par d’éminents spécialistes issus du monde universitaire.
Il couvre les courants conventionnels de la recherche dans ce domaine et explore également des domaines d’application nouveaux et émergents, offrant une référence unique pour le développement de l’analyse des décisions multicritère.
Zopounidis C., Doumpos M., Rui Figueira J. & Greco S. 2019. Springer
A human-centered approach of organizational project management
Au cours des 30 dernières années, les projets sont passés du développement de produits techniques à la gestion du changement en entreprise, et les méthodes de la gestion de projet à la gestion par projet. Suite à cette évolution, de nombreux responsables se retrouvent chargés de projets sans vraiment maîtriser les tenants et les aboutissants de la gestion de projet.
Véritable invitation à la réflexion, l’ouvrage fournit des connaissances globales sur le mode projet et une méthode aisément accessible, à l’intention des étudiants suivant des cours de gestion de projet aussi bien qu’à des instructeurs souhaitant préparer un cours sans imposer de méthode spécifique. Au niveau professionnel, ce livre aidera les responsables de projets organisationnels qui bénéficieront ainsi d’une méthodologie facile à appliquer, même si leur projet n’est pas de grande ampleur.
Bernardin E. 2019. Lulu.com.
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Emilie Tendron, pour l'équipe Audencia Alumni
Quelques Audenciens ont changé de poste ces derniers mois :
Félicitations à eux pour ces belles nominations !
Et si vous aussi, vous souhaitez nous signaler un changement de poste ou une création d’entreprise, écrivez-nous à audenciaalumni@audencia.com
Emilie Tendron, pour l'équipe Audencia Alumni
Le mot de la fin
Merci de nous lire, de nous être fidèle depuis onze numéros et merci pour cette belle année 2019 qui va se clotûrer d'ici quelques jours.
Nous vous donnons rendez-vous en 2020 (début février) pour le prochain The Mag.
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Très belles fêtes de fin d'année à tous,
Votre team Alumni
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