Le magazine semestriel des collaborateurs

Bienvenue dans cette nouvelle édition de l’e-mag Audencia Inside !

Organisés du plus récent au plus ancien, parcourez une sélection d’articles qui retracent la vie d’Audencia au cours des 6 derniers mois. Les 5 enjeux RSE, les nouveaux projets ECOS 2025, "L'île aux Talents" sur la ligne verte du VAN, le nouveau site pour la préparation du concours, l'accréditation de 3 nouveaux Bachelors of Science en Chine, les différents partenariats… tout ce qui a marqué ce semestre (ou presque) est dans l’e-mag. Sur chaque slide, n'hésitez pas à utiliser la barre de navigation pour avoir accès aux différentes informations.

L'e-mag n’est pas exhaustif, mais il vous permet de revivre les temps forts de notre institution au rythme de deux parutions dans l’année. Une paille au regard de la foultitude d’événements qui ponctuent notre quotidien professionnel…

Bonne lecture

Accédez aux communiqués de presse relayant les dernières actualités et développements d’Audencia mis en avant auprès des médias, aux dossiers de presse donnant un aperçu plus global de l’ensemble des activités de l’école et enfin à notre Fact sheet pour consulter nos derniers chiffres-clés.

Vers la newsroom

Dossiers de presse : Corporate et Treeg

Fact sheet

Vous trouverez sous ce lien la revue de presse contenant toutes les retombées du plan stratégique ECOS 2025.

Pendant l'été, Audencia modernise et renouvèle plusieurs de ses espaces.

L'entrée principale du Campus repensée !

Afin d’accueillir l’ensemble de nos parties prenantes dans les meilleures conditions, l’espace d’accueil de l’Atlantic Campus va être repensé ! Au programme, un accès favorisé pour les personnes à mobilité réduite, des portiques sécurisés permettant l’accès aux bâtiments uniquement sur présentation d’un badge Audencia, un double accueil pour délivrer des informations aux personnes tant avant qu'après les portiques sécurisés… 

• Quel(s) impact(s) pendant l'été ?

11 juillet au 21 août, l’entrée principale sera déplacée. Ainsi pour accéder aux bâtiments, vous devrez passer provisoirement par le SAS reliant le hall principal à l'ECE, via la rampe entre le gymnase et les amphithéâtres (cf plan plus bas).
Plusieurs accès au bâtiment principal seront possibles pour les équipes internes via les entrées indiquées en orange sur le plan joint (près du service informatique et côté "espace fumeurs" près de la cafeteria).
Une fois dans le bâtiment, vous pourrez vous diriger vers l’accueil qui sera temporairement délocalisé dans le salon des professeurs. Un fléchage significatif et des oriflammes "Audencia" matérialiseront le cheminement temporaire.

• Le couloir de l'ECE complètement revisité !

Le couloir du Bâtiment ECE a été repensé pour offrir un nouvel espace de vie plus agréable. Les travaux prévus permettront ainsi de proposer une atmosphère nouvelle plus chaleureuse, différents espaces de travail (individuels ou collectifs), une vitrine mettant en avant les produits labellisés Audencia (la boutique) ainsi que l’engagement RSE de notre institution (les différents objectifs de développement durable, notre partenariat avec la WWF, nos labels Lucie, DD&RS...).

Pendant cette période, le couloir sera totalement inaccessible. Il ne sera pas possible d’accéder aux amphis du rez-de-chaussée (sauf exception, lors des rentrée, mais en étant bien conscient qu'ils se trouveront dans des zones encore en chantier), la sortie de la médiathèque ne pourra se faire que par l’entrée côté hall principal, les escaliers seront aussi condamnés et le réfectoire sera uniquement accessible par l’extérieur (en dehors des dates de fermeture : du 8 juillet au 16 août).

Les collaborateurs / visiteurs de l’ECE seront invités à utiliser uniquement la porte automatique à côté de l’imprimerie (niveau -1) pour accéder au bâtiment. L’accession aux différents étages se fera uniquement par l’ascenseur (une signalétique en place permettra de vous retrouver facilement dans les espaces). Pour les collaborateurs passant habituellement par le couloir ECE pour accéder au bâtiment depuis l’arrière du campus (Côté tram et Parking), l’accès au campus pourra se faire, comme mentionné plus haut : 

- Via la porte proche du support informatique.

- Via l’entrée à l’arrière du tripode (espace fumeur, juste à côté de la cafétéria)

• Médiathèque et gymnase aussi concernés par les travaux

Notre Ecole en profitera pour également procéder à un désenfumage de la médiathèque. Une plateforme élévatrice sera également installée pour accéder au premier étage (mise aux normes accès PMR) ! Le gymnase va connaitre aussi des travaux d’embellissement, d’agencement et de structure. Percement des murs porteurs entre gymnase et salle de musculation, installation des nouvelles machines, nouvelle peinture intérieure, agencement des stockages (BDS et Triathlon). Les vestiaires du gymnase seront aussi retravaillés  (la lourde réstauration de ces derniers nécessitera que les étudiants devront se présenter directement en tenue de sport jusqu'à fin octobre). Il n’y aura pas d’incidence sur les flux à l’intérieur du gymnase, qui restera donc accessible, via l'accès depuis le parking.

Comptant sur votre compréhension durant les différentes phases de travaux et les impacts que cela pourrait avoir sur vos activités durant l'été.

Pour sa 11^e édition, le Voyage à Nantes prolonge sa ligne verte sur l’Île de Nantes pour proposer de nouvelles œuvres aux habitants et touristes de la Cité des Ducs. Du 2 juillet au 11 septembre 2022, les voyageurs pourront notamment découvrir les talents des écoles créatives de l’ile de Nantes au travers du projet "L’île aux Talents". Une réalisation portée par les étudiants de 1re année d’Audencia SciencesCom dans le cadre d’un projet éditorial piloté par Estelle Prusker.

Pendant une semaine, au mois d’avril 2022, les étudiants d’Audencia SciencesCom ont interrogé 29 diplômés des 7 écoles du quartier (dont Audencia SciencesCom fait partie) ; un travail initié par le VAN et dans lequel Sylvie Chancelier s’est impliquée aux côtés des directions des autres écoles. L’objectif de ce projet étant de faire découvrir les histoires et personnalités d’anciens étudiants représentatifs de l’ADN de chaque établissement, de leur diversité et de leur dimension créative.

Afin de valoriser ce contenu, un site web a été créé (https://campusdelart.audencia.com). Pour rendre l’expérience encore plus immersive lors du VAN et dans le cadre du parcours Inter-écoles, l’Ecole et les étudiants porteurs du projet se sont associés à Blinkl, expert en réalité augmentée. Ainsi du 2 juillet au 11 septembre, chaque voyageur, armé de son smartphone, sera invité à scanner le QR code présent sur une grande toile posée sur la façade du MEDIACAMPUS, le campus d’Audencia SciencesCom. Au programme : une plongée dans un décor de réalité augmentée, où il devra retrouver différents objets, chacun illustrant l’un des 29 portraits du projet !

Au plaisir de vous y retrouver !

La chaire Impact Positif d’Audencia a piloté le tout premier classement Fairwork pour la France. Ce travail de recherche-action international centralisé par l’Université d’Oxford vise à établir des classements nationaux des plateformes numériques offrant les meilleures conditions de travail.

Le rapport prouve que la marge de progression des 6 plateformes étudiées en France est encore grande. Ayant choisi de recruter les coursiers avec des contrats de travail, Just Eat obtient une note de 8/10, qui pourrait cependant sérieusement baisser à l’avenir. La plateforme coopérative des Coursiers Nantais obtient 7/10, soit la deuxième meilleure note, illustrant l’intérêt de ce modèle. Deliveroo, Uber Eats, Naofood et Stuart doivent mettre en place de nombreux changements pour améliorer leur note actuelle de 4/10.

En 2021, 46% des Français ont eu recours à la livraison de repas, une pratique de consommation boostée par la crise sanitaire. Il est donc utile de sensibiliser les utilisateurs aux conditions dans lesquelles les travailleurs des plateformes exercent leur activité. Car ces derniers sont nombreux : environ 415 000 pour l’ensemble des plateformes numériques, d’après le Palmarès des plateformes 2021 du député Mounir Mahjoubi. Le développement de cette économie a engendré de nombreux débats sur le statut juridique et la protection des travailleurs. Si le législateur français a commencé à réguler le secteur, il a pour l’instant refusé de mettre en place une présomption de salariat, contrairement au projet de directive européenne qui la préconisait fin 2021.

L’équipe de la Chaire Impact Positif d’Audencia a choisi de se concentrer sur 6 plateformes de livraison à vélo, dont les trois leaders du secteur et deux plateformes nantaises : Deliveroo, Uber Eats, Just Eat, Stuart, Naofood et Coursiers Nantais.

La méthodologie utilisée permet aux initiatives Fairwork, dans le monde entier, de sensibiliser toutes les parties prenantes pour viser un triple objectif : faire évoluer les comportements de consommation, les pratiques au sein des plateformes, mais aussi la régulation juridique pour tirer l’ensemble du secteur vers le haut.

Le classement français : de nombreux progrès restent à faire

Just Eat : un 8/10 fragile

Le score de Just Eat, établi en avril 2022, repose en partie sur le statut salarial qu’elle a été la première à offrir à tous ses livreurs en France en 2020, dans un secteur dominé par le travail indépendant. Tous les employés bénéficient du salaire minimum, parfois dépassable avec certaines primes. De plus, Just Eat pourrait voir sa note sensiblement baisser à l’avenir si l’entreprise rétropédale pour mettre à l’œuvre sa décision récente de ne conserver le statut salarié de ses travailleurs que dans les 7 plus grandes villes de France...

La plateforme créée en 1998 obtient à chaque fois les deux points pour les trois critères conditions de travail, contrats et management. En effet, le statut salarial protège la santé et la sécurité des travailleurs, ainsi que le maintien de leur rémunération en cas d’accident ou de maladie. Les travailleurs bénéficient d’un contrat non modifiable sans leur accord. En matière de management, les coursiers peuvent rencontrer ou joindre des coordinateurs, accéder à des formations, et la plateforme a nommé un responsable diversité et inclusion. Conformément à la législation, un comité d’entreprise est bien en place. En revanche, l’étude n’a pas permis à l’équipe Fairwork de démontrer qu’il jouissait d’un pouvoir de co-décision.

Coursiers Nantais : deuxième plateforme du classement avec 7/10

En 2020, l’association Coursiers Nantais a pris le statut de coopérative. En cohérence avec cette forme d’organisation, la plateforme locale a pu prouver qu’elle était réellement dotée d’une gouvernance démocratique lui permettant d’obtenir les deux points du critère de représentation. Elle a choisi de salarier tous ses livreurs et complète le salaire minimum avec un ticket restaurant de 5,20 euros pour chaque jour travaillé, offrant une rémunération de 1400 € nets à leurs coursiers.... Coursiers Nantais obtient également les deux points pour les conditions de travail, car elle offre le filet de sécurité sociale, et améliore la sécurité des livreurs en fournissant et entretenant leur équipement. Son ancrage local et sa petite taille lui permettent une communication régulière en face à face avec ses livreurs, et les entretiens ont démontré que Coursiers Nantais était engagée dans l’égalité des chances, malheureusement l’équipe n’a pu trouver de preuve de sa formalisation par une politique explicite. Par ailleurs, la coopérative veille à ce que ses salariés diversifient leurs missions pour ne pas faire que de la livraison (entretien des vélos, classement des factures, démarches commerciales, etc.)

Uber Eats, Deliveroo et Stuart : 4/10 répartis de la même manière

Les numéros 1 et 2 de la livraison de repas en  France, ainsi que Stuart et Naofood, plateforme locale nantaise, obtiennent tous 4/10. . Ces 3 acteurs nationaux du marché obtiennent exactement la même répartition de notation sur les 5 critères. Il n’a pas été possible de prouver que les livreurs recevaient une rémunération équitable, même si Stuart propose un niveau de rémunération supérieur aux autres plateformes et n’a pas baissé son niveau de rémunération dans la durée. En matière de conditions de travail, les points n’ont pas pu être attribués non plus, faute de preuve. Le statut des livreurs ne leur permet pas de couverture ni de maintien de salaire en cas d’accident ou de maladie.

Le management est le seul critère où toutes trois obtiennent les deux points, ayant pu prouver qu’elles garantissaient des procédures équitables pour les travailleurs, et qu’elles menaient une politique anti-discriminations. Uber Eats est particulièrement proactive sur cette dimension. Elle dispose d’agents spécialisés à contacter en cas d’agression, et désactive les clients auteurs de discriminations, et offre une protection juridique à ses travailleurs qui souhaitent porter plainte et aller en justice, avec une aide allant jusqu’à 5000 €. La plateforme est également celle qui lutte le plus contre la sous-traitance entre livreurs, souvent avec des personnes sans papier. Deliveroo, quant à elle, accompagne ses livreurs vers la création d’entreprise, en leur proposant des ateliers de formation avant un concours de pitch, octroyant des bourses aux lauréats pour lancer leur startup ou financer un diplôme. Enfin, Stuart permet à ses livreurs d’accéder à l’alternance pour évoluer au sein du groupe, voire vers des métiers du numérique.

Naofood : 4/10

"L'alternative locale aux géants de la livraison à domicile" obtient le niveau de base (1 point sur 2) pour les critères "conditions de travail", "contrats de travail" et "management". L’équipe Fairwork n’a pas pu démontrer une rémunération équitable. Comme pour Just Eat et Coursiers Nantais, des preuves positives en matière de conditions de travail ont pu être prises en compte (1 point sur 2). Il faut noter que le score de Naofood révèle surtout l’impossibilité pour l’équipe Fairwork de prouver la formalisation des pratiques, car l’écoute et le dialogue pour améliorer le fonctionnement de la plateforme sont au cœur du fonctionnement de celle qui veut progresser vers un modèle coopératif. Autre bon exemple, elle ne valorise que les restaurateurs ayant une démarche engagée. Ce manque de formalisation pénalisant est lié à la petite taille de la structure et à sa création récente.

Résultats généraux : des initiatives pour progresser, dans un secteur qui reste très précaire

Rémunération

• Si le statut indépendant est préféré par certains, l’étude menée met en lumière que :

• Les données montrent que davantage de principes de travail équitable peuvent être mis en évidence pour les plateformes de livraison de vélos qui utilisent des contrats de travail (Just Eat et Coursiers Nantais). Le salariat représente néanmoins un coût important qui rend fragiles les plateformes qui font ce choix, ce qui explique le retour en arrière que Just Eat s’apprête à opérer en la matière.

• La spécialisation sur la livraison des repas de la plupart des plateformes ne permet pas d’offrir une activité suffisante sur l’ensemble de la journée et engendre donc de longues périodes d’attentes non rémunérées pour les travailleurs indépendants, obligeant souvent les livreurs à s’inscrire simultanément sur différentes plateformes, affaiblissant encore au passage leur situation avec chacune des plateformes.

Conditions de travail

• Les notes de 4 à 8 sur 10 montrent à la fois la diversité des conditions de travail dans les plateformes de livraison à vélo et la grande marge d’amélioration dans ce secteur.

• Les coursiers à vélo, le plus souvent rémunérés à la course, travaillent sous une pression permanente pour aller plus vite, ce qui les met dans des conditions dangereuses sur la route. La formation à la sécurité routière semble largement insuffisante. Seules trois plateformes (Just Eat, Naofood et Coursiers Nantais) fournissent le cadre minimum pour assurer des conditions de travail équitables. Just Eat et Coursiers Nantais sont par ailleurs les deux plateformes assurant un maintien des revenus en cas d’arrêt de travail, grâce au statut salarial.

Contrats

• Just Eat est la seule plateforme répondant au minimum requis en matière de contrat équitable. Naofood et Coursiers Nantais, les deux plateformes locales nantaises, intègrent quant à elles des clauses de non-concurrence qui limitent la liberté de travail des livreurs.

Management

• Si toutes les plateformes étudiées permettent aux travailleurs de pouvoir communiquer avec un responsable, le recours à des chatbots ou call-centers à l’étranger est régulièrement critiqué. Les livreurs interrogés réclament davantage d’échanges en face à face. Les plateformes locales Coursiers Nantais et Naofood ont prouvé pouvoir offrir cette qualité de communication.

• Les trois plus grandes plateformes, Uber Eats, Deliveroo et Just Eat, ainsi que Stuart, ont toutes formalisé une politique de lutte contre les discriminations et la promotion de la diversité ou traitent systématiquement les cas qui leur sont remontés par les coursiers.

• Deliveroo, Stuart et Coursiers Nantais ont toutes mis en place un accompagnement à l’évolution de carrière de leurs livreurs.

Représentation

• Toutes les plateformes ont commencé à structurer un dialogue social, en anticipant la législation française dans ce domaine. La plus avancée sur ces questions est la coopérative des Coursiers Nantais, dont cette forme d’organisation permet un vrai pouvoir de co-décision aux travailleurs. Pour améliorer sa note à ce classement Fairwork France, Stuart a formalisé et accéléré la mise en œuvre de sa politique de diversité.

André Sobcak, Délégué Général RSE d’Audencia et Co-Titulaire de la Chaire Impact Positif de l’école : "L’initiative Fairwork, à travers ses classements internationaux, permet de faire évoluer l’ensemble du secteur des plateformes numériques vers des modèles plus durables, tout en sensibilisant aussi les consommateurs sur leur pouvoir d’influence pour améliorer les conditions de travail des livreurs à vélo. Ce projet de recherche est pleinement aligné avec les engagements d’Audencia, et de notre Chaire Impact Positif, qui vise à influencer les comportements des entreprises, des consommateurs et des pouvoirs publics en faveur de la transition écologique et sociale."

• Rapport Fairwork France
• Replay de l’événement de présentation des résultats aux parties prenantes
• Tous les classements Fairwork dans le monde

Véritable référence dans le monde académique, le Prix Académique de la Recherche en Management récompense les meilleures publications de recherche en management ainsi que le meilleur ouvrage de management de l’année écoulée. 

Le jury composé de professionnels du conseil, de chercheurs et professeurs reconnus dans leurs disciplines, s’est attaché à valoriser et récompenser des articles et ouvrages en lien avec les enjeux de développement durable, RSE et ESG.

Parmi 156 candidatures, Lucie Noury et Adeline Ochs, professeures à Audencia, se sont distinguées.

Prix du Meilleur ouvrage

L’ouvrage "Marketing durable" Edition : Pearson

Auteurs : Sihem Dekhili - Université de Strasbourg, Aurélie Merle - Université Jean Monnet - IAE Saint-Etienne et Adeline Ochs – Audencia

Catégorie « Ré-inventer le management »

L’article "Quelles frontières à l’expansion des plateformes de travail indépendant : Une approche de l’uberisation par la soutenabilité cognitive" publié dans M@n@gement (mai 2021)

>> Auteurs : Frédéric Garcias – IAE Lille, Lucie Noury – Audencia

Adeline Ochs

Titulaire d’un PhD, elle est professeure de marketing à Audencia, et spécialisée en marketing durable (green gap, consommation écoresponsable) et en stratégie de la distribution. Elle est co-auteure des ouvrages Distribution 4.0 (2018), Utopies et Consommation (2020), Marketing Durable (2021). En parallèle de ses articles scientifiques, elle publie régulièrement des articles dans les médias (Stratégies, Harvard Business Review France, E-Marketing, etc.)

Lucie Noury

Après quelques années d’expérience dans le secteur du conseil et un doctorat en sciences de gestion obtenu à Mines Paris-Tech, elle a passé plusieurs années en tant que professeure assistante à la Vrije Universiteit d’Amsterdam avant de rejoindre Audencia en 2019. Ses travaux de recherche portent sur les transformations contemporaines du travail professionnel.

Pour cette édition, le magazine des alumni portera sur "Féminisme, faire bouger les lignes".

De beaux articles à découvrir dans cette édition : 

• "Les grandes marques, féministes ou opportunistes ?", le feminism Washing, pratique malheureusement trop répandue

• Capucine Coudrier (étudiante SciencesCom) nous présente son podcast féministe "Ovaires The Rainbow"

• Eléonore Ardelanot (GE 19) nous parle de son projet pour mettre en avant la place des femmes dans le carnaval de Rio

• Marie Comacle (GE 17) nous parle de la sexualité féminine et des tabous contre lesquels elle lutte avec son entreprise "Puissante"

• Coline Mazeyrat (GE 11), co-fondatrice de Jho : présentation d'une marque engagée

• Antoine Devaux Landragin (Bachelor 01), expatrié au Japon nous parle de son expérience chez Hachette Collections Japan

Mais aussi : des nouvelles de votre école, les évènements alumni, de beaux projets entrepreneuriaux, des conseils de diplômés, et bien plus encore ! 

Découvrez The Mag# 20

Le classement du Positive Impact Rating, dévoilé lors du Forum mondial PRME 2022 des Nations Unies, place Audencia dans le niveau d’excellence 4 sur 5, celui des "écoles en phase de transformation". C’est le meilleur niveau atteint par 4 des 7 seules écoles françaises figurant au classement.

Audencia fait partie des deux meilleures françaises, au stade "avancé" de transformation, et des 35 meilleures écoles au niveau mondial.

Seules 7 écoles françaises se hissent dans le classement mondial "Positive Impact Rating" 2022, publié ce jour et regroupant 45 établissements classés dans 3 catégories :

• Ecoles pionnières (niveau 5, le meilleur niveau)
• Ecoles en phase de transformation (niveau 4)
• Ecoles en progrès (niveau 3)

Cette année encore, les avancées en matière d’impact social d’Audencia ont été mises à l’honneur. Elle et 3 autres business schools de l’Hexagone composent le peloton de tête français en obtenant le niveau de performance 4. Audencia progresse même avec une note globale de 8,6/10 contre 8 l’année dernière. Seules 4 écoles, toutes indiennes, se hissent au niveau maximal des écoles pionnières.

• Audencia dans le top 2 français

Le rapport souligne particulièrement les avancées d’Audencia dans sa catégorie : "La majorité des écoles participantes (29) sont classées au niveau 4, engagées dans une transformation active. 12 d'entre elles le sont à un niveau avancé, et 17 viennent juste de commencer cette transformation. Il convient de mettre en évidence quatre écoles (IESEG School of Management et Audencia Business School, toutes deux situées en France, Antwerp Management School, en Belgique, et HKUST Business School, à Hong Kong) qui ont réalisé des progrès constants au cours des trois dernières années, ce qui les positionne dans le groupe avancé des écoles en transformation."

Le rapport cite l’exemple d’Audencia (p.29) qui permet aux étudiants de devenir acteurs du changement : "Dans un processus d'amélioration continue, l'équipe RSE de l'école et les associations d'étudiants coopèrent étroitement pour utiliser les résultats de l'édition précédente du PIR pour élaborer un plan d'action concret" Le rapport relate ainsi la mise en œuvre d’une calculette carbone pour mesurer l’impact de l’activité digitale des étudiants, "utilisée par plus de 1800 étudiants dans les 6 mois suivant le lancement de la campagne de communication. […] Conformément à l'esprit du PIR, les étudiants ont été fortement impliqués à chaque étape, en veillant à ce que l'outil réponde à leurs besoins et soit promu par leurs pairs." Le document souligne les évolutions à venir pour y ajouter la mesure de l’empreinte liée à l’alimentation et aux transports.

Pour Christophe Germain, Directeur Général d’Audencia, "La place occupée par l’école dans ce classement témoigne à nouveau de notre engagement historique dans le domaine de la RSE. La progression de notre score global concrétise le renforcement de cet engagement autour duquel s’articule notre plan stratégique ECOS 2025, et notre volonté accentuée de former des étudiants qui auront demain, dans le cadre de l’exercice de leurs activités professionnelles, un impact positif sur la société."

• Un classement basé sur l’évaluation des étudiants

Le Positive Impact Rating (PIR) repose sur une évaluation réalisée par les étudiants du monde entier. Pour la troisième année consécutive, ils ont ainsi évalué leurs écoles sur la façon dont ils perçoivent leur impact positif sur le monde.

L'enquête pose 20 questions aux étudiants réparties en  sept dimensions : la gouvernance, la culture de l'école, les programmes d'études, les méthodes d'apprentissage, l’accompagnement des étudiants, le rôle de modèle de l'institution et son engagement public.  En fonction de leurs scores, les écoles de commerces sont positionnées sur cinq niveaux de performance qui correspondent à leur stade de développement. 

Engagée depuis 2004 en matière de développement durable, Audencia lançait en 2021 Gaïa, l’école de la transition écologique et sociale. Elle permettra dès la rentrée 2022 aux étudiants Grande Ecole de suivre un semestre de 240 heures dédié à cette thématique dans le cadre de leur première année de Master.

Audencia et le WWF France reconduisent leur collaboration étroite pour 3 années supplémentaires. Objectif ? Poursuivre leurs avancées en matière d’intégration des enjeux sociaux et écologiques au sein des formations et de l’ensemble des activités de l’école.

Dès 2010, Audencia était la toute première école à signer un partenariat stratégique avec le WWF, consciente de la nécessité de joindre leurs forces pour sensibiliser étudiants et salariés face à l’urgence d’agir pour le climat. Douze ans et de nombreux développements à impact positif plus tard, les deux acteurs poursuivent leur collaboration pour 3 années supplémentaires. Trois volets concentreront leurs efforts : l’enseignement, l’exemplarité, et les relations entreprises.

• Former tous les étudiants à la transition écologique et sociale

Après le lancement de Gaïa, l’école d’Audencia dédiée au management de la transition écologique et sociale, l’année 2022 verra l’aboutissement du projet ClimatSup Business, réalisé avec The Shift Project. A l’issue de 13 mois durant lesquels l’école aura été cas d’étude pour auditer toutes ses formations, le think-tank publiera en accès libre son rapport final, en novembre. Le WWF participe activement au groupe de travail. Audencia pourra ensuite s’appuyer sur ce référentiel de connaissances et de compétences pour chacune de ses filières métiers, et sur un plan d’actions précis pour pousser encore plus loin l’intégration de la responsabilité sociale et environnementale au sein de tous ses programmes, en formation initiale et en formation continue. Elle se veut ainsi fer de lance d’une tendance qui doit s’accélérer pour l’ensemble des acteurs de l’enseignement, public et privé.

Le WWF renforcera sa participation au sein des programmes et formations aux entreprises, et participera à des conférences de sensibilisation des étudiants, dès la première année.

• Sensibiliser par l’exemple sur tous les campus

Le WWF France intègre le nouveau Comité stratégique RSE d’Audencia qui valide et suit la démarche RSE de l’école. Après avoir beaucoup travaillé sur la réduction des plastiques inutiles et les consommations d’énergie, l’un des grands chantiers à venir concerne la stratégie bas carbone de l’école. Il s’agit d’intégrer les enjeux carbone dans la gestion des campus, dans la mobilité des salariés et des étudiants et dans l’ensemble des achats réalisés par l’école. On peut citer la refonte totale de la boutique en ligne en collaboration avec le WWF, pour rationaliser l’offre de produits dérivés d’Audencia et ne proposer que des produits utiles et éco-conçus.

Audencia signera également la charte "Les engagements éco-responsables des organisateurs d’événements" pour son événement sportif annuel, le Triathlon Audencia - La Baule.

• Renforcer les liens avec les entreprises

Afin d’avoir un meilleur impact auprès des entreprises partenaires d’Audencia et du WWF, les deux entités poursuivront leur collaboration dans l’organisation des Rencontres annuelles WWF Entreprises, avec de nombreuses tables rondes et ateliers d’échange de bonnes pratiques. Par ailleurs, la chaire Impact Positif d’Audencia et le Club Entreprendre pour la Planète du WWF vont renforcer leur coopération pour encourager les PME et TPE à s’engager pour la transition écologique. Enfin, le WWF s’impliquera également dans le travail conjoint d’Audencia avec l’ADEME sur les contrats à impact, via sa chaire Finance pour l’Innovation.

Au menu, des vidéos de conseils d’étudiants ou de membres du jury pour préparer les épreuves, des témoignages d’étudiants, et une mine d’informations pour anticiper au mieux cette étape clé.

Depuis le 23 mai, les épreuves orales ont démarré à Audencia pour les candidats admissibles : ceux qui ont passé avec succès l’étape des écrits. Les candidats AST (Admis sur Titre – admissions parallèles) seront accueillis du 23 mai au 9 juin, tandis que les épreuves pour les candidats issus de classes préparatoires s’étaleront du 20 juin au 8 juillet. Environ 3 500 étudiants sont attendus. Pour les aider au mieux, Audencia a lancé son site concours.

• S’informer et se préparer au mieux aux épreuves

C’est un espace entièrement dédié aux candidats, et intégré au site général de l’école. Un seul endroit pour tout savoir sur le déroulement des oraux du programme Grande Ecole d'Audencia : des informations et des conseils sur l’organisation et le déroulement des épreuves, les modalités pratiques, mais aussi la découverte de l’école et sa vie associative, ou de la ville de Nantes.

Pour préparer au mieux les épreuves, plusieurs vidéos postées au fil des semaines donneront les conseils de Frédéric Brétécher, professeur de culture générale en classes préparatoires et membre du corps professoral Audencia, Claude Lombard, Directrice Admissions et Etudes, ou encore des professeurs membres du jury.

Des témoignages d’étudiants permettent aussi aux candidats de découvrir avant l’heure des "admisseurs" qu’ils pourront rencontrer pendant les oraux, et qui composent l’équipe d’étudiants chargés de leur accueil. Ils pourront également découvrir en ligne des témoignages sur les études ou la vie professionnelle à l’étranger, avec Sarah, en échange à San Diego State University, ou encore Leïla, Business Development Manager chez Danone à Dubaï.

• Instagram et WhatsApp pour échanger

Les candidats pourront poser toutes leurs questions aux admisseurs via le compte Instagram @audencia_pge. De nombreux lives sont également prévus sur la période du concours. Tous les candidats recevront également par SMS les liens vers le compte WhatsApp sur lequel ils peuvent aussi échanger.

• La découverte du thème 2022

A partir de lundi, les pages concours et le compte Instagram se pareront aux couleurs du thème choisi par les étudiants pour l’accueil admissibles 2022, qui habillera aussi l’école de fin mai à début juillet, et sera le fil rouge des différentes animations. Plus que quelques jours à patienter !

"Un programme avant-gardiste", c’est par ces mots que Christophe Germain, Directeur Général d’Audencia, a présenté le Mastère Spécialisé® Management Responsable des Organisations Sportives à l’occasion de la soirée anniversaire de ses 30 ans, au sein de l’INSEP.

Le MS MOS est, en 2022, le meilleur Master Management du Sport en France. Depuis 1992, cette formation phare de l’école a su se réinventer, s’adapter aux évolutions pour former des managers du sport conscients des enjeux de notre époque. D’abord enseignée à Nantes, elle a pris ses quartiers à Paris depuis une dizaine d’années.

Véritable référence depuis 30 ans, le MS Management Responsable des Organisations Sportives (MS MOS) d’Audencia a su s’adapter et se renouveler chaque année pour anticiper les évolutions du secteur et de ses différents métiers. En 2022, ce programme est d’ailleurs reconnu comme le meilleur Master en Management du Sport. L’INSEP accueillait la soirée d’anniversaire du MS MOS : de nombreux diplômés de la formation ont répondu présent à cette invitation et ont eu l’opportunité d’assister à des échanges inspirants d’acteurs du monde du sport professionnel, dans un lieu mythique.

Le monde du sport de demain, la thématique de cette soirée anniversaire

Au sein de l’INSEP, lieu symbolique du sport professionnel français, deux étudiants actuels du MS MOS ont animé une table-ronde sur le thème du "monde du sport de demain". Les Alumni d’Audencia ont pu découvrir avec plaisir le témoignage rafraichissant de Lisa Barbelin, jeune archère professionnelle de 22 ans et pensionnaire de l’INSEP. Elle a présenté avec passion son parcours, ses motivations, son expérience des derniers Jeux Olympiques de Tokyo et ses envies pour les prochains JO 2024 à Paris.

Ensuite, trois invités de prestige ont pris place sur scène afin d’échanger sur de nombreuses thématiques en vogue notamment concernant le sport business, les enjeux de demain, les nouveaux défis à relever, etc… Carine Bloch, consultante – journaliste, Patrick Roult, Chef du Pôle Haut Niveau de l’INSEP et Bertrand Vecten, Alumni MOS et ancien sportif de haut niveau, médaillé d’Argent aux JO d’Atlanta en 1996, ont partagé leurs visions des futures échances autour du Management du Sport… Des déclarations inspirantes pour le public présent. La soirée s’est terminée autour d’un cocktail dinatoire.

Vous pouvez télécharger et consulter une sélection des photos de la soirée, à ce lien.

Passion et compétences managériales au service du sport

Le programme du Mastère Spécialisé ® Management Responsable des Organisations Sportives s’harmonise tout au long du cursus pour équilibrer théorie et projets transversaux appliqués. L’année de formation est ponctuée de nombreuses visites d’infrastructures sportives (INSEP, Parc des Princes, Incubateur Tremplin, Stade Jean Bouin, Trophées du Marketing Sportif de Sporsora, etc.) et de rencontres avec les professionnels du terrain afin d’appréhender un certain nombre de problématiques liées au sport business.

Le MS MOS s’adresse aux titulaires d’un BAC+5 (ou BAC+4 sous conditions), étudiants ou professionnels en activité mais aussi aux sportifs de haut niveau en reconversion ou encore aux entrepreneurs souhaitant lancer une structure dans le secteur du sport.

Plus d'informations

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L’ensemble des professeurs d’Audencia va pouvoir se former pendant 18 mois via le programme certifiant Lighthouse soutenu par Harvard Business Publishing Education et accrédité par Advance HE.

Cette création sur-mesure d’Audencia est la seule certification d’excellence de l’enseignement supérieur en France à destination des professeurs de business schools, et répondant aux standards internationaux de Advance HE (Higher Education), qui l’a accréditée. Le programme est également soutenu par Harvard Business Publishing Education, dont la contribution inclut ce qui se fait de mieux en matière de contenu, d’expériences d'apprentissage, mais aussi l’exercice de simulation Everest, ainsi que le partage des meilleures pratiques d'enseignement des méthodes de cas avec les professeurs.

Former les professeurs tout au long de leur carrière

Comment s’assurer que les méthodes d’enseignement et les formats pédagogiques sont en phase avec les attentes et les besoins d’aujourd’hui au niveau international ? Comment mener à bien ses activités managériales au sein d’une école de management ? Comment valoriser son expertise auprès des entreprises, des medias ou d’autres acteurs de la société civile ? Si les business schools sont aguerries aux activités de recherche et d’enseignement, le rôle et les compétences des enseignants-chercheurs évoluent, et dépassent les sphères académique et scientifique. C’est pour maintenir et certifier le niveau d’excellence de son corps professoral qu’Audencia a lancé fin février le programme Lighthouse. Ouvert à chacun(e) des 148 membres de la faculté, et aux futures recrues, soit 200 professeurs permanents d’ici 2025, il permettra dès 2022 de former un tiers de la faculté.

Thibaut Bardon, Directeur académique, confirme les apports inédits de ce programme pour la faculté :

"Les professeurs permanents de business schools sont principalement formés à la recherche et par la recherche. Cela ne nous semble pas suffisant au vu de la diversité du métier de professeur. Avec cette formation, nous nous assurons que les membres de notre faculté répondent aux meilleurs standards de qualité dans le cadre de leurs activités pédagogiques, managériales et celles en lien avec la société civile."

Une formation professionnelle reconnue par Advance HE et précurseure en France

La formation de 18 mois a été conçue avec la contribution de 25 professeurs d’Audencia selon les normes internationales établies par Advance HE, l’organisme basé au Royaume-Uni établissant les standards en matière de reconnaissance professionnelle pour les enseignants du supérieur au Royaume-Uni (UK Professional Standards Framework). Ces standards définissent ainsi les compétences et valeurs attendues pour tout enseignant-chercheur, ou personne chargée d’enseignement. Audencia est la première école française dont le programme a été accrédité par Advance HE, qui décernera les différents grades de Fellowship of Advance HE aux professeurs formés. C’est aussi la troisième école en Europe, après Copenhagen Business School et ESIC Business & Marketing School en Espagne.

Devenus à l’issue de la formation membres de la communauté des Fellows Advance HE, les professeurs "démontrent leur large compréhension des approches efficaces de soutien à l'apprentissage et d’enseignement en tant que contribution clé à l’excellence de l’expérience d’apprentissage".

Tamim Elbasha, Directeur de l’Innovation Pédagogique à Audencia, indique :

"Nous sommes fiers de lancer ce programme de formation complet pour les professeurs. Le contenu répond aux standards de compétences internationaux les plus récents développés dans le domaine de l'enseignement supérieur (par la Commission européenne, UNISCO, HolonIQ, le Canada et le Royaume-Uni). Audencia garantit ainsi la meilleure expérience d'apprentissage à ses étudiants et apprenants, via son corps professoral guidé par quatre principes : la pluridisciplinarité, le learning by doing, la réflexivité critique et la pédagogie par compétences."

Le soutien de Harvard Business Publishing Education

Gabriela Allmi, Directrice Europe et Stefaan Van Waes, directeur des relations stratégiques de HBP, ont participé au lancement du programme. En guise de kick-off, un atelier de simulation pour le corps professoral d'Audencia, lui permettant d’expérimenter la simulation primée de Harvard Business Publishing : Leadership and Team Simulation : Everest, et découvrir les bénéfices de cette méthode d'enseignement. 

En juin, 60 membres du corps professoral de 15 écoles de commerce françaises différentes participeront à un séminaire d'une journée et demie sur "l'enseignement par les cas" organisé par Harvard Business Publishing Education en collaboration avec la CDEFM. Cet événement se déroulera à Audencia Campus Paris.

Un programme découpé en 3 volets

Le programme couvre les 3 blocs suivants :

• La pédagogie : faire évoluer ses pratiques pédagogiques en présentiel et en distanciel, mettre en œuvre une démarche continue d’amélioration, accompagner un public d’apprenants multiculturel, garantir des méthodes d’évaluation pertinentes. 

• Les activités managériales : piloter des programmes et gérer des départements au sein de la faculté (refonte des maquettes pédagogiques, planification et pilotage de projets au sein de l’école).

• L’impact : mettre son expertise au service des entreprises, soutenir des appels à projets, développer sa prise de parole au-delà de la sphère académique et scientifique.

Sixième conférence du cycle de conférences AAGIR "Apia & Audencia pour une Gouvernance Innovante et Responsable" proposé par APIA et Audencia.

L’objectif de ce cycle de conférences est de vous apporter des réponses opérationnelles et de challenger vos pratiques de gouvernance.

•  "L'entreprise à mission : l'avenir de la gouvernance ?"

Yves Brochard, Président APIA Grand Ouest et Makram Chemangui, Directeur Général Adjoint Audencia ouvriront la table ronde.

Clément Lesort, Journaliste, animera la table ronde aux côtés des intervenants suivants :

- Louis-Marie Chiron : Homme d’expérience, membre du Directoire de BDO France, 8ème cabinet d’expertise comptable et audit en France et de BDO Global, 5^e réseau mondial, devenue entreprise à mission. Sous l’impulsion de son président et issue d’un travail collaboratif intense concrétisé dans un document, "le Manifesto", où BDO montre sa volonté de s’inscrire, aux cotés de ses clients, dansune croissance durable. 

 - Michel Nicolas : Administrateur indépendant, Président national du réseau APIA , Ancien dirigeant d’entreprises de transport

- Yann Rolland :  Ex-Président de CETIH, entreprise spécialisée dans l’enveloppe de l’habitat et la rénovation énergétique, Dirigeant engagé dans la RSE depuis 15 ans et parmi les pionniers des entreprises à mission et de l’entrée de fonds philanthropiques au capital.

- Emmanuel Saulou : "il est temps de prendre au sérieux nos rêves et d’en faire une stratégie", tel est le crédo d’Emmanuel Saulou. Formé sur le terrain, il rencontre la vision d’un monde meilleur et déploie, avec son associé, cette approche chez RESTORIA, dans la restauration collective.

- André Sobczak,  Titulaire de la chaire Impact Positif d’Audencia et Délégué général RSE de l’école, il développe depuis 20 ans des recherches et des enseignements sur l’intégration des enjeux de la transition écologique et sociale dans les stratégies et business models des entreprises. Membre du Bureau de la Plateforme RSE nationale, il a accompagné de nombreuses organisations privées et publiques dans la transformation pour un impact positif. 

Audencia a accueilli la finale 2022 de ce concours réservé aux personnes qui bégaient, organisé pour la première fois à Nantes. L’événement a accueilli 400 personnes, ce qui en fait l’un des plus grands événements (non-sportif) nantais autour du handicap.

Si bégaiement et éloquence peuvent paraître de prime abord contradictoires, "L’Eloquence du Bégaiement" dépasse ce préjugé.

Parmi les 6 finalistes qui se sont produits devant le public, le prix du jury a été décerné à Josette Kerbiquet, pour sa prestation sur le sujet "Faut-il chercher à être libre à tout prix ?".

Démontrer que le handicap est une source de richesse et de compétences : voilà l’objectif de "L’Eloquence du Bégaiement", le premier concours d’éloquence destiné aux personnes bègues. Ce projet unique au monde a été créé par Mounah Bizri, Alumni d’Audencia et est également porté par l’association Eloquence de la différence avec le support de l’Association Entraide Fluence 44 et de l’Association Parole Bégaiement. La fondation Engagement Médias pour les Jeunes apporte aussi son soutien à cet événement qui pousse les candidats à outrepasser leur handicap pour améliorer leur expression verbale et non verbale.

La toute première édition nantaise à Audencia

Après des éditions très médiatisées à Paris et Lyon ces 3 dernières années, Audencia accueillait la toute première édition à Nantes, dont la grande finale a eu lieu vendredi 6 mai. Josette Kerbiquet est la lauréate de ce concours parmi les 6 finalistes et les 12 participants des Pays de la Loire aux profils très variés, entre 18 et 60 ans. "Ce parcours, très condensé en 5 semaines, a été riche en émotion et en partage. Grâce à cette aventure, je me sens plus forte. J’ai fait la rencontre de personnes formidables et cela a été très intense humainement.  J’ai été galvanisée par l’opportunité de faire un discours devant des centaines de personnes, par les retours positifs que j’ai reçu après ma prestation et le fait que j’ai réussi à embarquer le public avec moi. Grâce à ce concours, j’ai pris de l’assurance…Mais une assurance tous risques (rires) car, désormais, peu importe ce qui pourrait arriver, j’ai les garanties que je ne subirai plus le bégaiement. Au contraire, je vais l’assumer et ne plus le cacher".

Sylvie, Elodie, Josette, Casilda, Thomas, Benjamin, Théo, Frédéric, François, Robin, Guillaume et Géraud se sont investis pendant 5 semaines dans un programme aux méthodes innovantes, reposant sur des formations, de coaching individuel et des ateliers pratiques en groupe, encadrés par 10 coachs et 12 intervenants. Soit un total de plus de 30 heures d’accompagnement.

Une formation intensive et accélérée

Depuis la première édition en 2019, l’Eloquence du Bégaiement a accompagné plus d’une centaine de personnes et touché environ 10 millions de personnes grâce à sa médiatisation. L’équipe organisatrice nantaise est composée d’orthophonistes, de bègues et d’étudiants sensibilisés au handicap. L’équipe RSE et les associations étudiantes Envol et Isègoria d’Audencia ont également contribué à l’organisation de ce projet. L’objectif visé est de donner les clefs aux candidats, à travers une formation intensive et adaptée, pour révéler leur pouvoir de conviction et d’accomplir ce que l’on croit impossible : être bègue et orateur.

Son fondateur, Mounah Bizri revient sur l’importance de ce projet. "Grâce à l’Eloquence du Bégaiement, nous avons l’opportunité de mettre en lumière le parcours de vie des candidats. Chaque année, ils osent dépasser leurs peurs profondes, assumer leurs idées avant de donner vie à leurs mots devant des centaines de personnes. Nos diverses éditions le prouvent : le concours apporte une amélioration significative de leur confiance en eux dans leurs prises de paroles et ils témoignent tous d’un changement impactant dans leur quotidien, grâce au parcours de formation et à l’esprit de groupe. En alliant techniques de rhétorique, de communication et d’affirmation de soi, l’événement porte un fort message d’inclusion, d’acceptation de soi et de sa propre vulnérabilité."

L’Eloquence du Bégaiement s’intègre complètement dans la politique d’inclusion handicap portée par Audencia. L’école a pour objectif d’ici à 2030 de compter 3% d’étudiants en situation de handicap dans ses rangs car, malheureusement, beaucoup de jeunes s’interdisent les études supérieures en raison de leur handicap.

Revivez l’évènement à travers le replay de la soirée ainsi qu’une sélection de photos.

Cornet Vincent Segurel devient mécène de la chaire Entrepreneuriat Familial & Société d’Audencia. Il rejoint ainsi les autres partenaires et mécènes de la chaire.

• Un nouveau mécène pour la chaire

La chaire Entrepreneuriat Familial & Société d’Audencia, qui fêtera bientôt ses 10 ans, poursuit sa mission de développer de la connaissance sur les entreprises familiales, de promouvoir cette forme d’entrepreneuriat et d’en définir les spécificités. Dans l’objectif de développer des projets d’études et de recherche sur des thématiques tels que la transmission de l’esprit d’entreprendre dans les entreprises familiales ou encore la croissance des entreprises familiales, le cabinet Cornet Vincent Segurel signe un partenariat de mécénat pour 4 ans.

• Un partenariat gagnant-gagnant

Audencia et Cornet Vincent Segurel partagent un engagement fort en matière de Responsabilité Sociétale des Entreprises. La collaboration permettra au cabinet d’avocats d’utiliser les enseignements de la chaire pour faire évoluer ses pratiques auprès de ses clients, et ainsi de monter en compétences sur les problématiques des entreprises familiales. Parallèlement, le partage d’expérience et les retours terrain du cabinet viendront nourrir les travaux et l’expertise de la chaire.

"Cornet Vincent Segurel a tenu à s'associer à cette chaire car cela s'inscrit dans l'ADN du cabinet. Nous sommes une structure implantée sur le territoire national au service d'un certain nombre d'entreprises de différentes tailles essentiellement aux côtés des chefs d’entreprises et plus particulièrement des entreprises familiales. Au cours des 4 prochaines années, le partenariat permettra un échange tant avec les enseignants qu'avec les étudiants, pour participer au déploiement de ce schéma de transmission d'entreprise qui n'est pas toujours évident. Ce qui nous a séduit, c'est cet accompagnement de la chaire sur le volet psychologique, qui s’ajoute à nos outils juridiques, fiscaux voire sociaux." Hubert Biard, avocat associé du cabinet.

Le cabinet d’avocats Cornet Vincent Segurel (CVS) est présent dans 6 grandes métropoles françaises avec plus de 190 avocats et juristes. Il rejoint les mécènes CIC Ouest et Crédit Mutuel Equity qui viennent de renouveler leur partenariat pour 4 ans, ainsi que le groupe Mousset engagé auprès de la chaire depuis 2020, à travers la Fondation Audencia.

Une journée 100% femmes entrepreneures chez Audencia ! L’École a accueilli l’étape des Pays de La Loire de "Be a Boss", le seul évènement de dimension nationale dédié à l’entreprenariat féminin. Au programme, de riches interventions et un concours inspirant pour stimuler le développement de projets porteurs d’avenir.

Une nouvelle action, parmi les nombreuses proposées tout au long de l’année par Audencia, qui incarne toujours un peu plus le fort engagement de l’École pour l’égalité homme/femme sur les territoires.

Chaque année, "Be a Boss" fait son tour de France et s'invite dans différentes régions de l’hexagone pour :

• Susciter des vocations entrepreneuriales chez les jeunes femmes ;
• Aider les entrepreneures à lever les freins et blocages pouvant exister ;
• Booster leur énergie et leur ambition entrepreneuriale ;
• Identifier les futures pépites régionales et nationales portées par des femmes.

Laurent Zagaroli, Co-fondateur de" Be a Boss" : “Le "Be a Boss" Tour, unique Forum national dédié aux femmes entrepreneures, repart en tournée dans 9 régions de France en 2022 ! Cet évènement, conçu pour nourrir la réflexion entrepreneuriale, permet chaque année à plus de 1 000 femmes porteuses de projet ou déjà entrepreneures d’assister au forum dans leur région et/ou de présenter localement leur projet en vue de concourir aux Be a Boss Awards.”

Les étapes régionales de "Be a Boss" sont des moments d’échange privilégiés au cours desquels des tables rondes et conférences sont menées par des actrices et acteurs de l’environnement entrepreneurial dans le but de répondre aux questionnements des entrepreneuses ou futures entrepreneuses et de leur insuffler une dynamique accélératrice de projets. Ces étapes accueillent les participantes au concours "Be a Boss Awards", qui offre l’opportunité à des entrepreneures de présenter leur société face à un jury constitué d’une vingtaine de professionnels de l’entreprenariat (ex : incubateurs, BPi France, écoles, etc.)

• Un programme dynamisant et riche d’enseignements

La matinée "Be a Boss" des Pays de La Loire a débuté par une introduction de Séverine Douard, Directrice Carrière Formation et Services aux Entreprises et Directrice CFA chez Audencia, suivie par par une interview de la marraine, Sandrine Charpentier, CEO & Co-fondatrice de Mixity, solution digitale RH destinée à l’accompagnement des organisations sur les enjeux de diversité et d’inclusion. Lancée en 2020, Mixity travaille aujourd’hui avec une 100aine de sociétés, des starts up aux grandes entreprises internationales.

Puis, tout au long de la journée ont eu lieu des interventions autour de la création d’une start up et de son développement (ex : l’accompagnement par l’Urssaf, la protection d’une jeune entreprise, la propriété intellectuelle, les incubateurs, le réseau professionnel, l’élaboration d’un business plan, etc.) Solène Hascoet, entrepreneuse contrôleuse de gestion, qui a effectué un Executive MBA au sein d’Audencia en 2018-2019, nous a notamment exposé son parcours. La formation Executive Education à laquelle elle a pu accéder grâce à la subvention Leader au féminin, octroyée par l'École, l’a aidée à se lancer dans l’entreprenariat.

De nombreux conseils et témoignages ont été partagés par les intervenants qui ont également répondu aux interrogations de l’auditoire. Parmi les sujets abordés, en est notamment ressorti le fait que bien s’entourer et utiliser la ressource qu’est notre réseau est primordial pour la réussite d’un projet entrepreneurial.

• 7 candidates pour 2 places en finale nationale

Un moment fort de ces rencontres a été celui des pitchs effectués par les candidates au concours Be a Boss Awards. 7 entrepreneures, dont les projets avaient été préalablement retenus parmi tous les dossiers envoyés en candidature, ont présenté leur entreprise sous la forme d’un pitch de 4 minutes suivi de 2 minutes de questions/réponses. Ensuite, ont été divulgués le nom des 2 candidates sélectionnées pour participer à la finale nationale du 22 septembre, à Paris, avec les finalistes de chaque région :

• Justine Perussel, Co-fondatrice et Directrice Générale Adjointe de Temo, entreprise qui conçoit et commercialise des solutions électroportatives pour des petites embarcations nautiques.
• Elodie Ozen, Entrepreneuse chez Umains, société spécialisée dans l’upcycling et le recyclage de produits invendus.

À l’issue de cette finale, 3 lauréates seront désignées et chacune recevra :

• 30 000 € en média proposés par NetMedia Group et Reworld Media
• Un accompagnement premium proposé par Bpifrance.

Retrouvez, ci-dessous, toutes les étapes de "Be a Boss 2022" :

• 10 mars 2022 : Nouvelle Aquitaine
• 14 avril 2022 : Auvergne Rhône-Alpes
• 12 mai 2022 : Pays de la Loire
• 2 juin 2022 : Occitanie
• 9 juin 2022 : Ile de France
• 23 juin 2022 : Sud
• 30 juin 2022 : Antilles-Guyane
• 7 septembre : Grand-Est
• 8 septembre : Hauts-de-France
• 22 septembre 2022 : Journée de clôture

Pour plus d’informations, cliquez ici

Rendez-vous le 22 septembre pour connaître les résultats des "Be a Boss Awards 2022" !

“Créer une entreprise c’est dépasser ses peurs et les voir plus comme une opportunité de grandir”, Nelly Pitt, fondatrice et CEO de Beautymix.

Le développement d’Audencia en Chine passe un nouveau cap en 2022 avec l’accréditation par le Ministère de l’Enseignement chinois de 3 nouveaux Bachelors of Science qui viennent s’ajouter au MSc Fintech. Ces 3 formations seront également délivrées à Shenzhen.

Un travail de longue haleine qui contribue aujourd’hui à renforcer l’image de notre institution en Asie en particulier au travers de notre Campus SABS.

"Voilà maintenant plus de 6 ans que nous avons lancé notre campus SABS en partenariat avec Shenzhen University. Un développement qui nous a permis d’ouvrir des programmes propres et surtout de renforcer et conforter la dimension internationale de notre Ecole. Maintenant que nous sommes totalement installés, nous avons une vision beaucoup plus offensive clairement exprimée dans le cadre de notre plan stratégique ECOS 2025 – aller vers plus de multidisciplinarité et atteindre les 2300 étudiants Audencia offshore contre près de 900 actuellement", explique Desi Schmitt, Directrice des Affaires internationales.

Ainsi pour atteindre cet objectif, rapidement les équipes internationales font le constat qu’Audencia doit renforcer sa légitimité sur place afin de gagner la confiance des étudiants candidats. Un axe principal est rapidement identifié : obtenir 3 programmes accrédités axés sur l’hybridation des compétences. Avant de commencer les démarches, un benchmark est réalisé pour comprendre les besoins du marché, identifier les marchés porteurs et viser des secteurs qui seraient tant favorables à l’économie chinoise qu’à notre stratégie développement afin de faciliter leurs accréditations.

Trois nouveaux programmes multidisciplinaires

Après ce travail exploratoire, trois nouveaux Bachelors sont imaginés ; trois Bachelors of Science dans des secteurs porteurs : Big Data Management and Applications, Blockchain and Information Systems et enfin Financial Technology. Trois programmes multidisciplinaires, créés en totale cohérence avec notre plan stratégique, et qui viennent finalement d’être accrédités par le Ministère de l’Enseignement chinois (MoE) pour pouvoir être lancés à la prochaine rentrée. "Il s’agit d’une grande victoire pour nous, fruit d’un vrai travail collectif porté par de nombreuses directions de l’Ecole ! Les enjeux sont très forts. Premièrement, cette annonce confirme la coopération durable et officielle entre Audencia et Shenzhen University pour un avenir toujours plus stable et serein. Ensuite et surtout, ces reconnaissances sont une garantie de recrutement non négligeable. En effet, un programme reconnu par le MoE peut recruter à l’issue du Gaokao (équivalent du baccalauréat français) et cela équivaut à environ 100 étudiants garantis par promotion, soit 1200 étudiants d’ici 4 ans avec nos trois nouveaux programmes. Enfin, l’image d’Audencia en Chine bénéficie immédiatement d’un vrai bond en avant avec cette reconnaissance officielle et cela aura évidemment un impact sur les critères internationaux des classements pour notre Ecole."

Maintenant que les démarches nécessaires pour faire accréditer des programmes en Chine sont maitrisées, les process seront d’autant plus simplifiés à l’avenir en cas de lancement de nouveaux programmes. SABS permettra aussi de transmettre de nouvelles expertises en lien avec les aspects RSE auprès d’une grande population, tant pour les formations initiales qu’en Intra. "C’est un grand pas en avant pour notre développement à l’international et ECOS2025. Les équipes sont totalement mobilisées pour le recrutement de nos programmes dès la rentrée à venir", se réjouit Desi.

En savoir plus sur les 3 nouveaux Bachelors

(dans la partie Discover ASIA)

L’ensemble des grandes directions de l’école ont été présentées aux nouveaux collaborateurs. Cette session a accueilli 35 nouveaux arrivants.

Au programme :

• 8h30 : Café d'accueil des participants

• 8h45 : Photo de groupe

• de 9h à 9h45 : Intervention de Christophe Germain, présentation des collaborateurs, présentation d'Audencia et du plan stratégique 20-25

• 9h45 : Speed Dating

• 10h45 - 12h45 : Table ronde de présentation

Audencia a signé un partenariat international avec Harvard Division of Continuing Education. Cette collaboration permettra aux étudiants qualifiés du Programme Grande Ecole de découvrir l’université américaine à l’occasion de la Harvard Summer School 2022.

Audencia continue d'élargir les opportunités internationales pour ses étudiants en signant un accord avec la Harvard Division of Continuing Education. Celui-ci permettra à ses étudiants de premier cycle du Programme Grande Ecole d’Audencia de s'inscrire à la Harvard Summer School 2022.

La Harvard Summer School 2022 propose une variété de cours. Ainsi, 400 classes sur 60 sujets différents sont enseignées, allant de la gestion stratégique au leadership, au comportement organisationnel, au marketing durable, à la gestion des médias sociaux et à l'art de la communication.

Les étudiants intéressés par cette opportunité internationale peuvent postuler dans les mois à venir. Les candidatures retenues seront basées sur l'excellence académique et nécessiteront des scores TOEFL d'au moins 100.

Le think-tank de référence en matière de transition écologique a partagé le rapport intermédiaire du projet ClimatSup Business, mené avec Audencia, lors d’un événement à mi-parcours.

Matthieu Auzanneau, Directeur de The Shift Project, et l’équipe projet dédiée, ont partagé le rapport intermédiaire de ClimatSup Business, au cours d’une journée événement organisée à Paris, et en direct sur Facebook.

Le projet ClimatSup Business, dont Audencia est le partenaire principal, est une initiative inédite. Objectif ? Accélérer la transformation de la formation des acteurs de l’économie pour y intégrer les grands enjeux de transition écologique et sociale. Audencia en est le cas d’étude. Le projet intègre un état des lieux de la formation aux enjeux socio-écologiques au sein d’Audencia, et vise à définir un socle de connaissances et de compétences souhaitables en tronc commun pour répondre aux besoins des entreprises et des fortes attentes des étudiants, avec une approche métiers, et un focus approfondi sur les métiers de la finance. Le plan d’actions qui parachèvera le rapport définitif permettra à Audencia de renforcer dans chacune de ses formations l’intégration des enjeux de transition écologique et sociale, mais aussi d’inspirer d’autres acteurs de la formation.

Retrouvez ici le rapport intermédiaire de ClimatSup Business

Rendez-vous en novembre pour découvrir le rapport final du projet.

Retrouvez le bilan d’une année portée par de très belles perspectives pour les semaines, mois et années à venir ! Une réalisation collective et transversale, forte de nos valeurs et de nos engagements historiques partagés.

Cette année, ce rapport se découpe en deux volets : 

• Le Rapport d’Activité dans lequel chaque Direction prend la parole. L’occasion de revenir sur 2021, de porter un regard sur l'année à venir et les projections d'ici fin 2025. Grande nouveauté pour cette nouvelle édition : preuve que la RSE est présente dans toutes les réflexions de l'Ecole, chaque direction aborde cette année, via une ultime question, ses engagements RSE portés dans le cadre de ses actions !

• Le Rapport Fondation dans lequel la Fondation Audencia partage les moments forts soutenus lors de l’année écoulée, grâce à la mobilisation des entreprises mécènes mais aussi des donateurs particuliers.

Le Rapport Annuel est l'occasion, chaque année, de porter un regard sur les nombreux accomplissements et réalisations par Audencia et toute sa communauté. Un temps marquant notre fierté et notre volonté de continuer à aller de l’avant, plus que jamais au service de l’ensemble de nos parties prenantes.

Visionnez le Rapport Annuel 2021

Les deux écoles, qui partagent un ancrage à Nantes, élargissent à partir de la rentrée 2022 leur double-diplôme ingénieur-manager. Jusqu’ici uniquement ouvert aux étudiants issus de l’ESB (Ecole Supérieur du Bois), les étudiants managers peuvent désormais bénéficier de la réciprocité du partenariat.

Christophe Germain, Directeur Général Audencia, et Arnaud Godevin, Directeur de l’ESB, ont signé ce jour la convention qui étend leur partenariat signé dès 2008. A partir de septembre 2022, les étudiants managers pourront bénéficier de la réciprocité du double-diplôme ingénieur-manager porté par les deux écoles. Jusqu’ici, il était disponible uniquement pour les élèves de l’ESB qui souhaitaient compléter leur formation à Audencia. Il sera ouvert dès la rentrée de septembre 2022 pour une vingtaine d’étudiants maximum.

Acquérir une double-compétence en dernière année

Le double diplôme ingénieur-manager permet aux étudiants d'élargir leurs compétences dans d'autres domaines d'expertise que celui de leur cursus initial. Ces profils sont particulièrement appréciés des recruteurs notamment pour diriger des entreprises et gérer des équipes à l’international.

• A l’ESB, les étudiants managers d’Audencia suivront le programme en anglais "International Timber Trade", dédié au commerce international du bois pour acquérir les compétences spécifiques au marché de la ressource forestière et des produits qui en sont issus.

• A Audencia, les élèves-ingénieurs de l’ESB intègreront le programme en anglais Master of Science (MSc) en management – ingénierie afin de les former aux enjeux financiers et managériaux de l’internationalisation des entreprises.

Le cursus est ouvert aux étudiants de l’ESB et d’Audencia ayant validé leurs deux premières années, et ce, quelle que soit leur filière d’admission dans l’école de management (classes préparatoires ou admissions parallèles). Les candidats seront sélectionnés selon leur niveau académique, leur niveau d’anglais, et un entretien de motivation qu’il passeront avec un représentant de chacune des directions d’études.

Pour décrocher leur double-diplôme d’ingénieur de l’ESB et le grade master d’Audencia Grande Ecole, ils devront avoir validé au moins 120 crédits dans l’école partenaire, en plus des crédits de leur cursus initial. Leur stage de fin d’étude sera également co-tutoré par un référent de chaque école.

Un partenariat engagé dans la transition écologique

Complétant l’offre de parcours hybrides des deux écoles, l’ESB partage avec Audencia une orientation de ses programmes intégrant les enjeux environnementaux et sociaux, à l’image de Gaïa, l’école d’Audencia dédiée au management de la transition écologique et sociale. L’ESB s’ajoute aux 24 autres écoles d’ingénieurs avec lesquelles le programme Audencia Grande Ecole a mis en place de tels doubles-diplômes depuis 2007, permettant aux étudiants d’ajouter la dimension technique à leurs compétences managériales et inversement. Des profils ingénieurs-managers particulièrement prisés en entreprise en jouissant d’un taux de placement de 85 % en moins de 2 mois après la diplomation.

Ce partenariat, initié en 202, a pour objectif de développer l’accès à la pratique esportive pour tous et de faire de l’esport un levier d’inclusion.Il se poursuivra via l’accompagnement d’ateliers d’inclusion par le esport démarrés dès février 2022 lors des vacances scolaires en collaboration avec la mairie de Paris, et différentes associations. Une centaine de jeunes âgés de 14 à 18 ans issus de la diversité pourront ainsi s’initier chaque année à la pratique esportive mais aussi découvrir les formations et métiers du secteur.

Par ailleurs, We Are Esport continuera à intervenir dans le cadre de masterclass de découverte de l’esport auprès des étudiants du Mastère Spécialisé Management Responsable des Organisations de Sport (MOS) d’Audencia. Un projet d’Olympiade esport Audencia by We Are Esport est également en préparation pour la fin d’année.

We Are Esport encadre également cette année une équipe esportive de 5 étudiants d’Audencia Bachelor in Management sur League of Legends embarquée sur la ligue française Amazon University Esports. Mathias, Emilien, Victor, Colas et Pol ont enchainé depuis le 8 mars cinq victoires sur six matchs et sont donc qualifiés pour concourir au niveau national dans la deuxième partie de la saison et tenter de décrocher le titre de meilleure équipe étudiante française !

Audencia soutiendra aussi cette année les programmes de formation et d’identification de talents esport à travers les équipes compétitives ViV by We Are Esport. Une première équipe League of Legends participera notamment au Mastercard Nexus Tour, tandis qu’une seconde participera au Wild Rift EMEA Championship. Il s’agit du tournoi officiel organisé par Riot Games couvrant l'Europe, la Russie et la CEI, le Moyen-Orient, l'Afrique du Nord et la Turquie. Les équipes s'affrontent pour gagner une part de la cagnotte de 300 000€ et la chance de représenter la région EMEA lors d'un tournoi international.

"A travers ce partenariat, Audencia a la volonté d’aborder l’écosystème esport et ce secteur en croissance. C’est l’un des terrains de jeu qui portent l’innovation et une fabuleuse énergie d’entreprendre portée par des jeunes. Avec la création de la Team ViV, nous avons l’opportunité de nous associer à un programme d’accélération et de révélation de jeunes talents esportifs. Cette démarche correspond pleinement à l’ADN et aux valeurs développées par Audencia, et l’aspect inclusif porté par ce projet va permettre de contribuer à l’émergence et à la visibilité des talents esportifs de demain." Frank Dormont, Directeur de la Communication & des Relations Institutionnelles d’Audencia.

"C’est l’opportunité pour We Are Esport d’être accompagné et d’avoir le soutien d’Audencia, qui partage nos valeurs et notre ADN sur notre projet et nos différentes initiatives. Avec Audencia, nous serons dans la co-construction pour atteindre nos ambitions dans le monde de l’esport, écosystème que j’affectionne et connais bien en tant qu’ancien joueur professionnel de League of Legends", Arthur Lesueur, Président et co-fondateur de We Are Esport.

C’est à l’occasion de la semaine de la mobilité qu’a été lancée Queeny. Derrière ce nom, une solution vendéenne propulsée par Audencia au travers du projet Vel’Audencia primé lors du dernier Forum de l’innovation et porté par Noémie Lagueste et le comité de réflexion mobilité.

"L’idée de Queeny est de lancer un challenge aux collaborateurs et étudiants : faire des km au service de plusieurs causes RSE (la protection de la vie terrestre, la consommation et production responsable, lutter contre la pauvreté…), explique Noémie. Si nous atteignons, collectivement, avant le 6 juin, les 2025 km cibles, nous réaliserons une action en lien avec la cause qui aura rassemblé le plus de kilomètres. Et si vous organisiez votre prochain call, en pédalant ? A vos vélos !"

Rendez-vous sur les différents campus nantais pour parcourir le maximum de km au service d’une juste cause (le fonctionnement précis vous est expliqué au pied de chaque vélo) !

Queeny : un dispositif global amené à être pérennisé en fonction de son adhésion en interne.

A l’initiative de VINCI Autoroutes, 31 étudiants du Mastère Spécialisé® Acteur Pour la Transition Énergétique (MS APTE) d’Audencia et Centrale Nantes ont participé au premier Hackathon sur la décarbonation des chantiers de VINCI Autoroutes.

L’objectif de cette semaine intensive ? Développer des solutions concrètes et opérationnelles sur les chantiers sous maîtrise d’ouvrage VINCI Autoroutes, dans le cadre de la politique Ambition Environnement 2030 du Groupe. Répartis en 6 équipes, ils ont proposé à tour de rôle des solutions qui pourraient s’appliquer sur deux projets d’échangeurs actuellement en phase de travaux : l’aménagement de la Porte de Gesvres (A11) et le diffuseur de Saran Gidy (A10).

Alors que l’urgence climatique n’est plus à démontrer et que les transports représentent une part importante du bilan carbone de la France, VINCI Autoroutes renforce et enrichit ses engagements pour contribuer à la nécessaire décarbonation des autoroutes. Ainsi, du 7 au 11 février 2022, Audencia accueillait le premier Hackathon pour décarboner les chantiers de VINCI Autoroutes. Les étudiants du Mastère Spécialisé® Acteur Pour la Transition Énergétique (MS APTE) étaient sollicités pour proposer des solutions applicables sur deux terrains d’expérimentations, actuellement en phase de travaux (avec la perspective d’être étendues à l’ensemble des chantiers sous maîtrise d’ouvrage VINCI Autoroutes) : Porte de Gesvres (A11) et Saran Gidy (A10).

Les différentes étapes du Hackathon pour la décarbonation des chantiers VINCI Autoroutes - Audencia

L’objectif de ce premier Hackathon ? Développer des solutions concrètes et opérationnelles sur les chantiers de VINCI Autoroutes  pour permettre de répondre à chacune des 3 dimensions définies dans le cadre de la politique Ambition Environnement 2030 :

• Changement climatique
• Economie circulaire
• Milieux naturels

En savoir plus

Découvrez le reportage photo du Hackathon VINCI Autoroutes x Audencia

Yuliya Shymko et Sandrine Frémeau, professeures à Audencia, ont vu leur travail de recherche, intitulé "Escaping the Fantasy Land of Freedom in Organizations: The Contribution of Hannah Arendt", publié dans la revue Journal of Business Ethics (revue classée 4 étoiles par Audencia, de catégorie 2 par le CNRS et FT-50).

Un travail qui porte sur la perpétuation du fantasme libertaire induite par l'idéologie néolibérale. Existe-t-il une autre liberté que la liberté de performer ? Comment pouvons-nous faire l’expérience d’une véritable liberté en tant que travailleurs ? Nos deux professeurs répondent à ces questions en faisant un détour par la pensée arendtienne.

Tout d’abord, quel a été le postulat qui a mené au sujet de votre recherche ?

Notre posture est la suivante : si nous sommes si nombreux dans le monde du travail à renoncer à la quête du bien commun, c’est parce que nous sommes piégés par le fantasme libertaire induit par l’idéologie néolibérale. Cette idéologie nous fait croire qu’elle est le meilleur garant de notre liberté individuelle. Mais la liberté individuelle dont elle prône les bienfaits n’est pas vraiment une liberté ; elle est juste une liberté de déployer notre énergie au service de la société de production et de consommation. Voilà pourquoi nous parlons de fantasme libertaire. Et le sujet de notre recherche est donc le suivant : comment échapper à cette illusion ?

Quel a été l’objet de votre analyse ?

C’est là que les travaux de Hannah Arendt (1906-1975), philosophe et politologue allemande naturalisée américaine, peuvent nous être d’un certain secours. Dans ses principaux écrits, The Human Condition (1958) et The Origins of Totalitarianism (1951), mais aussi dans un essai intitulé What is freedom ? (1961), elle révèle les mécanismes par lesquels la liberté d’agir est remplacée par la liberté de performer, et nous aide à prendre conscience d’une nouvelle forme de totalitarisme, qui résulte dans nos sociétés occidentales non pas de l’instauration de régimes despotiques, mais de l’agonie du politique dans les sphères de l’économie. Une organisation dépourvue de repères moraux et politiques peut être liberticide sans que ses membres ne soient conscients du phénomène totalitaire. Comment prendre conscience de cette nouvelle forme de totalitarisme ?

Quels sont les résultats de vos recherches ?

Selon la philosophe, le totalitarisme se traduit par l’élimination des singularités, laquelle occasionne un développement de masses homogènes. Il se manifeste également par l’affaiblissement de la solidarité qui suscite la méfiance, l’isolement et la destruction des espaces communautaires. Il repose enfin sur une éradication de la spontanéité qui est une des meilleures armes contre la manipulation idéologique et la domination. Or, précisément, dans nos organisations contemporaines caractérisées par le culte de la réussite professionnelle, les individus ne sont-ils pas condamnés à renoncer à leur singularité ? Dans un environnement de travail prônant la concurrence interindividuelle, les individus n’abandonnent-ils pas l’idée d’expérimenter la solidarité ? Au fur et à mesure de leur progression de carrière et de leurs prises de responsabilité, les individus ne se privent-ils pas également de la spontanéité, et par là, d’une certaine habileté créative ?

Quels sont les clichés que vous avez pu déconstruire ?

Nous prenons conscience qu’en intégrant le marché du travail, nous sommes souvent manipulés par une idéologie qui nous fait croire que l’individualisme, la concurrence et la productivité sont nécessaires et attrayants. Certes, d’un côté, nous acquérons des libertés, comme celles de réussir socialement, d'être performants et responsables. Mais d’un autre côté, nous perdons des libertés plus profondes, et en particulier, celle de poursuivre le bien commun et de donner du sens à notre travail. Ainsi, en nous efforçant de recouvrer de nouvelles libertés au travail, nous risquons bien de faire le contraire de ce que nous désirons faire en nous soumettant à de nouvelles formes de domination.

Quel impact cette réflexion pourrait avoir sur l’installation de nouveaux modèles en entreprise voire le comportement des salariés ?

Notre réflexion montre qu’une gouvernance éthique des entreprises est capable de mettre en place un environnement propice aux actions singulières, solidaires et spontanées. Concrètement, cela implique que tous ceux disposant d’une certaine autorité soient attentifs :

• aux possibilités d’évolution de carrière mais aussi et surtout à toutes les formes d'épanouissement dans le contexte professionnel (bien-être individuel, bien poursuivi, beauté du travail),

• aux performances individuelles objectives mais aussi et surtout aux fruits du travail collectif,

• à l'engagement au travail mais aussi et surtout à la suspension de la productivité permettant la créativité.

Chaque individu au travail peut également tenter de se libérer de cette pression idéologique. Plutôt que de se focaliser sur les libertés illusoires telles que celles de choisir ses employeurs, de négocier son contrat et de gérer sa carrière, il peut chercher à privilégier les libertés véritables, en particulier la liberté d’agir pour le bien commun.

​Retrouvez l’étude complète

SHYMKO, Y., FREMEAUX, S. (2022). Escaping the fantasy land of freedom in organizations: the contribution of Hannah Arendt. Journal of Business Ethics, 176 (2), 213-226. doi: https://doi.org/10.1007/s10551-020-04707-x

Grand mécène de la chaire Impact Positif depuis 2014, KPMG France poursuit son partenariat avec Audencia pour 4 ans. Le leader de l'audit et du conseil soutiendra ainsi des projets de recherche liés à la Responsabilité Sociétale des Entreprises, notamment en matière d’égalité femmes-hommes.

"Ce partenariat a pour objectif de développer des projets pédagogiques et de recherches ayant un impact positif sur les entreprises et la société et faire de l’engagement social et environnemental un levier d’innovation et de performance. Au programme, la réalisation de nouvelles études sur l’égalité femmes – hommes et les stéréotypes de genre." précise André Sobczak, Délégué Général RSE d’Audencia, et co-titulaire de la chaire Impact Positif.

KPMG, entreprise leader de son secteur, s’appuie en effet sur le succès d’initiatives telles que #NégoTraining, la formation gratuite à la négociation salariale portée par la chaire, et qui a déjà permis de former plus de 3 000 femmes, agissant ainsi concrètement en faveur de l’égalité femmes-hommes. Cette collaboration a également permis d’établir un baromètre de l’égalité en 2019. L’ensemble de ces actions viennent compléter l’accompagnement de KPMG France sur ces sujets auprès d’entreprises au niveau national comme régional, des grandes entreprises aux PME. Par ailleurs, les travaux réalisés avec la chaire alimentent la politique interne du cabinet en matière d’environnement, de diversité et de rôle citoyen, notamment via la Fondation KPMG.

Plus récemment, la chaire a réalisé avec l’entreprise un guide des bonnes pratiques RSE de KPMG en France. Il présente des initiatives responsables dans les champs sociaux et environnementaux : promotion de la diversité, ouverture sociale, entrepreneuriat / intrapreneuriat inclusif, ou encore numérique responsable et label B-Corp.

Prochainement, la chaire diffusera également, avec le soutien de KPMG France, les résultats d’une nouvelle étude portant sur les choix d’orientation des étudiants et étudiantes et le poids des stéréotypes de genre, qui ont un impact sur la mixité des métiers.

"Depuis 100 ans, nous accompagnons nos clients dans tous leurs enjeux, pour les aider à se transformer et à affirmer leur leadership durable dans un monde en perpétuelle mutation. Notre rôle est de les guider dans ce nouveau cycle de développement basé sur l’utilité sociale, le sens et le bien commun. Partenaire de confiance, nous sommes heureux de renouveler notre collaboration avec la chaire Impact Positif d’Audencia dans l’optique d’accompagner notre écosystème dans leur transformation positive  en les aidant, via les différents projets, à détecter de nouveaux gisements d’innovation, de croissance et de création de valeur responsable" souligne Laurent Geoffroy, membre du Comité Exécutif, Directeur des Ressources Humaines.

Pendant 1 mois, la 4^e édition d'Audencia Around The World a proposé des rendez-vous toujours plus audacieux.

Ce nouveau temps fort est destiné aux étudiants et aux diplômés qui vivent et travaillent actuellement dans différentes villes du monde. Un retour à des événements 100% en présentiel après une édition 2021 qui avait expérimenté les rencontres en ligne.

Près de 30 rendez-vous

De Barcelone à New-York, ce sont près de trente rendez-vous qui se sont déroulés autour du globe. Nettoyage de la plage à San Francisco, randonnée à vélo dans le désert de Dubaï, plogging à Alger et Shanghaï....Les événements sont une nouvelle fois très variés.

"A New-York, c'est même un challenge autour du compostage qui a lieu tout au long du mois. Il sera supervisé par un diplômé d'Audencia qui a lancé  sa propre stat-up dans le domaine de valorisation des déchets."

Dépassement de soi

A Genève, les participants se retrouveront pour une baignade nocturne dans le lac Léman suivie d'une raclette ! Quant à la communauté de Toronto, elle s'est donnée rendez-vous en haut de la célèbre CN Tower pour une marche au-dessus du vide. Harnachés et encadrés, les participants testent leur résistance au vertige à plus de 500m du sol !

À l’issue de la remise des prix de la 4e édition de ce concours d’entrepreneuriat, ce sont 4 projets ambitieux et à impact portés par des étudiants et Alumni qui ont été récompensés.

Le Concours Audace a pour objectif de soutenir les talents entrepreneuriaux Made in Audencia et de mettre leurs initiatives en lumière lors d'un événement convivial de remise de Prix.

Les lauréats concouraient dans 2 catégories, Jeune Pousse et Impact. Les 24 projets en compétition ont été analysés par des jurys et soumis à un vote du public, permettant d’attribuer les différents prix.

Les 1200 votes de la communauté Audencia (étudiants, diplômés et collaborateurs) ont permis d’attribuer les Prix du Public pour chaque catégorie.

Zoom sur les 4 projets lauréats de la compétition !

Catégorie "Jeune Pousse"

Le porteur de projet est engagé dans la conception et le lancement d'un projet entrepreneurial (concept formalisé, équipe constituée, ante-création).

• Prix du Jury : Tech Size

Porté par : Jacques Allibert (Audencia Grande École) et Lancelot Convert (Audencia Grande École)

Le pitch : Avec Tech Size, la caméra d’un smartphone prend des mensurations en quelques secondes. Grâce à l’Intelligence Artificielle, les utilisateurs peuvent trouver la taille parfaite pour chaque marque et pour chaque vêtement. Les marques économisent de l’argent et diminuent l’empreinte carbone liée aux retours !

• Grâce au parcours entrepreneurial d’Audencia et au soutien du pôle Exploration et Entrepreneuriat d’Audencia, Jacques Allibert et Lancelot Convert substitueront leur stage de fin d’études par un stage entrepreneurial pour donner vie à ce projet.

• Prix du Public : Bonjour de France

Porté par : Thomas Perez (Audencia Grande École), Mathieu Perez, Eva Perez, Marielle Perez, Patrice Perez

Le pitch : Bonjour de France et ses Frenchy Bikes (autonomes et 100 % neutres en CO2) ont pour ambition d’inonder les campus américains dans le fameux Art de Vivre à la française. Avec des gourmandises simples et délicieuses, les Américains pourront sentir Paris juste à côté de leur bureau.

Catégorie "Impact"

Le projet (concept formalisé, équipe constituée, ante-création) s'inscrit dans l'un ou au croisement de plusieurs Objectifs de Développement Durable (ODD) des Nations Unies et vise un impact positif sur notre société.

• Prix du Jury : La Cuisine de Jeannette

Porté par : Ombeline Gille (Diplômée Audencia Grande École 2021)

Le pitch : La Cuisine de Jeannette est un projet de conserverie authentique, inclusive et responsable. Une fois les fruits et légumes déclassés récupérés, ils sont transformés en produits de longue conservation (purées, confitures, etc.). Tous les produits sont pensés, produits et vendus avec des personnes en situation de handicap.

• La Cuisine de Jeannette a conquis le jury grâce à son double impact social et environnemental : le projet remporte également le Prix Coup de Cœur du Concours Audace 2022 !

• Prix du Public : Godo

Porté par : Gauthier Masson (Audencia Grande École), Matthieu Codet, César Roussel, Clément Puybarreau

Le pitch : Godo aide les entreprises et les particuliers à réduire de 80 % l’impact environnemental de leur matériel informatique. Grâce à un service de location d’appareils reconditionnés en France, Godo permet à chaque appareil d’être revalorisé aussi longtemps que possible.

• Depuis début mars 2022, Godo fait également partie de la nouvelle promotion de startups de l’Incubateur Centrale-Audencia-Ensa.

Les lauréats remportent :

• Du coaching personnalisé par le Pôle Exploration & Entrepreneuriat d’Audencia ;
• L’accès à des modules de formation continue au sein d’Audencia Executive Education ;
• Des tickets pour le bootcamp du WAGON Nantes, école leader du code et partenaire d’Audencia ;
• Ou encore des bourses entrepreneuriales de la Fondation Audencia.

Le concours était co-organisé par le pôle Exploration & Entrepreneuriat d'Audencia avec la participation des associations ACE (Audencia Club of Entrepreneurship) et Enactus Audencia, ainsi que de l’Incubateur Centrale-Audencia-Ensa. Les jurys étaient composés d’une marraine ou d’un parrain entrepreneur, d’un professeur d’Audencia, des présidents des associations ACE ou Enactus Audencia, ainsi que d’un lauréat du Concours Audace 2021.

Cette année, un jury spécial a également attribué un prix Coup de Cœur. Il rassemblait : Christophe Germain (Directeur Général), Makram Chemangui (Directeur Général Adjoint), Adrien Poggetti, Directeur La Cantine Nantes et Coline Mazeyrat, Co-fondatrice Jho – parrain et marraine de l’événement.

Découvrez l'ensemble des 24 projets entrepreneuriaux soumis par la communauté Audencia sur le site audace.audencia.com

Yoann Choin-Joubert, PDG fondateur REALITES et Christophe Germain, Directeur Général d’Audencia, ont renouvellé le partenariat liant les deux institutions jusqu’en 2026. En 2018, cette collaboration prend la forme de la chaire "REALITES-Faire vivre l’intelligence des territoires".

La chaire a pour ambition de créer et partager des connaissances sur le développement des grands projets urbains, en associant les collaborateurs du Groupe REALITES à une équipe de professeurs et chercheurs d’Audencia.

Pour Yoann Choin - Joubert, PDG de REALITES, "il était indispensable d’inscrire notre partenariat avec Audencia dans la durée. Nous sommes face à des mutations profondes et constantes qu’il faut comprendre et analyser en profondeur pour être en mesure d’en tirer le meilleur parti. Comme aménageur territorial et entreprise à mission, nous sommes conscients de notre impact sur la ville, sur la manière de l’habiter et de la vivre. Nous avons besoin au quotidien de bâtir du savoir et de l’expertise, de confronter nos convictions et nos expériences. Travailler avec Audencia et ses chercheurs, c’est créer un lieu de réflexion de débat, de travail et d’influence. C’est casser les murs entre le monde de l’entreprise et le monde académique. C’est porter une vision commune : le territoire intelligent, c’est le territoire qui refuse de se figer, qui se transforme et qui voit loin."

Une vision partagée par Christophe Germain, Directeur Général d’Audencia. "Avant toute chose, je tiens à remercier le Groupe Réalités de nous avoir réitéré sa confiance dans le cadre du renouvellement et du renforcement de ce partenariat. Il est indispensable pour Audencia et ses enseignants – chercheurs de collaborer avec des entreprises qui sont à l’avant-garde dans leur domaine pour développer de nouveaux savoirs et de nouvelles expertises. Le Groupe REALITES fait partie de ces entreprises qui ambitionnent d’inventer le futur avec une vision responsable. Nous nous réjouissons de pouvoir apporter notre contribution à cette ambition".

Anne Launois, co-titulaire de la chaire "REALITES – Faire vivre l’intelligence des territoires" se réjouit de la « poursuite de la collaboration avec le Groupe REALITES, avec qui nous co-construisons des projets pédagogiques et de recherche communs depuis 4 ans. Leur réussite, leur engagement et leur volonté d’inscrire leurs actions au service des territoires sont autant de valeurs communes partagées avec l’école, que nous allons approfondir dans les prochaines années".

• L’envie de créer et partager des connaissances sur le développement des grands projets urbains

A travers ce partenariat, le Groupe REALITES et Audencia partagent l’envie de créer et partager des connaissances sur le développement des grands projets urbains. La chaire "REALITES – Faire vivre l’intelligence des territoires" vise à proposer une nouvelle vision de la fabrique de la ville à travers des travaux de recherche utiles et innovants, à former des professionnels et à ouvrir les débats en fédérant une communauté d’acteurs et de villes de taille intermédiaire pour un développement positif de leur territoire.

Pour cela, la chaire mettra en œuvre des études et publiera des portraits d’opérations dont les ambitions traduisent les enjeux contemporains de la fabrique de la ville : protection de l’environnement, co-production public/privé...

La chaire prévoit également d’organiser des évènements, invitant experts, parties prenantes et artistes à croiser leurs regards sur ces questions d’actualité. La création de cycles de rencontres entre des acteurs intéressés (élus, citoyens, acteurs privés, etc.), de modules de formations accessibles en ligne et de voyages d’études centrés sur des grands projets urbains remarquables en France ou en Europe complèteront ce dispositif de débat hors des murs.

Une approche novatrice, comme le précise Virginie Grandhomme, co-titulaire de la chaire. "Début 2021, REALITES est devenu le premier maître d’ouvrage en France "Entreprise à Mission" avec des objectifs ambitieux de réduction de son empreinte carbone. Le renouvellement de ce partenariat permettra à la chaire "REALITES – Faire vivre l’intelligence des territoires" de développer un programme de recherche sur les mutations en cours dans le secteur de l’aménagement urbain et dans les modalités de collaboration entre les différents acteurs de la fabrique de la ville. A ce titre, il illustre parfaitement l’ambition du nouveau plan stratégique d’Audencia, ECOS 2025, de fédérer des acteurs engagés de nos écosystèmes pour accompagner les transformations vertueuses des individus, des organisations et de la société."

• Un partenariat renouvelé jusqu’en 2026

A travers un engagement financier de plus de 1 600 000 € jusqu’en 2026, le Groupe REALITES réaffirme sa volonté d’accompagner sur le long terme un acteur académique incontournable de son territoire.

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Au-delà de l’impact carbone que peut représenter la mauvaise gestion de nos espaces numériques, ce nettoyage participe aussi et surtout à votre bien-être. Nos espaces ne sont pas illimités et prendre quelques minutes pour effectuer ce geste ne pourra que contribuer à optimiser vos recherches, afin de supprimer tous documents inutiles à vos activités futures.

De plus, avoir des espaces optimisés permet de moins sur-solliciter nos équipements informatiques et augmenter leur durabilité.

Au programme de cette journée, organisée en lien avec le Cyber World Cleanup Day porté par l'INR le 19 mars, plusieurs temps forts :

• Une présentation De Marie-Odile Lhomme et André Sobczak sur la démarche d’Audencia autour du numérique responsable et des engagements de l'Ecole dans le cadre du plan stratégique ECOS 2025 et des enjeux RSE

• Une intervention inspirante de Jérôme Lucas, Directeur Général de Digital4Better qui évoquera la thématique clé que représente la pollution numérique et la nécessité d’une politique Green IT partagée par tous !

Après la fresque du Climat, Audencia vous propose de participer à sa petite sœur, la fresque du Numérique ! Un atelier exceptionnel et ludique, réservé à 24 membres du staff (maximum) sur inscription, conçu dans le but de vous faire réfléchir sur les enjeux d’un numérique plus responsable !

Cette journée marquera aussi le lancement d’un concours transversal à l’Ecole et dédié au nettoyage digital de vos environnements numériques ! A la clé, plusieurs récompenses responsables :

A gagner : des bons d’achat et des lots chez notre partenaire AfB Shop !

Pour vous accompagner dans cette démarche, plusieurs ateliers de sensibilisation, menés par les équipes de la DTSI, vous seront proposés via TEAMS, le temps pour vous d’optimiser vos espaces et avant le dévoilement des grands vainqueurs;

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Visionnez la conférence

Michaël Roux va prendre la suite d’Anne Audran Ly sur les missions de Directeur Adjoint du PGE en charge des semestres fondamentaux.

Après 5 années de contributions actives aux transformations du PGE depuis 2017, Anne a souhaité reprendre une activité d’enseignement chercheur au sein de la Faculté d’Audencia.

Michaël saura s’inscrire dans la continuité tout en apportant sa vision et son expertise fruit d’un parcours riche : double diplomé de SciencesPo Paris + MS marketing ESSEC, Michaël a travaillé pendant 9 ans dans plusieurs grands cabinets de conseil avant de soutenir sa thèse sur "la mindfulness et le manager" et débuter sa carrière académique à Audencia en 2018, en tant que professeur au sein du département Marketing.

Depuis, il copilote la majeure "marketing for product manager" et plus récemment a accepté d’assurer l’intérim du MS SDIDAM.

Nommée Learning & Quality Development (anciennement DQAC), cette direction couvre désormais trois domaines d’activité – Trois expertises touchant transversalement différents publics internes et externes, dans un objectif : viser l’excellence à tous les niveaux ! 

Retrouvez ci-dessous le détail de ces 3 expertises et le travail collectif porté par la LQD au service des projets internes.

• Première expertise – La Qualité. "Notre pôle Quality Developement s’occupe de la gestion et du renouvellement des labels, certifications, visas, titrages et accréditations liés aux programmes et à l’institution. Des titres certifiant une qualité tant au niveau national qu’international. En plus, notre rôle est de développer les démarches et processus de la qualité et d’acculturer l’ensemble de l’Ecole. Tous ces sujets peuvent parfois apparaitre comme des contraintes… mais en réalité, toutes les démarches engagées ne sont qu’un gage de qualité et d’amélioration continue certifiée, ni plus ni moins. Et si nous nous soumettons à certaines de ces certifications, c’est souvent pour garantir l’excellence pour nos étudiants mais aussi assurer l’accessibilité à certains financements publics, essentiels au développement de l’Ecole. Notre rôle est donc, dans l’objectif de l’obtention de ces titres, le partage de bonnes pratiques pour veiller à une harmonisation et optimisation en interne et à un meilleur partage des informations. En ce sens, nous avons un vrai rôle d’accompagnement."

• Les liens avec le plan stratégique : "Dans le cadre de ce pôle, nous avons un projet qui s’appelle Qualité Globale dont le but est "d’industrialiser" les process afin d’automatiser certaines choses pour faciliter la vie de tous. Il faut rappeler que les démarches qualité sont au finale pour les étudiants."

• Deuxième expertise-L’analyse de données et les classements. "Notre pôle Institutional Data & Rankings pilote toutes les actions nécessaires pour répondre aux classements et reporting. Nous nous chargeons aussi de l’analyse des classements : pourquoi avons-nous été bon ou mauvais sur tel classement, et sur quels critères ? Nous assurons aussi le fait de communiquer sur les mêmes données à l’externe, tant auprès de la presse, des partenaires que pour les classements. Enfin, nous sommes en train de développer les compétences autour de l’analyse complexe de données transversales au niveau institutionnel."

• Les liens avec le plan stratégique : "Notre projet autour de l’analyse de données s’articule avec le projet BI porté par la DTSI. C’est la raison pour laquelle nous travaillons conjointement au sujet de la data afin de croiser les besoins et permettre une analyse fine des données."

• Troisième expertise : L’ingénierie pédagogique. "Le pôle Learning & Teaching development au sein de notre direction travaille au service des programmes et des professeurs dans l’accompagnement de l’ingénierie et l’innovation pédagogique et pour la réalisation de cours en ligne, le digital learning, hackathons, ou tout autre modèle différent. Tous les projets pédagogiques exprimés rentreront à termes par chez nous, et seront réalisés via des prestataires notamment si les compétences ne sont pas présentes en interne."

Trois pôles qui interagissent ensemble au service des projets stratégiques

"Aujourd’hui il est intéressant de voir que ces trois expertises, nos trois pôles, travaillent ensemble au service de projets communs. L’évaluation des cours à Audencia par exemple, qui fait partie des questionnements actuels ; Au final, il en ressort des interrogations qui touchent les trois pôles : quelles compétences vont être questionnées dans ce cadre que nous créons ? Quelles sont les attentes exprimées par les classements au niveau des compétences étudiantes ? Quelle data peut nous servir à améliorer notre pédagogie au global ? Autant de questions où chaque pôle peut apporter sa pierre à l’édifice."

Mais il en est de même pour le projet Validation des acquis de l’expérience pour l’établissement de process plus précis, ou encore les projets Lighthouse (formation des professeurs en interne) ou C4I (Competencies 4 impact). "Chaque projet est mené par un chef de projet, secondé par plusieurs personnes au sein de mon équipe. L’idée est ainsi de permettre la stimulation intellectuelle au cœur des réflexions et ainsi de faire avancer le projet au mieux et au plus vite. Des managers viendront prochainement (avant l’été) confirmer l’organisation globale et renforcer les compétences déjà présentes."

Rendez-vous sur l’intranet dans la partie "Direction Learning & Quality Development" pour découvrir les membres de l’équipe et suivre toutes les actualités de la LQD.

La Direction des Relations Entreprises et Diplômés organisait le Forum Audit à destination de plus de 300 étudiants.

12 entreprises étaient au rendez-vous, en présentiel :

• BDO
• BAKER TILLY STREGO
• BECOUZE
• EY
• RSM
• PWC
• KPMG
• MAZARS
• PRIMEXIS
• DELOITTE
• WALTER FRANCE
• GRANT THORNTON

ainsi que plusieurs diplômés.

Ce forum était ouvert à tous les étudiants issus du PGE et des MS/Msc intéressés par ces métiers. Les jeunes diplômés à la recherche d’un emploi avaient également la possibilité de se joindre à l'événement. Au final, l’événement a été particulièrement apprécié avec une moyenne de 4.12/5 (selon les résultats de l'enquête envoyée auprès des étudiants).

Voir le reportage photos

Vendredi 11 et samedi 12 février, au Zénith ont eu lieu les cérémonies de remise des diplômes des Mastères Spécialisés, MBA et DBA Community et Executive Programmes puis Bachelor, BBA, SciencesCom et Masters Internationaux et enfin le programme Grande Ecole

Ils étaient plus de 100 collaborateurs à participer à ces cérémonies qui ont réuni plus de 1 000 invités et plus de 700 diplômés.

Découvrez les différents reportages photos :

Vendredi 11 février – soirée

• MS,  MBA et DBA Community et Executive Programmes
  • Replay 
  • Reportage photo

Samedi 12 février – matinée

• Bachelor, BBA, SciencesCom et Masters Internationaux
  • Replay
  • Reportage photo

Samedi 12 février – après-midi

• Programme Grande Ecole
  • Replay
  • Reportage photo

Audencia SciencesCom organise pour la première fois son Forum dédié aux métiers de la communication et des médias.

L’intégration professionnelle est au cœur des préoccupations des étudiants. Un sujet central de tout temps mais, avec la crise sanitaire actuelle, il revêt aujourd’hui une importance particulière. Les étudiants en communication ne sont pas épargnés par ces interrogations, tout comme les entreprises du secteur qui, en réaction, décident de plus en plus de communiquer. Afin de répondre à ces attentes, Audencia SciencesCom organise, toute l’après-midi du 24 février 2022, son premier Forum Communication et Médias.

Son objectif ? Mettre en relation près de 200 étudiants de l’école en recherche de stage et une vingtaine d’entreprises et agences de communication souhaitant recruter leurs futurs professionnels de la communication. Organisé au sein du Médiacampus, au cœur de l’île de Nantes, ce Forum Communication et Médias est le lieu idéal de rencontre pour leur permettre d’échanger sur les multiples visions de la communication et découvrir un sens commun.

Il s’adresse donc à toute organisation ayant un besoin de stagiaire ou d’apprenti dans les prochains mois. Que vous soyez une agence de communication, une organisation à but non lucratif, membre d’un réseau de communicants, (APCOM, COM-ENT, AFCI, COM&MEDIA, AACC, IREP), une PME ou une entreprise de plus de 250 salariés.

Cet événement est principalement ouvert aux étudiants d’Audencia SciencesCom en recherche de stage ou d’apprentissage mais aussi, comme tous les forums organisés par l’école, aux étudiants d’autres programmes souhaitant trouver un stage en communication.

Parmi les entreprises présentes : Agence Communicante ALOUETTE ARXONE SL Les Recontres Trans Musicales de Rennes Ataraxia Capital Carsat Bretagne C7 Communications Dassault Systèmes Fondation de France Fondation Mutualia Grand Ouest Gens de Confiance Germe, le réseau de progrès des managers GROUPE IDEA TESTS IRYS Photographie

Dans le cadre de leur travail de recherche, Benjamin Le Pendeven et Alexandre Garel, professeurs à Audencia ont vu leur article "Calendar effects and crowdfunded projects" publié dans la revue Economics Bulletin (classée 2 étoiles par Audencia et catégorie 3 par le CNRS).

Un travail qui porte sur les effets du calendrier sur le succès des campagnes de crowfunding. Et si la date de lancement de la campagne et les périodes comprises dans la campagne donnaient déjà une indication clé quant au succès ou non du financement ? Alexandre et Benjamin ont accepté de répondre à quelques questions pour présenter en détail leur travail.

QUESTIONS

• Pouvez-vous nous dire en quelques mots le sujet de votre recherche ?

Nous avons souhaité comprendre si les périodes lors desquelles des campagnes de crowdfunding sont lancées et menées avaient une influence significative sur le succès de ces financements. Les facteurs influençant la réussite des campagnes de crowdfunding sont très étudiés, qu’ils soient propres à la campagne ou aux porteurs de projets (nature du projet, signaux de qualité envoyés dans le cadre de la vidéo ou du pitch, profil de l’équipe de porteurs de projets, etc.), à la foule de financeurs (sociologie, effets d’entrainement, rôle des leaders d’influence, etc.) ou à des facteurs plus externes, tels que le calendrier dans lequel s’inscrit la campagne. C’est dans cette continuité que s’inscrit notre étude.

• Comment êtes-vous parvenus à extraire les données nécessaires à votre recherche ?

Nous avons travaillé avec des données fournies par la plateforme Ulule, une des principales plateformes de crowdfunding en France et en Europe. Ulule a eu une politique d’ouverture – contrôlée – de ses données à des équipes de recherche sélectionnées. Ces données sont d’une très grande finesse, très propres, et nous n’avons pas eu à massivement collecter des données supplémentaires. Le seul travail data complémentaire fut de collecter les données de calendrier (dates de vacances d’été, jours fériés, etc.) pour toutes les années de l’échantillon.

• Et quelles sont les conclusions de vos recherches ?

Nos recherches concluent sur le fait que globalement, le calendrier d’une campagne peut avoir un effet significatif sur son succès. En effet, même si certains facteurs ont un effet négligeable (les jours fériés), on sait désormais que, toutes choses égales par ailleurs, les collectes sont significativement moins bonnes lors des week-ends, des vacances estivales, et lors de certains mois (printemps/été).

• En ce sens, quels seraient selon vous les meilleurs moments pour lancer sa campagne ?

Toutes choses égales par ailleurs, afin de maximiser l’atteinte des objectifs de la campagne de crowdfunding, il faudrait viser les mois "haussiers" (septembre à novembre, février et mars) et inclure le minimum de week-ends possible dans la campagne de financement.

• Existe-t-il des limites à vos recherches ou des éléments qui pourraient limiter les conclusions que vous pouvez tirer ?

Bien évidemment, comme tout travail scientifique notre étude dispose de limites. En premier lieu, il s’agit du contexte géographique et temporel : notre échantillon concerne la France, de Juin 2010 à Avril 2016. Même si rien ne nous permet de penser que cela se passerait différemment aux Etats-Unis, en Italie, ou en Australie ou que cela soit différent en 2022, cela n’a pas été étudié empiriquement. Par ailleurs, nous nous sommes concentrés sur le crowdfunding orienté don (reward-based crowdfunding), et on peut s’attendre à d’autres types de résultats pour le crowdfunding orienté capital ou prêt. En cela, nos résultats ne sont que partiellement généralisables, car les financeurs ne sont pas totalement les mêmes pour ces différentes formes de financement.

Alexandre Garel & Benjamin Le Pendeven, 2021. "Calendar effects and crowdfunded projects," Economics Bulletin, AccessEcon, vol. 41(3), pages 1407-1417.

"Entreprises familiales et COVID, quelles tendances pour le monde d’après ?"

C'est ce que vous découvrirez dans la 2nde étude de l’Observatoire National de l’Entrepreneuriat Familial français.

Reconnue pour son expertise en France et à l’international, La chaire Entrepreneuriat Familial et Société d’Audencia lançait en juin 2019 l’Observatoire National de l’Entrepreneuriat Familial, en partenariat avec le FBN (Family Business Network) France.

Celui-ci a livré, au cours d’une table-ronde organisée au sein du Médiacampus, les résultats de sa deuxième étude, administrée par OpinionWay.

Son objectif ? Définir les grandes tendances des entreprises familiales pour le monde d’après COVID, pour mieux appréhender leurs caractéristiques intrinsèques et identifier des points de vigilance à travailler, afin de renforcer leur pérennité et leur croissance.

Les entreprises familiales représentent une part importante dans l’économie française. Leur solidité financière leur permet d’être plus résilientes face aux crises et de pouvoir se projeter sur le long terme mais jusqu’à quand ?  Pour perdurer et rester compétitives dans cette période COVID, les entreprises familiales et non familiales doivent résister aux turbulences : comment font-elles ? Quels sont leurs nouveaux défis ? Quels enjeux pour la gouvernance de l’entreprise au fil des générations ? Comment la culture entrepreneuriale et la culture familiale cohabitent-elles en période de crise ?

Autant de questions auxquelles l’Observatoire national de l’entrepreneuriat familial répond dans ce second rapport. En comparant les réponses récentes données par les dirigeants d’entreprises familiales (EF) et non-familiales (ENF) à celles de 2019, réalisées avant la période COVID, les résultats mettent en lumière des constantes ainsi que des changements intervenus lors de la crise. Les entreprises familiales ont su traverser la crise COVID avec succès, gardant leur confiance en l’avenir intacte par rapport à 2019. Leur résilience s’est concrétisée en une démarche d’innovation encore plus forte qu’en 2019, en une réflexion encore plus poussée autour de la RSE, et un renouvellement certain de leurs pratiques de gouvernance. Toutefois, les résultats montrent aussi que des angles morts persistent, aussi bien pour les entreprises familiales que non familiales.

• La crise sanitaire n’a pas d’impact sur le haut niveau de la confiance en l’avenir économique des entreprises

9/10 des dirigeants des entreprises interrogés restent majoritairement confiants en l’avenir économique de leur entreprise pour les 5 prochaines années :

- La crise du COVID n’a pas entamé cette confiance (91% en 2021 et 93% en 2019).

- Le nombre de dirigeants "tout à fait confiants" a même doublé entre la première et la deuxième édition de l’Observatoire (32% en 2021 contre 16% en 2019).

Les dirigeants des entreprises familiales sont plus optimistes (38%) que leurs homologues des entreprises non familiales (29%) en 2021, avec une réelle progression depuis 2019. Les dirigeants ont donc une vision plutôt positive des résultats de leur entreprise. Ceci est notamment le cas des PME, ETI et GE. Plus de 90% de leurs dirigeants estiment que leurs entreprises ont été performantes en matière de chiffre d’affaires contre 82% pour les TPE.

Malgré la pandémie, le niveau de confiance des entreprises familiales est supérieur à celui des entreprises non familiales. Les dirigeant sont plus confiants dans le développement de leur entreprise, sa croissance et sa pérennité. Le modèle unique des entreprises familiales, basé sur le financement en fonds propres et une trésorerie solide, a été un réel atout pour traverser la crise COVID. En faisant le choix, par exemple, de puiser dans leurs ressources propres, elles ont pu garder leurs effectifs et investir dans la R&D.

• Des salariés confiants pour l’avenir, avec une vision plus contrastée s’ils travaillent en famille

Au cœur des entreprises interrogées, 7 salariés sur 10 se disent optimistes quant à l’avenir économique de leur entreprise pour les 5 prochaines années (67% pour l’année à venir) :

- Les salariés des secteurs de l’industrie et des services sont les plus confiants, en particulier les 50-64 ans (75%). Ces derniers ont connu plus souvent des crises et des bouleversements sociaux que les 25-34 ans. À l’image des entreprises familiales, ils sont devenus plus résilients face aux difficultés.

- Les résultats de l’Observatoire montrent qu’ils sont majoritairement confiants quant au développement (63%), à la pérennité et à la croissance (61%) de l’entreprise et en sa capacité d’innovation (58%), même en période de crise.

Travailler en famille, au niveau des dirigeants comme des salariés, a des impacts positifs sur la famille ET sur l’entreprise :

- Diriger une entreprise dans un contexte familial est perçu comme un avantage dans le cadre privé par 3/4 des dirigeants d’entreprise familiale.

- Et travailler en famille est perçu comme un avantage dans le cadre privé par 2/3 des salariés travaillant avec des proches.

Toutefois, les salariés sont moins confiants s’ils travaillent en famille. En effet, ils sont relativement moins confiants en la santé financière de l’entreprise (65% contre 76% pour ceux qui ne travaillent pas en famille). Si l’entreprise rencontre des difficultés, les salariés pourraient craindre un licenciement pour eux et/ou le membre de leur famille. Les conséquences seraient alors préjudiciables au niveau non seulement individuel mais aussi familial.

• La crise sanitaire, un accélérateur d’innovation ? Elle a bousculé le monde du travail et son organisation

Les entreprises ont beaucoup misé sur les salariés en les fidélisant (92% en 2021 contre 85% en 2019) et en maintenant les emplois en télétravail ou en chômage partiel. De nouveaux talents (79% en 2021 contre 71% en 2019) ont été recrutés pour développer le digital dans toutes ses formes (e-commerce, réseaux sociaux, site web, référencement …), développant ainsi l’inclusivité de leur démarche commerciale tout en innovant.

80% des entreprises familiales interrogées considèrent avoir été beaucoup plus performantes dans leurs capacités d’innovation (contre 53% en 2019) pendant la période du COVID. Cette démarche renforcée d’innovation se reflète notamment dans les investissements en R&D et dans les projets entrepreneuriaux des membres familiaux. Une fois le choc passé suite aux annonces gouvernementales, elles ont su rebondir et trouver des solutions rapides pour s’adapter à la situation.

• Une culture d’entreprise forte, renforcée par l’entrepreneuriat

Les entreprises familiales connaissent un changement plus important dans la culture d’entreprise par rapport aux entreprises non-familiales, et ceci quelques soit le secteur d’activité ou la taille de l’entreprise :

- la culture familiale diminue légèrement par rapport au premier Observatoire (52% en 2021 contre 64% en 2019),

- alors que la culture entrepreneuriale augmente (49% en 2021 contre 25% en 2019),

- ce qui est également le cas de la culture de la communication (41% contre 36%)

- et de la culture de l’innovation (28% contre 26%).

La culture entrepreneuriale est soutenue par la culture familiale avec des investissements en faveur des projets entrepreneuriaux des membres de la famille (17% en 2021 contre 11% en 2019), qui ont autant leur place que le financement de la R&D (16% en 2021 contre 21% en 2019). Le soutien financier apporté à l’entrepreneuriat intergénérationnel est encouragé par la présence des membres familiaux aux postes de direction opérationnelle.

Pour alimenter cette culture entrepreneuriale au sein de l’entreprise, les dirigeants favorisent l’entraide entre les salariés (75%) en valorisant ceux qui prennent des initiatives sans craindre les échecs (66%).

Une évolution moins favorable concerne le développement de nouveaux marchés, très impacté par la crise COVID (51% en 2021 contre 77% en 2019). Dans le détail, cela représente une forte diminution :

- pour les entreprises familiales (47% en 2021 contre 75% en 2019)

- et pour les entreprises non familiales (53% en 2021 contre 79% en 2019).

Ceci est certainement dû à la fermeture des commerces non essentiels et des frontières, aux mesures de confinement, de couvre-feu et de déplacements restreints.

• Les entreprises familiales revendiquent un engagement responsable plus important

Face à la crise COVID, 81% des dirigeants (EF et ENF) pensent avoir été plus performants dans leur politique RSE en 2021 (contre 63% en 2019). Les entreprises savent désormais qu’elles sont scrutées et jugées sur leur impact environnemental et sociétal. Cependant, la RSE devrait être envisagée comme un levier de compétitivité et pas seulement comme un outil de communication ou marketing. Les entreprises familiales sont les plus avancées sur ces sujets. Elles ont depuis toujours construit un modèle durable grâce à leur impact positif sur le développement économique local, l’emploi et l’environnement.

C’est ainsi que l’engagement responsable (50% EF contre 36% ENF) et le bien-être au travail (73% EF contre 52% ENF) sont particulièrement revendiqués par les entreprises familiales comme des priorités par rapport aux entreprises non-familiales. Par ailleurs, les nouveaux actionnaires familiaux arrivés au sein des instances de gouvernance d’entreprises familiales sont très attentifs à cette transformation.

• Des perceptions divergentes de la réalité de l’entreprise entre les dirigeants et les salariés

Les dirigeants se berçent-ils d’illusions ? Dirigeants et salariés s’accordent sur le fait que la performance de leur entreprise est positive en matière de :

- qualité des relations clients,

- fidélisation des talents,

- croissance du chiffre d’affaires,

- développement personnel des salariés,

- politique RSE, attractivité,

- et capacité d’innovation.

Néanmoins, des contrastes de perception sont présents par rapport à tous les indicateurs de performance perçus, évalués dans l’enquête. La performance globale de l’entreprise est perçue plutôt positivement par les salariés, même si de manière moins enthousiaste que par les dirigeants. Des perceptions plus contrastées se font jour en matière de gestion des ressources humaines :

- attractivité (58% des salariés l’évaluent positivement contre 79% pour les dirigeants),

- et fidélisation des talents (59% des salariés l’évaluent positivement contre 92% pour les dirigeants).

Dirigeants et salariés n’ont pas accès au même niveau d’information, ils ne vivent pas l’entreprise de la même manière au quotidien et n’ont pas les mêmes objectifs, ces différences de perception sont donc normales.

• Des salariés sceptiques mais heureux de travailler dans une entreprise familiale

De même, les salariés sont plus sceptiques quant à la performance de leur entreprise en matière de politique RSE, qu’ils perçoivent positivement pour 64% d’entre eux contre 81% des dirigeants.  La seule dimension de performance par rapport à laquelle les salariés se montrent plus positifs que les dirigeants est le développement international de l’entreprise (perçu positivement par 65% des salariés contre 22% des dirigeants).

D’un point de vue familial, pour les salariés, travailler en famille est perçu largement comme un avantage (63%) pour des raisons pratiques d’organisation. Ils notent :

- plus d’entraide lors des périodes de forte charge de travail (45%),

- une gestion quotidienne familiale plus pratique (35%),

- et des liens familiaux renforcés (32%).

De plus, travailler en famille facilite la diffusion des savoirs professionnels (45%), renforce la fidélité à l’entreprise (43%), la transmission de l’histoire de l’entreprise (43%) et de l’histoire familiale (40%), et augmente la motivation professionnelle (36%).

Par ailleurs, 72% des salariés travaillant en famille envisagent de manière confiante l’avenir de leur famille au sein de l’entreprise dans les 5 prochaines années, notamment quant à la pérennité de leur emploi (64%). Ce sentiment est plus présent chez les jeunes managers de 25 - 34 ans travaillant dans des PME et ayant 6 à 9 ans d’ancienneté. Néanmoins, ces avantages n’occultent pas toutefois la menace que le travail en famille représente sur la frontière vie privée / vie professionnelle (pour 65% des salariés).

• Des dirigeants confiants malgré des risques de tensions

Quant au fait de diriger dans un contexte familial, cela procure :

- une proximité avec les salariés selon 88% des dirigeants,

- une meilleure qualité de vie au travail pour 83%,

- et une communication interne plus facile pour 72%.

83% des dirigeants d’entreprise familiale envisagent avec confiance l’avenir de leur famille au sein de l’entreprise dans les 5 prochaines années. Le taux des répondants «tout à fait confiants » a augmenté de 15 points entre 2019 et 2021.  97% des dirigeants de PME interrogés se disent globalement confiants contre 81% des dirigeants de TPE.

De surcroît, plus le chiffre d’affaires de l’entreprise est élevé, plus les dirigeants sont optimistes (93% des entreprises avec un CA supérieur à 10M€, dont 56% "tout à fait confiants").

Les risques de tension entre les membres de la famille sont davantage présents à l’esprit des salariés que des dirigeants d’entreprises familiales. Recruter un autre membre de la famille - ou ne pas le recruter, le faire évoluer, le licencier ou le voir quitter volontairement l’entreprise, tout comme avoir des divergences de point de vue sur l’avenir de l’entreprise, constituent autant d’événements possibles, à même de créer des tensions. Là où les dirigeants imaginent ces tensions possibles autant au sein de la famille qu’au sein de l’entreprise, les salariés les projettent surtout au niveau des relations avec l’entreprise.

Par exemple, l’entrée de membre(s) de la famille est associée à une expérience difficile pour 42% des salariés interrogés surtout pour ceux en posture d’encadrement (33%). De leur point de vue, ce type de recrutement peut créer en interne un sentiment de népotisme ou de favoritisme : 23% des salariés le ressentent encore aujourd’hui et 19% seulement au moment du recrutement.

Pour les dirigeants d’entreprises familiales, plus l’entreprise traverse les générations, plus le risque de conflits familiaux augmente car le nombre d’interlocuteurs et le nombre de rôles possibles que chacun d’eux peut exercer en lien avec l’entreprise augmentent. Or, les résultats de l’Observatoire montrent qu’une entreprise familiale sur deux, à partir de la deuxième génération et plus, se dit plutôt confiante.

• Les entreprises familiales se trouvent à un tournant en matière de gouvernance

L’époque où les descendants de la famille fondatrice accédaient directement aux postes de direction est en passe d’être révolue dans la majeure partie des entreprises familiales. Les dirigeants actuels prennent la mesure des difficultés inhérentes à la reprise de l’entreprise familiale.

- En 2019, 8 dirigeants d’entreprises familiales sur 10 souhaitaient transmettre la propriété et la direction opérationnelle de l’entreprise à un ou plusieurs membres du cercle familial.

- Aujourd’hui, seulement 6 dirigeants sur 10 le souhaitent et à plus forte raison s’il y a des membres familiaux qui y travaillent déjà. Les résultats de l’Observatoire montrent également qu’il y a environ 6 fois plus de dirigeants qui pourraient confier la propriété de l’entreprise à un ou plusieurs salariés et 7 fois plus pour la direction opérationnelle, par rapport à 2019.

• L’attachement à l’entreprise est beaucoup plus fort chez les dirigeants lorsqu’ils travaillent pour un groupe familial.

Parmi eux, 97% se reconnaissent massivement dans l’esprit familial qui est propre aux entreprises familiales. L’attachement à l’entreprise est soutenu par la transmission et la communication autour des valeurs fortes comme la confiance mutuelle (86%) et les relations entre collègues (77%).

Travailler pour les entreprises familiales engendre un impact positif sur la dimension relationnelle comme élément d’ancrage et de stabilité dans l’entreprise :

- proximité avec les salariés (88%),

- qualité de vie au travail (83%),

- communication interne (72%),

- management (68%).

La France est la championne européenne de l’actionnariat salarié selon les derniers chiffres de Fédération européenne de l’actionnariat salarié de 2020. 3 millions de personnes sont actionnaires de leur entreprise. C’est une tendance qui se confirme encore aujourd’hui et qui n’est pas affectée par la crise sanitaire.

Pourtant, les résultats de l’Observatoire montrent que l’ouverture du capital aux salariés aurait un impact plutôt neutre pour 64% des dirigeants et 53% des salariés ; son impact est reconnu comme positif par 24% des dirigeants et 35% des salariés. Dans cette démarche, ceux qui investissent le plus sont :

- les professions intermédiaires (44%),

- dans l’industrie (48%),

- avec des responsabilités d’encadrement (48%).

Les résultats de la deuxième édition de l’Observatoire national de l’entrepreneuriat familial présentés ce matin lors de la table-ronde montrent avec clarté la résilience des entreprises familiales en cette période de pandémie. L’entreprise familiale apparaît plus que jamais comme une organisation réunissant des familles d’entrepreneurs et de salariés qui oeuvrent ensemble, parfois depuis plusieurs générations, au service de la pérennité et de la croissance de l’entreprise familiale.

Méthodologie de l’enquête

L’enquête OpinionWay pour Audencia est basée sur une étude réalisée auprès de deux échantillons : d’abord 500 dirigeants d’entreprises de 10 salariés et plus, dont la moitié pilote des entreprises familiales, et le second échantillon concerne 500 salariés travaillant dans des entreprises de 10 salariés et plus.

L’échantillon n°1 a été constitué selon la méthode des quotas, selon les critères de la taille de l’entreprise, du secteur d’activité et de la région. L’échantillon n°2 a été également constitué selon la méthode des quotas, selon les de sexe, âge, région, CSP, taille d’entreprise et secteur d’activité. 

En janvier, la Direction des Relations Entreprises et Diplômés a lancé la nouvelle campagne taxe d'apprentissage incitant les entreprises à verser à l'école cet impôt obligatoire.

Vous verrez ainsi sur les réseaux sociaux des messages indiquant les usages que nous faisons de la taxe d'apprentissage. Parmi ceux-ci : le développement des programmes répondant aux attentes des recruteurs, l'innovation pédagogique, le renforcement de la digitalisation sur les campus et dans l'enseignement. 

Objectif final : une meilleure intégration de nos étudiants sur le marché du travail.

Vous êtes ambassadeurs d'Audencia auprès de votre réseau, auprès de prescripteurs de l'école, alors n'hésitez-pas à "liker" les publications et à les partager.

Retrouvez toutes les informations sur la taxe d'apprentissage et les modalités de soutien ici

A partir de septembre, les étudiants du programme Grande Ecole pourront opter pour un semestre intégralement dédié à la formation aux enjeux environnementaux et sociaux dans leurs futurs métiers, porté par Gaïa, la nouvelle école interne à Audencia consacrée à ce sujet.

L’école Gaïa lancée par Audencia cette année poursuit son développement. Dès septembre, les quelque 1200 étudiants de master du programme Grande Ecole pourront choisir en M1 (2^e année PGE) de suivre un semestre 100% dédié au management de la transition écologique et sociale.

Se doter de compétences techniques et managériales solides

Le semestre, 100% en anglais, est composé de dix cours de 24 heures, alignés avec les Objectifs de Développement Durable des Nations Unies, et les Accords de Paris. Fidèle à la démarche d’hybridation initiée il y a plus de 20 ans, le parcours permettra aux étudiants de développer une culture d'impact en combinant des connaissances issues du management, des sciences environnementales, humaines, artistiques et techniques.

Les 20 cours proposés sont répartis en 4 blocs, au sein desquels sept cours sont obligatoires, tandis que chaque étudiant choisit dans le catalogue les 3 autres cours à la carte pour composer son semestre de 10 cours :

• WHERE DO WE COME FROM ?

Comprendre l'origine du vivant, du climat, des sociétés humaines via une approche plurisciplinaire. Les sciences de l'environnement (biodiversité, climatologie, etc.) et les cours d’histoire sont combinés, tout en gardant une perspective économique et managériale.

• WHERE DO WE STAND ?

Acquérir des connaissances et développer son esprit critique sur les mécanismes des comportements individuels et sociaux, la gestion, la réglementation et la justice, face aux défis mondiaux du 21^e siècle. Ce bloc mêle les sciences humaines (psychologie, philosophie, etc.), la technologie et les problématiques de l'entreprise.

• WHERE DO WE GO ?

Développer une vision prospective de la transition écologique et sociale. Les étudiants établiront un scénario de futur durable sur un thème spécifique (ville, alimentation, transhumanisme, financement, etc.), en s’appuyant notamment sur des cours liés aux business models et au management stratégique.

• HOW CAN WE ACT ?

Les 3 cours de ce bloc sont obligatoires (développement de l’impact, projet de consulting réél, "hacker" les biais humains). L’objectif est d’acquérir des compétences stratégiques et managériales pour agir durablement dans les organisations et la société.

Les 240 heures de cours seront enseignées par des professeurs permanents de l’école et des professionnels, tous spécialistes des enjeux environnementaux et sociaux, et de leur management. Elles feront la part belle aux techniques de pédagogie immersive : expériences basées sur les émotions et stratégies d’apprentissage issues des neurosciences, expérimentations, mais aussi des retours d’expérience de professionnels, ou encore des business games.

Plus de détails et schéma des cursus au choix du programme Grande Ecole.

Préparer l’ensemble des étudiants aux nouvelles conditions d’employabilité des entreprises

Parce que la transition écologique et sociale ne sera réussie que si elle devient l’affaire de tous, en dehors du semestre dédié au management de la transition écologique et sociale au sein de Gaïa, tous les étudiants Grande Ecole suivent des cours liés à ces enjeux. Ainsi, le cours de tronc commun d’économie est adapté aux limites planétaires et à la transition énergétique depuis 2019, soit 24h de cours pour les 540 étudiants de première année. Près de 1600 étudiants ont déjà été formés à ce cours, qui intègre également la Fresque du climat. Pour ceux désireux de poursuivre une spécialisation dans le domaine après leur diplôme Grande Ecole, Audencia a également lancé il y a deux ans et demi le Mastère Spécialisé^® "Acteur Pour la Transition Energétique". L’école poursuit également le projet ClimatSup Business avec The Shift Project pour intégrer ces enjeux dans l’ensemble de ses programmes. Au-delà, 100% de nos masters ont été redesignés pour intégrer les nouvelles compétences dans l’ensemble des métiers d’aujourd’hui et de demain.

Un événement au cours duquel, Laurent Métral et Christophe Germain, respectivement Président et Directeur Général de l'Ecole, ont pris le temps de revenir sur l'année exceptionnelle que nous avons vécue. L'occasion aussi de se projeter sur les semaines et mois à venir alors que 2022 s'annonce comme l'année de l'affirmation et de la concrétisation des ambitions du plan stratégique ECOS !

Dans l'éventualité où vous n'auriez pu être présent au moment de la cérémonie des vœux, retrouvez ci-dessous :

- Replay de l'événement

- Quelques photos

- La vidéo rétrospective des événements de l'année 2021

- Le motion design de présentation du Forum de l'Innovation

- La vidéo du dernier séminaire de rentrée