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Diplômés 98 : souvenirs d’une fin d’année très foot !

10 juin 1998 

60 ans après, l’Hexagone redécouvre le parfum d’un mondial à domicile. Pendant 5 semaines, la France va vivre au rythme des résultats des Bleus, vibrant, exaltant, tremblant et jubilant.

Ces émotions, décuplées par la liesse populaire, restent comme un souvenir indélébile. Stéphane Dugast (SciencesCom 98), auteur et réalisateur, se souvient de cet été-là :

J’ai eu la chance de vivre la Coupe du Monde de l’intérieur, grâce aux missions de 2 micro-agences confiées aux étudiants d’Audencia SciencesCom. En organisant un dîner pour les bénévoles du Comité Français d’organisation, puis en accompagnant les cameramen sur le terrain de la Beaujoire. Transporté par l’événement, il s’enthousiasme : Au cœur de l’événement, sur une pelouse qui m’avait fait vibrer plus jeune, j’ai pu voir plusieurs matchs. Ne manquant jamais d’être impressionné par les performances techniques et athlétiques des joueurs, en particulier celles des brésiliens, futurs finalistes malheureux.

En plus d’un mondial intense, les diplômés vécurent un été particulier récompensant leur parcours. 20 ans après, pour Julien Crespel (GE 98), c’est l’atmosphère se dégageant qui ressort : « La fin de nos études a été rythmée par une belle ambiance internationale avec l'arrivée des 12 équipes qui se sont affrontées à la Beaujoire, les supporters présents en nombre et bruyants sur les terrasses des cafés. Nous avons suivi plusieurs matchs sur l'écran géant de la plage artificielle, installée cours Saint André. Je me souviens tout particulièrement de la sortie de l'hôtel des brésiliens allant rencontrer le Maroc. Le match s'était terminé par une victoire 3-0 des champions en titre. »

Cet été 98 restera à jamais un moment fort pour les français, avec pour conclusion heureuse, ce fameux 12 juillet. Chacun se souvient encore de ce qu’il faisait ce soir-là. « La place de Petite Hollande était noire de monde à Nantes. Les yeux rivés devant l’écran géant, tous aux couleurs de la France, tenus en haleine par le jeu des Bleus », confie Nicolas Hesse (SciencesCom 98). « C’était un moment de joie et de partage entre supporters, amis ou simples inconnus. Une parenthèse où le temps s’arrête et où seuls l’émotion et l’instant présent comptent. Un moment d’histoire gravé aujourd’hui dans la mémoire collective et que chacun espère revivre un jour. »

Ces souvenirs précis, témoignent de la portée de l’événement. Au-delà de l’aspect sportif, les Bleus offraient un héritage populaire et une promesse, celle de revivre bientôt ces émotions. Celle-ci allait être respectée, puisque deux ans plus tard, la France vivait une nouvelle épopée victorieuse. Chacun rêve aujourd’hui que ce mondial 2018 soit une nouvelle fois source d’enthousiasme et de fierté.

 

En savoir + :

Retrouvez l’intégralité du témoignage de Stéphane Dugast (SciencesCom 98) sur son blog.

Lire les dernières publications de Stéphane Dugast

 

 

Matthieu Bonnamy, pour Audencia Bachelor

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Stades de foot, version XXL !

Conçus pour accueillir les grands événements planétaires – JO, FIFA World Cup – les stades nationaux sont de plus en plus concurrencés par des infrastructures bâties spécialement pour – et parfois par – un club résidant. Les villes, encore majoritairement propriétaires, ont une large tendance à investir dans de nouveaux équipements plus modernes, spacieux, connectés et surtout multimodaux.

Ainsi, le Stade Pierre Mauroy de Lille construit en moins de 4 ans grâce à un partenariat public-privé associant la Métropole de Lille et Eiffage, accueille principalement l’équipe du LOSC. Mais sa conception lui permet aussi de se transformer, en moins de 24h, en Arena, pour accueillir d’autres événements. En novembre 2014, Pierre Mauroy a vu se succéder 2 matchs de foot, la finale de Coupe Davis France-Suisse et le Supercross Paris-Lille. Découvrez l’histoire de cette incroyable transformation en vidéo.

Parce que la modernité des stades n’est plus qu’une question de taille -quoique ! C’est aussi une question de rentabilité globale, avec des espaces d’hospitalité d’un niveau de standing et d’accueil bien supérieur à ce qui se produisait il y a quelques années. La billetterie est aussi un enjeu capital pour les organisateurs d’événements sportifs : le spectateur vient soutenir son équipe favorite bien sûr mais il veut aussi bénéficier de services additionnels à la place ou à proximité de son siège. Et pourquoi pas des services connectés.

Et bien sûr, ce besoin d’une utilisation optimisée du site. Quand un club ne joue qu’un week-end sur deux à domicile, que faire de l’installation le reste du temps ? Des concerts bien sûr (où produire le concert de Céline Dion ailleurs que dans le nouveau Matmut Atlantic de Bordeaux ?) mais aussi des séminaires, de la restauration… A Lyon, le Groupama Stadium – pleine propriété de l’Olympique Lyonnais, dont la réussite tient notamment à Patrick Iliou (GE 93) -Lire Challenges du 9/01/16- accueille aussi un musée, des fan zones, des lieux de séminaires et une brasserie… signée Bocuse !

Pour couronner le succès et consolider le financement de ces nouvelles infrastructures, le recours au naming est devenu quasi-incontournable. A l’exception du -désormais vieux- Stade de France et de l’enceinte Pierre Mauroy, les nouveaux stades s’appellent Orange Vélodrome, Allianz Riviera, Matmut Atlantic ou encore Groupama Stadium…

Nantes aura bientôt aussi un nouvel équipement pour remplacer l’emblématique Stade de la Beaujoire. YelloPark, projet 100% d’initiative privée, porté conjointement par le FC Nantes et son partenaire Réalités, ne sera pas seulement un stade de foot (livré en 2022). Si la Métropole de Nantes a décidé d’apporter sa bénédiction au projet, c’est parce qu’il répond à sa politique d’aménagement urbain audacieuse, avec le développement de multiples activités et logements pour transformer profondément le quartier.

 

En savoir + : Les infrastructures sportives en France en 10 points

 

 

 

Florence Alix-Gravellier, pour l'équipe Audencia Alumni

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Clément Chauveau (SciencesCom 08), envoyé spécial pour la Coupe du Monde

Sept semaines loin de la famille et des amis, avec le cerveau branché « bleu blanc rouge » 24h sur 24 ! Entre les entraînements, les conférences de presse, les duplex et les déplacements, le rythme est ultra-intense, mais c’est passionnant !

Clément Chauveau (SciencesCom 08), Grand reporter pour beIN depuis le lancement de la chaîne, a couvert de grands événements sportifs comme les JO 2012, la Coupe du Monde et l’EURO de football de 2014 et 2016. Il accepte de répondre à nos questions sur la Coupe du Monde de football 2018.

 

Audencia : Comment sont acquis les droits TV par les chaînes de télévision ?

CC : Les droits de diffusion sont acquis via un système d’enchères, chaque chaîne propose à la FIFA le montant qu’elle souhaite miser pour diffuser la compétition. Il règne un secret absolu autour de ces sommes et à beIN comme ailleurs les salariés découvrent dans la presse qui a obtenu le marché.

 

Audencia : Quels sont les dispositifs mis en place par la chaîne pour couvrir l’événement ?

CC : Branle-bas de combat, toute la chaîne est tournée vers le Mondial. L’idée est de ne rien rater. Tout devient info ! Des envoyés spéciaux suivent toutes les grandes nations.

Le dispositif autour des Bleus quant à lui est mis en place 3 semaines avant le début de la compétition et se termine plus d’un mois après. L’objectif numéro 1 est de suivre l’équipe de France au plus près, alors cette année comme en 2014, 4 journalistes beIN entourent Les Bleus.

Au Brésil, nous nous séparions en 2 équipes, lorsque Les Bleus s’envolaient vers un nouveau site : 2 envoyés spéciaux partaient avant Les Bleus pour pouvoir filmer leur arrivée, et les 2 autres partaient après afin de raconter le départ de l’équipe depuis son camp de base.

Objectivement, les médias deviennent tous un peu fous pendant une Coupe du Monde ou un Euro. En 2016, pendant la préparation des Bleus en Autriche, j’ai pris le risque de faire une course poursuite, avec la voiture banalisée d’un joueur, pour arriver avant lui sur le tarmac de l’aéroport et filmer son retour en France, ça me semble aujourd’hui complètement déraisonnable !

 

Audencia : Quelles sont les relations des journalistes avec les équipes de football ?

CC : Les relations sont très limitées, certains joueurs fâchés avec les médias traverseront même la Coupe du Monde sans répondre à une question de journaliste. Les échanges avec les joueurs se font lors des conférences de presse, et de leur passage en zone mixte après les matchs.

Les anciens suiveurs des Bleus nous racontent que dans les années 70/80, ils pouvaient entrer dans la résidence des joueurs et parler avec eux autour d’un café. C’est impensable aujourd’hui, les médias sont plus nombreux et sûrement trop intrusifs.

 

Audencia : Qu’est-ce que tu peux nous raconter sur les dessous de la Coupe du Monde ?

CC : Il arrive, par exemple, que des journalistes sonnent chez des inconnus d'où l'on peut apercevoir un bout du terrain d’entraînement, pour observer la mise en place tactique du sélectionneur. Et ainsi connaître en avant-première la composition de l’équipe pour le prochain match. Il n’est pas rare non plus de retrouver des envoyés spéciaux perchés dans les arbres avec des jumelles…

 

 

Mélanie Bosc, pour Audencia SciencesCom

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La 3e femme la plus puissante du monde du sport

Dans ce magazine spécialement dédié au football, parlons un instant de la française Florence Hardouin qui arrive en 3e position dans le Top 100 des femmes les plus puissantes du monde du sport, selon le magazine économique américain Forbes.

Voilà une femme à la timidité « presque maladive », complexée par sa grande taille : c’est d’ailleurs parce qu’on ne la voyait pas sous sa tenue et son masque qu’elle commence l’escrime ! se confie-t-elle au JDD d’Europe1. La débutante s’estime nulle, ce que ne démontre pas franchement la suite de sa carrière : sept ans en équipe de France (1989-1996) puis un titre de vice-championne du monde (par équipe en 1991).

En parallèle de sa carrière sportive, elle travaille au Ministère de la Jeunesse et des Sports dès 1991, puis pour différentes entreprises comme responsable marketing. En 2008 la voilà responsable du développement marketing et commercial de la FFF (Fédération française de football) puis Directrice générale adjointe en 2011, enfin Directrice générale en 2013 et de plus, en 2016, membre du Comité exécutif de l’UEFA (Union des associations européennes de football).

Pourquoi une ex-épéiste dans le monde du football ? Si Florence se garde bien de causer ballon, elle connaît les codes sportifs, les sacrifices exigés et l’esprit qui anime les athlètes d’élite : « Ce n'est pas une encyclopédie du foot, mais elle fait très bien semblant de ne pas comprendre », s'amuse Pierre Samsonoff, directeur de la Ligue du football amateur (LFA).

Quelle place une femme peut-elle se créer dans un univers réputé aussi viril et macho ? Jean Lapeyre confie à Pressreader :

Elle a les méthodes des mecs. S’il faut rentrer dedans, elle le fait. Elle n’est pas là pour plaire ou pour séduire, mais pour faire aboutir ses idées.

Elle déteste parler de féminisme. Elle est là aujourd’hui parce qu’elle estime être la bonne personne à la bonne place, sans plus. Réticente au système des quotas, elle juge « pire que tout de ne pas être légitime à un poste », mais l’utilise si ça permet de faire avancer les mentalités : le pragmatisme, toujours…

Comment résumer cette femme inspirante ? Par une déclaration de la championne olympique d'épée par équipes Valérie Barlois-Leroux, amie de longue date de Florence Hardouin au JDD d’Europe1 : « Elle avait du talent et un fichu caractère. Elle aime la gagne, c'est une bosseuse. Ce qui transparaît aussi dans sa carrière professionnelle ». Une mousquetaire, aurait osé le Cardinal en son Académie.

 

 

Clara Stibbe (GE 16) 

Campus life

Plongée dans le monde des admisseurs

9 juin 2017. Encore préparationnaires, nous attendons avec une certaine impatience et un stress mal maîtrisé les premiers résultats des concours, passés le mois et demi précédent. Il est 14h, les résultats d’Audencia tombent… nous voilà admissibles. Nous avons rendez-vous une journée, au cours des 4 semaines qui suivent, dans la ville qui nous accueillera dès le mois de septembre et dans une école qui nous apportera bien plus que tout ce que nous avions pu imaginer.

9 juin 2018. Les partiels fraîchement terminés, nous sommes plus de 150 admisseurs triés sur le volet par le BDE, prêts à accueillir les admissibles. Tous entendent perpétuer la tradition en honorant la légende de l’accueil admissible nantais.

Pendant de longs mois de préparation, de recherche du thème, d’activités, un seul objectif : être prêt pour accueillir les admissibles dans les meilleures conditions et leur organiser un séjour à Nantes dont ils se souviendront longtemps. Après le thème de l’aventure pour l'accueil admissible 2017, c’est Star Wars qui a été retenu par le BDE à travers le slogan « May the West be with you ».

Au programme : sabres lasers, réalité virtuelle, escape game, petit déjeuner, repas avec les admisseurs… tout est mis en place pour que les futurs ex-préparationnaires soient à l’aise au moment de passer leurs oraux de langue et l’entretien de personnalité.

A l’aube d’une aventure qui s’annonce formidable, nous nous apprêtons à faire vivre la légendaire ambiance nantaise pour faire passer aux admissibles des journées inoubliables.

 

 

Alban Petit (GE 21) & Jean-Christophe Broly (GE 21)

Campus life

Les Alumni, clés du recrutement du Programme Grande Ecole

Depuis longtemps, la force de notre école repose sur la qualité du réseau Audencia Alumni. Et c’est à nous, diplômés, de jouer un rôle encore plus important en cette période de concours.

Entre le 31 mai et le 10 juillet, des centaines de jeunes admissibles vont pousser les portes d'Audencia, dans l’espoir d’intégrer le programme Grande Ecole. Leur tête pleine de questions, ils chercheront à savoir si Audencia Business School pourrait être leur future école. 

Nous le savons bien : choisir une école, c’est choisir un package particulier incluant un état d’esprit, un cursus, des cours, des enseignants-chercheurs, des professionnels, des camarades… et un réseau de diplômés.

Dans un écosystème des business schools ultra compétitif, en tant qu’Alumni, nous devons aider à la promotion de la marque Audencia en valorisant notre rôle auprès des étudiants. Dès les oraux, nous avons la possibilité de présenter à ces futurs Audenciens le rôle qui sera le nôtre.

Au-delà de représenter une panoplie d’entreprises (et de potentiels maîtres de stage ou employeurs), nous sommes aussi ceux qui seront présents régulièrement pour les aiguiller dans leurs choix de carrière et les accompagner dans les moments-clés de leur vie étudiante et professionnelle.

N’oublions jamais que nous sommes la mémoire vive d’Audencia : nous incarnons la culture de l’école. Alors qui mieux que nous pour répondre aux questions de ces admissibles concernant les parcours possibles à Audencia ? Qui pour leur donner des clés pour découvrir l’ambiance de l’école ? Qui pour leur raconter les expériences à l’international et/ou en entreprise ? Qui pour valoriser les parcours des diplômés, leurs réussites personnelles et professionnelles à l’issue de leurs années d’études ?

Notre engagement au sein de l’école pendant cette période charnière des concours est donc essentiel. Que ce soit en tant que jury des oraux ou en tant que simple diplômé, la somme de toutes nos actions contribuera à la réussite et au développement de notre école.

                                                                

 

Julien Denis (GE 17) & Nicolas Mallassagne (GE 17)

Campus life

Des campagnes de mise à jour de la base de données Alumni en préparation

Audencia Alumni s’apprête à lancer – en juillet pour les diplômés internationaux et septembre pour les Alumni vivant en France – deux campagnes de mise à jour de ses bases de données.

Ces opérations, conjointement souhaitées par l’école et les représentants des diplômés, visent à mettre à jour les coordonnées et la situation professionnelle des Alumni mais aussi à intensifier la création de comptes sur Together, le site web collaboratif des diplômés d’Audencia. Grâce à Together, chaque diplômé devient en effet autonome dans la mise à jour de ses données personnelles comme dans la gestion de ses préférences d’utilisation.

 

Une campagne de mise à jour, pourquoi faire ?

Maintenir une base de données à jour est un élément essentiel de développement du réseau Alumni et des services aux diplômés, à plusieurs titres :

  • Cela facilite le contact entre diplômés mais aussi entre étudiants et diplômés dans une logique de transmission intergénérationnelle.
  • Cela permet de mieux cibler les communications qui vous sont adressées mais aussi de vous faire des propositions d’événements et de services plus adaptées à votre profil
  • Cela facilite la réponse aux enquêtes pour les classements et accréditations, ce qui contribue directement au rayonnement de votre école et à la valeur de votre diplôme.

Enfin, les campagnes de mise à jour vont permettre à Audencia Alumni de mettre ses pratiques en conformité avec la règlementation en vigueur, en permettant à chaque diplômé de mettre à jour ses préférences individuelles en matière d’utilisation des données personnelles.

 

Concrètement, comment cela va se passer ?

La première campagne, gérée par une équipe interne, concerne uniquement les diplômés vivant hors de France. Dans les prochains jours, les diplômés concernés vont recevoir un premier email les invitant à mettre à jour leurs coordonnées et à créer un compte sur Together, s’ils n’en possèdent pas déjà un. Après une relance mail, des étudiants spécialement mobilisés pour l’occasion reprendront contact par LinkedIn pour toucher les diplômés très éloignés de l’école et du réseau.

En septembre, une 2ème campagne s’adressera aux diplômés, en activité professionnelle, vivant en France. Cette opération sera gérée par Nomination, partenaire historique d’Audencia et d’Audencia Alumni. Nomination dispose d’un savoir-faire reconnu sur des campagnes similaires et travaille avec les meilleures écoles et universités en France.

A tout moment, l’équipe Audencia Alumni est à vos côtés pour répondre à vos questions sur ces campagnes de mise à jour et/ou sur l’utilisation de vos données personnelles : audenciaalumni@audencia.com


 

Florence Alix-Gravellier, pour l'équipe Audencia Alumni

 

Campus life

Claudine Lefeuvre : ce n’est qu’un au-revoir !

Vous êtes nombreux à avoir croisé le regard de Claudine Lefeuvre, partie à la retraite fin juin...

Arrivée à 16 ans, un 21 février 1974, pour un court remplacement à l’imprimerie, elle y restera finalement 7 ans, avant de rejoindre l’accueil pour 20 années supplémentaires. En 2007, Claudine rejoint le Guichet unique.

Un parcours de 44 années dans les couloirs d’Audencia, qui lui laisse des souvenirs gravés à jamais !

 

« La Belle Epoque »

C’est ainsi que Claudine surnomme ces années 80/90. La taille réduite des promos lui permet de créer une relation de proximité avec les étudiants et leurs parents.

Elle participe à l’époque pleinement à la vie estudiantine : « Des soirées de folie, de rire, des liens forts. Une 3ème mi-temps avec les rugbymen à la crêperie jaune, les vacances en Suisse avec la promo 84, la semaine en Espagne en car avec la promo 88, José Gonzalez, Pierre Chiron et Jacques Savary. Sans oublier la conduite GTI sur terre enneigée à Corcoué-sur-Logne lors d’une campagne BDS » se souvient-elle.

D’ailleurs, elle éclate de rire en se remémorant la soirée au Castel avec les All Black, entourée des étudiants de 1986, après un match France - Nouvelle-Zélande à la Beaujoire. Les Bleus de Jacques Fouroux battent les Blacks au terme d'une bataille épique. Des moments intenses et privilégiés qu’elle n’oubliera pas !

 

« Ma 2ème maison »

Claudine a connu 7 Deans d’Audencia de Bernard Fournery à Christophe Germain. Egalement les transformations des locaux qui accompagnent l’innovation pédagogique et la croissance des promos.

Audencia était véritablement sa 2ème maison comme elle aime à le préciser. Dans les années 80, elle officiait dans un bureau vitré, au milieu du hall, surnommé l’Aquarium. Et comme les étudiants étaient d’un tempérament joueur, tout comme elle, ils y avaient inscrit, un matin, en lettres rouges : « Merci de ne pas donner de cacahuètes au poisson rouge ». Une anecdote parmi tant d’autres ! Claudine était d’ailleurs très souvent intégrée aux campagnes des associations dans le hall. Mais chut… tous les souvenirs ne sont pas à raconter !

 

« Profiter de la vie tout simplement »

Ce tempérament joyeux et rieur part vivre d’autres aventures sans couper le cordon d’Audencia. Claudine participera régulièrement à la surveillance des examens. Impossible de rompre brutalement ce lien affectif avec cette Ecole qui lui a tant donné. Elle souhaite également se remettre au sport et s’investir dans le bénévolat : « Pourquoi pas aider une personne âgée ou s’occuper d’enfants après l’école ? »

Son plus bel avantage de retraitée ? « Ne plus avoir besoin de réveil le matin ! »

@Claudine : Nous te souhaitons, au nom de tous les anciens étudiants, une belle retraite et de très beaux projets à venir !

 

Pour lui envoyer vos messages : clodine44@laposte.net

 

 

Laëtitia Caliez, pour l'équipe Audencia Alumni

 

Network talk

Inspiration, Introspection, RévolutionS

C’était il y a quelques jours, au cœur de Paris, et sous une chaleur écrasante, que s’est tenue la conférence « RévolutionS : ils inventent demain ».

Tourneur-fraiseur, médecin, explorateur, premier homme à atteindre le pôle nord en solitaire, Jean-Louis Etienne nous a fait l’immense honneur de sa présence et a conquis une salle comble avec une intervention des plus inspirantes sur son histoire de vie hors du commun.

Trois talentueux diplômés d’Audencia ont également inspiré les 200 alumni présents dans la salle avec leurs parcours étonnants, différents les uns des autres, mais qui ne peuvent que forcer l’admiration. Hélène de Vestèle (GE 15) est venue nous parler « zero waste » et passage à l'action écologique, Sylvie Davila (Exec MBA 10) utilise l’intelligence artificielle pour révolutionner le dépistage du cancer du sein et remettre les patientes au coeur du processus de prise en charge. Pour Gilles Vanderpooten (GE 09), la révolution est médiatique. Il dirige Reporters d’Espoirs, une ONG qui promeut une « information qui donne envie d’agir » et aide les médias à engager leur mutation vers le « journalisme de solutions ».

Passage à l'action et engagement resteront les maître-mots de cette conférence… inspirante !

  • Pour retrouver ce qu'il s'y est dit et toutes les citations de nos intervenants, nous vous invitons à consulter le live tweet spécialement mis en place à cette occasion #RévolutionS
  • Pour revivre la conférence, rendez-vous sur le replay de l’événement sur Youtube

 

L'ambiance était également au rendez-vous sur le rooftop des Salons Hoche pour le cocktail et la summer party Audencia Alumni qui ont suivi la conférence. 

  • Retour en images sur ce beau moment avec l’album photo de la soirée à visionner sur Together
  • Et avec le Facebook Live pour découvrir les interviews post-conférence de nos speakers, étudiants et alumni et avoir un petit aperçu de la soirée ! 

 

 


Amandine Luce, pour l'équipe Audencia Alumni

Network talk

La saga Culture & Management

Mercredi 20 juin se tenait au Silencio, à Paris, la remise des prix de la 3ème édition de Start-up en Scène ! Un événement d’entrepreneuriat culturel organisé par le club Culture & Management (C&M), en partenariat avec Audencia, où se sont retrouvés curieux, start-upers candidats et lauréats et membres du comité de sélection pour une soirée réseau sous les signes de l’innovation et de la bonne humeur !

Audencia était très bien représentée. La start-up de visual engineering Spline, co-fondée par Claire-Alix Gomez (GE 14), remporte le prix Cinéma / Audiovisuel. Pour le Prix des Ecoles, Atypic' Photo de Natacha Gan (GE 14), Sonic Solveig editions de Ramzi Saidani (GE 98) et Accordissimo de Valérie Gombart (GE 97) étaient en compétition.

Les liens entre Audencia et C&M remontent à près de 5 ans. En recherchant mon 1er job, je ne peux adhérer à ce club fermé car Audencia n’en est pas membre fondateur (HEC, ESSEC, ESCP-EAP, Sciences-Po Paris, EM Lyon et Insead). Cette absurdité - au regard de la qualité académique d’Audencia en matière de culture -  me motive à créer, structurer et pérenniser un club audencien dédié aux métiers de la culture et des médias, avec l’aide de nombreux diplômés.

En 2015, l’idée d’intégrer C&M arrive à maturité. Pour embarquer toute l’école, avec mes nouveaux acolytes Hélène Wang (GE 14) et Vincent Douaire (GE 14), nous mobilisons Laurent Noël, Martha Abad et leur majeure culturelle sur un projet fil rouge. Pendant 6 mois, Constance Castaing, Lauriane Labourel (GE 17), Erwan De Kermabon et Catherine Galtier (GE 17) ont ainsi retrouvé la trace d’illustres diplômés cultureux pour en réaliser une  vidéo en appui du dossier de candidature.

Un dossier présentant les projets culturels d’Audencia et montrant combien la culture est au cœur des valeurs fondamentales de l’école.

Audencia, c’est une des 1ères majeures de management culturel de France, liée à l’Ecole du Louvre, le MédiaCampus dans le quartier créatif de l’île de Nantes, un Master in Cultural Management en partenariat avec Glasgow, des diplômés dans les plus belles structures (Musée Eugène Delacroix, Centre Pompidou, Opéra de Lille, Opéra de Lyon, Festival du Cirque, Festival de Jazz Saint-Germain des Prés, Mairie de Paris, etc…) mais aussi des producteurs de cinéma, des dessinateurs de bande-dessinée... Bref, un concentré de ce qui se fait de mieux en culture et management !

En juillet 2016, Audencia, avec l’aide de Christophe Germain en personne, devient la toute première école à intégrer le club C&M, un club qui s'intéresse à la multiplicité des enjeux stratégiques qui touchent les divers univers professionnels de la culture. Un exemple qui risque de faire des petits puisque l’EDHEC vient de présenter sa candidature.

En attendant, rendez-vous fin septembre pour la conférence d’inauguration de la saison 2018-2019, sur le thème de l’emploi !

 

 

 

Pierre Reinisch (GE 13)

Network talk

Les Audenciens au coeur des réseaux alumni internationaux

Alors que les marins d'Audencia se disputent la ligne d'arrivée dans la baie de New York, les diplômés à Madrid se réunissent à la ‘Résidence’ en présence de l'Ambassadeur de France ! Que ce soit à New York pour la voile, à Montréal pour le tournoi annuel de pétanque ou à Madrid pour une réception, les Alumni du monde entier ont créé des groupes pour réseauter avec les diplômés des autres grandes écoles françaises.

Dimanche 10 juin, l'AAGEF de New York a organisé sa première régate des Grandes Ecoles dans le port de New York et c'est Hervé-Pierre Beauchesne (GE 99) qui a été à l'origine de cette initiative. Avant et après Audencia « j'ai toujours adoré régater », dit-il, « et il était naturel de mener ce projet pour rassembler les français de New York autour de ce sport ».

Plus de 10 bateaux et 140 anciens élèves participants et supporters de 20 écoles françaises ont pris part à la régate et à l'after party de remise des prix. Hervé-Pierre nous assure que l’opération va être pérennisée suite au succès rencontré.

 

Un jour plus tard, à Madrid, plus d’une centaine de diplômés du RAGEFE (Rassemblement des Alumni des Grandes Écoles Françaises en Espagne, composé de 13 GE à ce jour) ont assisté à une réception organisée à la ‘Résidence’. Audencia est devenue membre du RAGEFE en 2015 en rejoignant des écoles telles que HEC, ESSEC, ESCP ou EM Lyon. L'activité principale du RAGEFE se concentre sur les réunions de networking mais le RAGEFE organise d'autres initiatives telles que le « Prix Alumni à l’Innovation », et souhaite organiser des conférences thématiques, etc.

 

 

 

« La réception à la ‘Résidence’ est le point culminant de l'année et est à ne pas manquer, pour son environnement, son réseautage et sa bonne compagnie », déclare François Blin (GE 87) ambassadeur alumni à Madrid. « C'est l'occasion idéale pour les diplômés de se reconnecter et de se tenir au courant de l'actualité de la communauté française à Madrid. »

 

 

Katie François, pour l'équipe Audencia Alumni

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Parole à l’Association Audencia Alumni, avec Cécile Kergrohen

Engagée de longue date avec RéseAudencia puis Audencia Alumni, Cécile Kergrohen (GE 93) est Présidente du Conseil de Surveillance de l’Association Audencia Alumni depuis juin 2017.

Quelques jours après l’Assemblée Générale qui s’est tenue le 28 juin simultanément à Paris et à Nantes, Cécile dresse le bilan de l’année écoulée et évoque le projet collectif porté par l’équipe de bénévoles engagés pour le développement du réseau des diplômés d’Audencia.

 

Cécile, pouvez-vous revenir sur les deux grandes actions engagées en 2017 – 2018 sous l’impulsion de l’Association Audencia Alumni ?

Rappelons qu’Audencia Alumni est piloté conjointement par l'école (via le pôle Audencia Alumni) et les diplômés (représentés par l'association). Ce modèle innovant est aujourd’hui adopté par bon nombre de réseaux Alumni. Il permet de mobiliser des ressources opérationnelles importantes et qualifiées tout en s’appuyant sur les idées, initiatives et compétences professionnelles des diplômés.

La question majeure à laquelle est confronté Audencia Alumni, comme tous les réseaux de diplômés, est celle de la mobilisation de la communauté : comment susciter l’envie, l’adhésion, la participation des diplômés aux actions proposées ? Et comment générer de nouvelles idées, favoriser les échanges, l’entraide, le partage entre diplômés ?

Pour comprendre les attentes des diplômés autour de ces questions, nous avons mené en fin d’année une importante étude marketing et un audit de notre organisation. Des supports riches et denses, difficiles à résumer. Deux enseignements principaux cependant :

  • Le niveau global de satisfaction n’est pas très élevé mais quelques leviers d’amélioration semblent simples et rapides à actionner : des contenus plus inspirants, pratiques et riches, des horaires d’événements plus variés, un meilleur ciblage de la communication.
  • La nécessité d’une évolution de l’action de l’association. Le rapprochement avec l’école en 2012 a changé le prisme : l’idée est désormais de focaliser l’action de l’association sur le lien de diplômé à diplômé, de façon plus lisible pour tous. L’école se concentrera elle sur les aspects opérationnels de l’animation du réseau, notamment.

 

Quelles sont les prochaines étapes ?

Nous travaillons en mode "test and learn" pour apporter le maximum de souplesse à nos actions.

A la rentrée, nous organiserons à Paris une rencontre inter-clubs pour comprendre les difficultés, attentes et souhaits de chacun. Nous ferons des propositions pour donner une nouvelle dynamique en Ile-de-France, inspirée de ce qui se fait ailleurs, dans les chapters régionaux ou internationaux.

Nous recherchons aussi une nouvelle organisation de l'association pour alléger son fonctionnement. Plus de formalisation, un calendrier général en lien avec le plan d’action global Audencia Alumni… Il y aura sans doute une évolution des statuts et une AG Extraordinaire.

Bien sûr, nous sommes à l'écoute de vos idées et retours d'expériences pour avancer.

N'hésitez pas à nous contacter !

 

[Lire la suite de l'interview sur Together]


 

Florence Alix-Gravellier, pour l'équipe Audencia Alumni

Around the globe

Périple en Amérique du Sud au volant d’Archibald

« Au départ, nous avions prévu, mon épouse et moi-même, de faire un tour du monde à la voile », s’amuse Bruno Lescher (ExecMBA 11). Mais à mesure que nos projets avançaient, la famille s’agrandissait. Au moment où le projet a vraiment pris forme, le bateau s’était transformé en camping-car et les quatre enfants de Bruno et Typhaine faisaient partie de l’aventure.

« Suite à une série de coïncidences, nous avons acheté un camping-car sur un coup de tête au Brésil et nous l’avons baptisé Archibald. Archibald signifie “très audacieux” », ajoute-t-il. « Nous nous sommes envolés pour San Paolo en août 2012 pour le rencontrer. »

Près de cinq ans plus tard, Bruno se remémore l’année passée à sillonner les routes d’Argentine, du Chili, du Brésil, de Bolivie, du Pérou et de l’Uruguay. « Chaque fois que nous nous arrêtions quelque part, les gens venaient naturellement vers nous du fait des enfants (âgés de 2 à 7 ans), qui servaient de catalyseurs. La vue d’une ribambelle de six personnes sortant d’Archibald fascinait les gens et il nous était alors facile d’établir un contact. »

« Ce voyage nous a notamment enseigné que le monde est petit », confie Bruno. « Un jour, alors que nous étions sur une île de Santa Catarina au Brésil, nous avons rencontré une famille du coin qui avait passé du temps aux États-Unis. Ils vivaient sur l’île et il s’est avéré qu’ils connaissaient des amis à nous, de Nantes. Les gens qui se ressemblent se retrouvent, où qu’ils soient », continue-t-il.

Pour Bruno et sa famille, le premier impact de cette aventure a été de les rapprocher. « Nos enfants ont aujourd’hui entre 7 et 13 ans et ce qu’ils préfèrent, c’est une activité qui nous réunisse tous les six. Pas une semaine ne se passe sans qu’un de nous ne mentionne notre expérience sud-américaine. »

Bruno aimerait faire un autre voyage un jour, et son conseil à tous ceux qui ont un projet de voyage, c’est de l’aborder avec réalisme. Personnellement, c’est une expérience qu’il recommande, mais il n’a pas oublié que professionnellement, il lui a fallu du temps pour retomber sur ses pieds à son retour en France. « Il faut y être préparé, mais que cela ne vous arrête pas ! Un jour, nous aimerions aller en Asie du sud-est, peut-être quand les enfants seront plus grands », conclut-il. 

 

En savoir +

 

 

 

Katie François, pour l'équipe Audencia Alumni

Around the globe

A l’étranger très tôt, facteur de réussite professionnelle ?

Les diplômés le disent souvent : l’expatriation est une expérience marquante, l’un des moments les plus forts de la vie étudiante. Ces périodes à l’étranger, aujourd’hui obligatoires dans la plupart des cursus de l’école, laissent un souvenir mémorable et marquent un profond changement dans la perception de l’environnement des expatriés temporaires.

Au sein du programme Bachelor d’Audencia, c’est une double expérience que vivent les étudiants, leur permettant de conjuguer l’étranger avec le monde de l’entreprise, et vivre pour certains leur première expérience professionnelle. « À tout juste 18 ans je suis partie en Angleterre, pour être assistante de direction d'une école de langue. Cette expérience m'a fait grandir et gagner en maturité » partage Louise Pasquier (Audencia Bachelor 17). Au-delà de l’aspect professionnel, c’est une expérience de vie globale que vivent les étudiants : « j'ai appris à vivre avec les us et coutumes d'un pays différent, ainsi qu'à maîtriser au quotidien une langue étrangère » poursuit notre diplômée.

De son côté, Mathias Denis (Audencia Bachelor 17) retient :

Le stage d’expatriation est une belle opportunité de se mélanger et se fondre dans la culture choisie. Le fait qu’il intervienne tôt dans le cursus de l’école est une chance de pouvoir rapidement acquérir un niveau de langue suffisant pour comprendre les interlocuteurs professionnels et extra-professionnels.

Ainsi, l’expatriation devient un atout majeur, permettant de se différencier lors des recherches de stages et d’alternance futures.

Dans le cadre de cette première expérience, les étudiants sont suivis individuellement, afin de s’assurer qu’ils sont dans les meilleures dispositions pour partir. « L’accompagnement proposé par l’école m'a aidé à formaliser mon CV et ma lettre de motivation en anglais, afin de décrocher mon stage à Londres » nous confie Nicolas Gumy (Audencia Bachelor 18).

Suite au rendez-vous de suivi individuel effectué, j'ai pu trouver mon stage par l'intermédiaire d'une diplômée, contactée via la plateforme de l’école qui répertorie l'historique des stages.

Fort de tous ces éléments, le programme Bachelor va encore accentuer l’importance de cette expérience, en augmentant la durée minimale à l’étranger. De même, dans le cadre du Programme Grande Ecole, le 1er stage « Comprendre » se fera obligatoirement à l’étranger dès la prochaine rentrée. Une des illustrations de l’importance accordée à l’international par Audencia Business School.

 

 

Matthieu Bonnamy, pour Audencia Bachelor

 

Innovation hub

Web2day : retour sur la 10ème édition !

La 10ème édition du Web2day s’est déroulée les 13, 14 et 15 juin 2018 à Nantes. Comme chaque année, Audencia Business School était partenaire de l’évènement et poursuit son engagement auprès des startupers, du digital, des nouvelles tendances et technologies !

 

Le Mediacampus au coeur du festival

Le Web2day, c'est 7 scènes simultanées pour un maximum de conférences passionnantes. Parmi les nouvelles scènes cette année, le Mediacampus accueillait speakers et visiteurs dans sa toute nouvelle salle Forum avec une programmation de conférences marketing, communication et médias.

 

Plus de 200 conférences

Parmi les speakers, Estelle Prusker, Responsable de la spécialisation Médias à Audencia SciencesCom et Mediacampus manager, a animé une table-ronde autour de « l’Intelligence Artificielle et les médias », entourée d’experts du sujet : Eric Scherer (CEO innovation, prospective, médialab France Télévisions) ; Claude de Loupy (CEO de Syllabs) ; Marjolaine Grondin (CEO de Jam) et Denis Teyssou (Responsable éditorial Medialab AFP). Ensemble ils ont abordé l’automatisation de l’information, la personnalisation de l’expérience de lecture, la vérification de l’information et tous les défis soulevés par l’arrivée de l’IA dans les médias.

 

Des étudiants motivés

Participer au Web2day, c’est une opportunité unique pour les étudiants, de vivre pendant trois jours intensifs au rythme des nouvelles tendances et technologies qui font l’actualité, d’assister aux conférences et workshops et de rencontrer des influenceurs.

Comme chaque année, les étudiants de 1ère année à Audencia SciencesCom ont intégré l’équipe de bénévoles du festival et ont pu découvrir l’envers du décor d’un tel évènement. Au programme : accueil du public et point information, service, vestiaire, photo/vidéo…

 

Un afterwork alumni

Le Web2day, c’est aussi l’occasion pour les Alumni Audencia de se retrouver. Mercredi 13 juin, pour la première fois, une quarantaine d’alumni des différents programmes Audencia (SciencesCom, Bachelor, Grande Ecole, ExecMBA, MBA et MCI) s’est réunie autour d’un cocktail sur la terrasse du Mediacampus pour prolonger la 1ère journée du festival. Pendant que certains confiaient leurs impressions sur la conférence inaugurale et l’utopie numérique, d’autres échangeaient sur leurs évolutions professionnelles. Une expérience à réitérer ! 

                             

Charlotte Aroun, Mélanie Bosc et Matthieu Bonnamy, pour la promotion Audencia, Audencia SciencesCom et Audencia Bachelor

Patronage & support

Grâce à nos diplômés, des étudiants partiront dans la Silicon Valley

 

Souvenez-vous, on vous présentait la Learning Expedition CES / Sillicon Valley dans notre dernier numéro, ce projet imaginé, organisé et financé par des diplômés de l’Ecole.

A ce jour, plus de 10 000€ ont été collectés. Au moins 5 étudiants pourront ainsi vivre une expérience des plus inspirantes, là où l’innovation et la créativité inventent demain.

Nous tenions donc à remercier nos généreux diplômés…

 

 

Marine Jégu & Carole Deniel, pour l'équipe Audencia Alumni 

Innovation hub

Au cœur de la billetterie sportive : les tendances inno !

Au détour d’une allée de Roland Garros, j’ai eu le plaisir de croiser Amadou-Hamat SY (GE 00). S’il n’est plus DSI de la FFT, Amadou reste au cœur de l’événement puisque, avec DT Consulting, la société dont il est Directeur Associé, il gère un maillon essentiel du système de billetterie de Roland Garros.

C’est donc un peu grâce à lui que vous avez peut-être obtenu le précieux sésame pour entrer Porte d’Auteuil. Ou pour assister à la finale de l’Olympique de Marseille en Ligue Europa, aux matchs du PSG, de l’AS Monaco ou de l’AS St Etienne cette saison.

En quelques minutes, Amadou m’a raconté les enjeux et les nouvelles tendances d’une activité en totale mutation.

 

Des règles du jeu de plus en plus complexes

Le business du sport est en plein boom : explosion des droits TV, transferts couteux, gigantisme des stades… Les soucis d’optimisation, de ROI, de rentabilité maximale sont au cœur de toutes les stratégies des organisateurs d’événement, avec un allié de taille, le numérique, qui élargit grandement le champ des possibles en matière commerciale.

L’enjeu pour les opérateurs techniques des services de billetterie est donc de mettre en musique les politiques commerciales offensives et complexes, des clubs et organisateurs d’événements.

En quelques années, les clubs se sont mis au yield management puis au revenue management. Il faut vendre au meilleur prix et personnaliser au maximum les offres (ticket simple ou packagé, services additionnels tels que parking, restauration, visibilité premium…). Mais il faut aussi remplir les stades et limiter les « no shows », ces spectateurs qui doivent finalement renoncer à assister au match après l’achat de leur billet. Pour cela, les billets deviennent cessibles, échangeables ou transmissibles à titre gratuit et ce, de manière licite et contrôlée.

Si l’on ajoute l’importance de remplir prioritairement certaines zones stratégiques (les « plans caméra »), les nouvelles contraintes de sécurité (billets nominatifs, sécurisés), et la multiplicité des canaux de distribution (site organisateur, sites spécialisés, points de vente physiques…), la gestion des systèmes de billetterie est devenue un véritable casse-tête. Et bien sûr, le tout doit être 100% fiable et capable de gérer des augmentations brutales des flux, des emballements, quand tout à coup le club se qualifie pour une finale inattendue.

On est loin des guichets de vente à l’entrée du stade, devant lesquels il fallait parfois dormir ou attendre sous la pluie pour obtenir un billet.

 

En savoir + : Et demain ? La Blockchain au cœur du Stade !

 

 

Florence Alix-Gravellier, pour l'équipe Audencia Alumni

Business Corner

Diplômé du MS MOS, et après ?

Nombreux sont les candidats entrant à Audencia avec l’ambition de faire carrière dans l’industrie du sport. Pour d’autres, le hasard des rencontres professionnelles guide un parcours qu’ils n’avaient pas envisagé sous cet angle.Ainsi, Patrick Iliou (GE 93), passé par la filière Audit, fait ses classes chez KPMG avant une rencontre fortuite avec le Président de l’Olympique Lyonnais, Jean-Michel Aulas, qui en fait son Directeur Financier, puis Directeur Général Adjoint en charge de l’élaboration du projet du nouveau Stade. 

 

Parmi les différents parcours proposés par Audencia, il en est un qui se distingue : le Mastère Spécialisé Management des Organisations de Sport (MS MOS). En 25 ans, plus de 470 étudiants ont suivi ce programme. Que sont-ils devenus ?

Julien Mordacq (MOS 02), titulaire d’un DESS en droit et diplômé du MS MOS, est un exemple d’hybridation des compétences : il est aujourd’hui Directeur du Département Juridique du Lille OSC (club de football).

Marc Béraud (MOS 11) est un expert confirmé de l’activation de partenariats et de l’engagement des supporters. D’abord Chef de Projet Opérations Spéciales pour RMC (Jeux Olympiques de Sotchi 2014, Coupe du Monde de foot 2014), puis Directeur Marketing de Fosburit (le pionnier du crowdfunding de projets sportifs), Marc rejoint Nissan en tant que Social Media Coordinator UEFA Champions League. Il est notamment en charge de l’activation du partenariat avec l’UEFA en social media à l’échelle européenne et de la gestion opérationnelle des campagnes déclinées à l’international.

Mais le MOS mène aussi à la création d’entreprise, en témoigne Pierre Chiffoleau (MOS 16), fondateur de M&C, une agence de gestion de projets (lancement de restaurant, création de marque, reconversions…) dédiée aussi bien aux sportifs et artistes qu’aux particuliers.

Les exemples de parcours professionnels accomplis sont nombreux et variés :

  • Ingrid Lamaud (MOS 15), Chargée de production hospitalités au PSG,
  • Pierre-Olivier Thillay (MOS 16), Conseiller aux Opérations Sportives à la Ligue Nationale de Basket,
  • Guillaume Dubourg (MOS 10), aujourd’hui chez Elite Organisation, après 8 ans dans le Handball (HBC, Chambery Handball)
  • Maud Blondel (MOS 11), Chargée de projets communication et événementiel chez Epiqe Series qui réunit les 14 plus belles courses de Galop et de Trot disputées en France dont le Qatar Prix de l'Arc de Triomphe, le Grand Prix d'Amérique, le Prix de Diane Longines...

 

Diplômés du MOS, rejoignez votre communauté dédiée sur Together et pour tous les diplômés, n’oubliez pas le Club Sport Business ! 

 

Pour aller + loin : 


 

Anna Gerke, Professeur en Management

Business Corner

Un nouveau club pro : Audencia Alumni Consulting Club

Depuis début juin, à l’initiative de Hadrien Outtier (GE 17), les diplômés évoluant dans le secteur du Conseil, comme les étudiants intéressés par ces activités, peuvent se retrouver sur Together pour partager leurs expériences et croiser leurs regards.

Le Audencia Alumni Consulting Club se donne pour objectifs :

  • L’intensification des rencontres et des échanges entre diplômés évoluant dans le secteur 
  • L’établissement de passerelles avec les étudiants d’Audencia qui s’engagent dans cette voie, en facilitant l’accès aux conseils des diplômés présents dans le secteur 
  • La découverte de nouveaux cabinets et nouvelles missions, pour faciliter les transitions pros et les changements de poste pour ceux qui le souhaitent
  • La multiplication des temps et formats de rencontres formelles (conférences, petits-déjeuners, ateliers) ou informelles (afterworks) autour de thématiques ciblées et présentées par des experts.

 

L’ambition du Club est de réunir les Audenciens évoluant dans des cabinets de conseil mais aussi des consultants de tous horizons (finance, RH, FinTech M&A, AMOA, AMOE, SI, Change…)

"Consultants d’hier, d’aujourd’hui ou de demain, rejoignez-nous pour partager, vous enrichir, avancer et peut-être développer de nouveaux projets. Convaincu que le partage de connaissances, les retours d’expériences et les échanges font grandir, j’invite tous ceux qui souhaitent évoluer dans le monde du Conseil à rejoindre ce club ambitieux. Afterworks, déjeuners, conférences et tables rondes vous attendent alors suivez mon conseil : n’attendez plus, rejoignez-nous et faites-le savoir autour de vous !" conclut Hadrien Outtier.

#GrowUpTogether #StrongerTogether #SmarterTogether


 

Florence Alix-Gravellier, pour l'équipe Audencia Alumni

Itineraries

Nominations

Quelques Audenciens ont changé de poste ces derniers mois :

  • Tarek ALASSAR (IMM 14) est nommé Country Manager chez Legos
  • Carlos CABEZON (EMP-MBA 94) est nommé Director chez Selectiva Recursos Humanos
  • Sylvain CHARBONNIER (GE 89) est nommé Directeur du Commerce et du Marketing après-vente monde chez Volkswagen AG
  • Dorothée CHATAIN (GE 08) est nommée Principal chez 21 Centrale Partners
  • Hervé CHESNEAU (IMM 12) est nommé International Area Sales Manager chez UTC Climate, Controls & Security
  • Cyrill CZERWONKA (GE 06) est nommé Regional Director of Development Asia chez Best Western Hotels & Resorts
  • Aurélie DE BAROCHEZ (GE 11) est nommée Responsable de l’intégration ESG chez Groupama Asset Management
  • Antoine DESJEUX (GE 16) est nommé Chargé d’affaires chez Apax Partners
  • Samira ESSEBIYEA (GE 12) est nommée ECM Vice-President chez Societe Generale Corporate and Investment Banking
  • Florent GAUDIN (EAC 12 et SCOM 14) est nommé Responsable de projets chez Alphacom
  • Céline GHIRAGOSSIAN (GE 06) est nommée Senior Manager chez Advance Capital
  • Nicolas GILET (GE 96) est nommé Directeur des Ventes chez Slidetrade
  • Alexandre HOUGET (MOS 06) est nommé Directeur des Etudes chez Hyperworld
  • Célia HUSCENOT (GE 07) est nommée RRH chez Hermès
  • Richard LAFON (MBA 13) est nommé Quality and Lean Director chez Mecachrome Goup
  • Didier LORRE (GE 91) est nommé Directeur de la Distribution Externe chez Vestathena
  • Rodolphe MORAND (MBA 12) est nommé Sales Director Heart Valves and Neuromodulation chez LivaNova
  • Jean-Pierre PENNACINO (GE 88) est nommé Chief Operations Officer chez WISekey group
  • Emmanuelle PIERRET (GE 02) est nommée Directrice d’investissement chez Naxicap Partners
  • Mithun RAY (GE 06) est nommé Associate Director - Group COO - HR Strategic Portfolio Management chez UBS
  • Bertrand ROUDAUT (EXEC-MBA 06) est nommé Director Indirect Procurement EMEA chez Johnson Controls
  • Claire VERNET-GARNIER (GE 08) est nommée Responsable du Pôle Finance de l’Agence des Participations de l’Etat
  • Audrey VISSAC (GE 03) est nommée Director Compensation and Benefits chez The Adecco Group

 

Des Audenciens ont lancé leur entreprise :

 

Félicitations à eux pour ces belles nominations et belles créations d’entreprise !

Et si vous aussi, vous souhaitez nous signaler un changement de poste ou une création d’entreprise, écrivez-nous à audenciaalumni@audencia.com

 

 

 

Emilie Tendron, pour l'équipe Audencia Alumni

Le mot de la fin

Merci de nous avoir suivi pour ce 3ème numéro de the mag ! Nous espérons que vous l'avez apprécié. 

On vous donne rendez-vous fin septembre pour the mag #4, après une petite pause estivale.

D’ici là, l’info continue sur Together ! (N’oubliez pas de créer votre compte si vous ne l’avez pas encore fait, c’est là que vous retrouvez toutes les infos alumni).

Et pour toutes questions, vous pouvez toujours nous joindre à audenciaalumni@audencia.com 

Très bel été ! 

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