Au cœur de notre plan stratégique Ecos2025, il est mentionné qu’Audencia se veut être un acteur de la transformation vertueuse des individus, des organisations et de la société. L’école entend donc contribuer à la transition écologique et sociale au travers de ses différentes activités.
A cet égard, les chaires - dont certaines des réalisations récentes vous sont présentées dans cet e-mag - constituent des dispositifs particulièrement fertiles pour contribuer à cette ambition :
Ce sont ces trois caractéristiques qui font l’identité et la force des chaires d’Audencia.
Thibaut Bardon
Reconnue pour son expertise en France et à l’international, La chaire Entrepreneuriat Familial et Société d’Audencia lançait en juin 2019 l’Observatoire National de l’Entrepreneuriat Familial, en partenariat avec le FBN (Family Business Network) France. Les résultats de l’étude administrée par OpinionWay ont été dévoilés au cours d’une table-ronde organisée au sein du Médiacampus. Son objectif ? Définir les grandes tendances des entreprises familiales pour le monde d’après COVID, pour mieux appréhender leurs caractéristiques intrinsèques et identifier des points de vigilance à travailler, afin de renforcer leur pérennité et leur croissance.
Les entreprises familiales représentent une part importante dans l’économie française. Leur solidité financière leur permet d’être plus résilientes face aux crises et de pouvoir se projeter sur le long terme mais jusqu’à quand ? Pour perdurer et rester compétitives dans cette période COVID, les entreprises familiales et non familiales doivent résister aux turbulences : comment font-elles ? Quels sont leurs nouveaux défis ? Quels enjeux pour la gouvernance de l’entreprise au fil des générations ? Comment la culture entrepreneuriale et la culture familiale cohabitent-elles en période de crise ?
Autant de questions auxquelles l’Observatoire national de l’entrepreneuriat familial répond dans ce second rapport. En comparant les réponses récentes données par les dirigeants d’entreprises familiales (EF) et non-familiales (ENF) à celles de 2019, réalisées avant la période COVID, les résultats mettent en lumière des constantes ainsi que des changements intervenus lors de la crise. Les entreprises familiales ont su traverser la crise COVID avec succès, gardant leur confiance en l’avenir intacte par rapport à 2019. Leur résilience s’est concrétisée en une démarche d’innovation encore plus forte qu’en 2019, en une réflexion encore plus poussée autour de la RSE, et un renouvellement certain de leurs pratiques de gouvernance. Toutefois, les résultats montrent aussi que des angles morts persistent, aussi bien pour les entreprises familiales que non familiales.
Méthodologie de l’enquête
L’enquête OpinionWay pour Audencia est basée sur une étude réalisée auprès de deux échantillons : d’abord 500 dirigeants d’entreprises de 10 salariés et plus, dont la moitié pilote des entreprises familiales, et le second échantillon concerne 500 salariés travaillant dans des entreprises de 10 salariés et plus.
L’échantillon n°1 a été constitué selon la méthode des quotas, selon les critères de la taille de l’entreprise, du secteur d’activité et de la région. L’échantillon n°2 a été également constitué selon la méthode des quotas, selon les de sexe, âge, région, CSP, taille d’entreprise et secteur d’activité.
Les interviews ont été réalisées du 8 mars au 9 avril 2021.
Pour aller plus loin :
Que signifie concrètement la quête de sens au travail ? Est-elle une réponse aux crises sociétales et écologiques, à un besoin de se sentir utile aux autres ou à transformer le monde ? Qu’attendent les actifs de leur employeur pour y répondre ? L’étude de la Chaire Impact Positif d’Audencia en collaboration avec jobs_that_makesense permet de mieux cerner les attentes, les moteurs des actifs et de ceux qui ont déjà entamé une transition professionnelle, mais aussi les freins qui empêchent parfois d’aller jusque-là pour assouvir sa quête de sens.
Définir le sens au travail : une quête quasi unanime et liée à la responsabilité sociale et environnementale
La notion de quête de sens au travail est constamment utilisée, et de façon amplifiée par la crise sanitaire. Une étude réalisée par Factorial avec l’institut OpinionWay révélait en octobre dernier que 33% des Français déclaraient avoir perdu tout sens en leur activité professionnelle depuis le début de la crise*. L’étude Audencia X jobs_that_makesense confirme que le sens au travail est une préoccupation pour 92% des répondants :
Mais qu’entendent-ils exactement quand ils affirment ainsi être en « quête de sens » ?
Interrogés sur les éléments déclencheurs de leur quête de sens :
La quête de sens semble donc faire écho à une prise de conscience plus globale des grands enjeux planétaires et une volonté collective de passage à l’action, mis en exergue à travers la crise sanitaire, et qui résonne après le cri d’alerte des experts du GIEC à l’été 2021 dans leur dernier rapport, ou encore la COP 26 de novembre, considérée majoritairement comme un échec des leaders mondiaux à s’accorder sur un pacte très éloigné des ambitions initiales. Il n’est donc pas surprenant que l’étude montre que les répondants qui travaillent dans le secteur associatif, dans l’ESS ou dans une entreprise engagée en RSE, aient moins tendance à se poser de questions concernant la quête de sens au travail, considérant davantage l’avoir trouvé que les actifs des autres secteurs.
La transition professionnelle : des solutions variées en réponse à la crise du sens
Parmi les 42% de répondants ayant entamé une transition professionnelle, on constate que pour 8 sur 10, elle passe par un changement d’organisation car :
97% des répondants sont satisfaits de leur transition professionnelle, même si pour 58% d’entre eux, cette satisfaction va de pair avec une remise en question qui persiste, probablement parce que la notion de sens au travail est plus primordiale pour eux et guide davantage leurs choix tout au long de leur carrière.
Le cap de la transition professionnelle freiné par la dimension économique
Pour ceux qui n’ont pas encore sauté le pas de la transition professionnelle, les freins sont principalement financiers :
Des clés d’action pour les entreprises afin de retenir leurs talents
A contrario, la situation géographique (33%) et le niveau de rémunération (23%) sont des critères secondaires, même pour les plus jeunes générations.
Si la transition professionnelle passe principalement par un changement d’organisation, en revanche, 62 % des répondants à l’enquête jugent qu’il n’est pas nécessaire de changer de structure pour trouver du sens. En effet, ils sont aussi 58% à considérer que le sens dépend plutôt du métier exercé. Pour autant, 45% des répondants pensent que le sens au travail ne peut se trouver que dans des organisations engagées (impact positif / RSE, ESS, association).
Ainsi, les répondants attendent des entreprises les trois actions prioritaires suivantes pour faciliter le sens au travail :
L’enquête a été réalisée via un questionnaire en ligne administré en décembre 2021, via le site de jobs_that_makesense, les réseaux sociaux, et envoyé par mail aux communautés Audencia/JTMS. 957 personnes y ont répondu :
Une étude qualitative publiée à l’automne 2022 viendra compléter cette enquête quantitative.
La notion de sens au travail est très utilisée, et beaucoup d’études s’interrogent sur les facteurs de motivation et le rapport au travail, mais nous souhaitions réaliser une étude avec jobs_that_makesense qui permette de lever le voile sur ce que les répondants entendent vraiment par la quête de sens. Elle a permis de confirmer le lien de plus en plus fort avec la notion d’impact positif des entreprises sur les enjeux de la transition écologique et sociale et permet aux employeurs de mieux cerner les attentes de leurs salariés. »
André Sobczak, Co-Titulaire de la Chaire Impact Positif d’Audencia
Grâce à cette étude menée avec la Chaire Impact Positif d'Audencia, nous comprenons mieux ce que chaque individu met derrière la notion de sens, et les principaux freins à lever pour favoriser cette transition professionnelle vers des métiers compatibles avec la transition écologique et sociétale. Cela nous conforte dans notre mission d'accompagner tous ceux qui souhaitent donner plus de sens à leur travail, en leur proposant des emplois à impact, des formations pour faire le point et se reconvertir, et des contenus pour les guider dans leur transition. »
Fabien Sécherre, responsable marketing et partenariat chez jobs_that_makesense
Cliquez ici pour lire le rapport d'étude complet.
À propos de jobs_that_makesense
jobs_that_makesense est une initiative de l'association makesense pour promouvoir l'emploi à impact positif. Depuis 2014, la plateforme réuni tous ceux qui veulent mettre leur vie professionnelle au service d’une société inclusive et durable : entrepreneurs passionnés, acteurs engagés de l’économie sociale et solidaire, organismes de formation pour les métiers de demain et candidats talentueux en quête de sens. La plateforme regroupe des offres d'emploi, des formations et des contenus pour aider à orienter sa carrière vers la transition écologique et sociétale. Avec près de 500 000 visiteurs uniques en 2021, plus de 2 000 recruteurs inscrits et des dizaines de formations référencées, le site est aujourd’hui la référence de l’emploi à impact positif.
À propos d’Audencia
Fondée en 1900, Audencia se positionne parmi les meilleures écoles de management européennes. Elle est accréditée EQUIS, AACSB et AMBA. Première Ecole de Management en France à adhérer à l’initiative Global Compact des Nations Unies, également signataire de leurs Principles of Responsible Management Education, Audencia s’est très tôt engagée à former et accompagner des managers innovants et responsables, dotés de compétences hybrides, qui contribuent positivement aux grands enjeux auxquels nos organisations, nos sociétés et notre planète, sont confrontées. Audencia a également créé Gaïa, la toute première école au sein d’une business school dédiée à la transition écologique et sociale. En co-création avec ses parties prenantes, Audencia produit et diffuse des connaissances qui ont un impact sur la littérature scientifique, le contenu de ses formations, les pratiques des entreprises et la société dans son ensemble. Elle contribue ainsi aux trois défis majeurs suivants : la création et l’utilisation de technologies et d’information responsables, la définition et l’adoption d’approches managériales favorisant des organisations et des sociétés inclusives et la conception et la mise en œuvre de modèles d’affaires et de développements soutenables. Audencia propose des programmes en management et en communication allant du bachelor au doctorat. Elle a signé des accords avec 212 institutions académiques à l’étranger, et plus de 180 entreprises nationales et internationales. Elle accueille plus de 6100 étudiants, dispose d’un corps professoral de 148 enseignants-chercheurs et d’un réseau de plus de 30 000 diplômés. Pour en savoir plus, consultez le site Internet : www.audencia.com et suivez-nous sur les réseaux sociaux : Twitter @audencia.
À propos de la Chaire Impact Positif
La Chaire Impact Positif d’Audencia a été créée en 2012. En co-construisant des recherches utiles avec ses partenaires, elle produit et diffuse des connaissances permettant d’intégrer les principes de la responsabilité sociétale au cœur des modèles économiques, des stratégies et des pratiques de management des entreprises, afin de renforcer la performance des entreprises et leur capacité à innover. La Chaire Impact Positif anime également des séminaires ou formations et crée des outils opérationnels pour accompagner les entreprises dans l’amélioration continue de leur démarche RSE, notamment en proposant des comparaisons nationales et internationales ou en favorisant l’échange avec d’autres parties prenantes. Retrouvez la Chaire Impact Positif sur impact-positif.audencia.com.
*Étude réalisée en octobre 2021 par l’institut OpinionWay pour la start-up espagnole Factorial, auprès de 1051 personnes représentatives de la population française de 18 ans et plus.
La chaire « Achat et Innovation Digitale » d’Audencia, AXYS Consultants et Cyrénac Conseil ont lancé une initiative commune pour appréhender le marché des Systèmes d’Informations Achats avec un nouveau regard : l’Observatoire SIRIUS. Les premiers résultats de l’Observatoire ont permis d’identifier trois tendances majeures sur ce marché, au travers de l’analyse approfondie de 12 éditeurs de SI Achats innovants.
Tour d’horizon du marché des SI Achats
Depuis près de 20 ans, les éditeurs de SI Achats se sont adaptés. Ils ont proposé de nombreuses applications comblant les besoins de modernisation et de professionnalisation de la fonction achats pour mieux analyser leurs dépenses, piloter les projets achats, les contrats, les appels d’offre.
L’irruption de nouvelles technologies issues des travaux des géants du numérique dans le domaine de l’intelligence artificielle bouleverse les possibles. En théorie, les acheteurs ont accès à de nombreuses données et des capacités d’analyse étendues. En réalité, ces nouveaux outils apportent leur lot de contraintes et de limites :
Pour ajouter à la complexité, les directions achats font maintenant face à une offre pléthorique d’outils, dont l’hétérogénéité rend difficile le choix le plus adapté à une situation donnée.
L’Observatoire SIRIUS, à travers son baromètre annuel, est une aide importante qui fournit aux Directeurs Achats une veille du marché entre les leaders et les nouveaux entrants, dans un secteur en pleine mutation. Ces résultats permettent aux Directeurs Achats de découvrir des SI Achats plus proche de leurs besoins métier, de mieux comprendre le discours marketing des éditeurs et donc d’impacter le choix qu’ils feront.
Les objectifs de l’Observatoire SIRIUS
L’Observatoire SIRIUS a pour ambition de cartographier le marché des Systèmes d’Information Achats (SI Achats) sous un angle métier. Le modèle original d’analyse des solutions Achats proposé par l’Observatoire SIRIUS répond à trois objectifs principaux :
Ceci, dans le but de répondre aux interrogations des professionnels du secteur comme le confirme Anthony Ange, Directeur achats de Europe Snacks : « Aujourd’hui, l’offre de Systèmes d’Informations Achats (SI Achats) n’a jamais été aussi large et pourtant, il n’y a jamais eu autant de directeurs achats perdus face à cette profusion d’outils ».
Résultats 2022 : les trois tendances majeures du marché des SI Achats
Suite à l’analyse approfondie de 12 éditeurs de SI Achats innovants, trois tendances majeures ont été identifiées:
Une grande part des éditeurs développent des partenariats innovants pour répondre à la complexité croissante des données achats. Cela comprend l’hébergement de leur propre base de données et la vente de ces données déjà structurées. Mais aussi l’ouverture de d’une plateforme propre en réseau pour créer des bases de données dynamiques, ou encore des collaborations avec des systèmes de niches pour étendre leurs couvertures fonctionnelles.
Les avancées technologiques sont aujourd’hui des axes incontournables de développement des solutions d’Achats. Les éditeurs interrogés appréhendent celles-ci avec pragmatisme, comme une possibilité de compléter leurs solutions mais ne se concentrent pas uniquement sur cette dimension technologique.
Dans un environnement en constante évolution, les éditeurs des SI Achats doivent s’adapter en apportant des réponses rapides et modulables aux besoins des utilisateurs. Les conditions d’intégrations des SI Achats entre eux et avec l’environnement digital de leurs clients et de leurs fournisseurs sont une dimension importante de leur capacité à les accompagner dans leurs challenges métiers de la fonction Achats.
L’hybridation grandissante des SI Achats
Les principaux éditeurs Achats commencent à poser le principe de la collaboration au centre de leur développement. De leur côté, les intégrateurs développent des offres élargies à plusieurs éditeurs propres à apporter une valeur plus élevée à leurs clients en réduisant les coûts et les risques projets.
Le modèle SIRIUS a permis de mettre en avant l’émergence d’un mode hybride, avec une logique globale comme colonne vertébrale du SI Achats pour les entreprises qui ont besoin d’une structuration de processus. Ceci est complété par une logique adaptée et plus précise permettant de déployer des solutions expertes pour accélérer certains process ou secteurs.
La prochaine collecte de données de l’Observatoire SIRIUS aura lieu dans le courant de l’année 2022. Elle permettra au modèle de continuer à s’enrichir avec une extension des solutions analysées et la sollicitation de clients/utilisateurs des SI Achats pour alimenter le modèle et leurs retours d’expériences.
Vous pourrez télécharger et consulter le LIVRE BLANC complet, à ce lien.
Dans le cadre des travaux de la Chaire, Virginie Grandhomme et Anne Launois se sont intéressées en 2021 aux besoins, pratiques et rapports à la formation des élus. Cette étude exploratoire a permis de mieux cerner les besoins des élus et de leurs équipes en termes de formation et d’affiner notre stratégie pour fédérer un réseau d’acteurs autour des sujets liés aux villes de taille intermédiaire.
Cette recherche nous a permis de mettre en évidence les points suivants :
Crédits photo : SURF UP PROD.
STEP a lancé une nouvelle enquête qui permettra d'explorer l'impact de la pandémie sur la prise de décision stratégique, l'engagement des différentes générations dans l’entreprise familiale ainsi que les changements de leadership.
Les données informations recueillies dans le cadre de cette enquête seront utilisées pour élaborer un nouveau rapport quantitatif conjoint sur les entreprises familiales au niveau mondial.
De nombreuses entreprises familiales ont vu évoluer leurs activités, leurs gouvernances et leurs engagements sociaux et environnementaux pour atteindre leurs objectifs pendant la période de la crise COVID. Nous espérons que cette enquête puisse nous permettre de mieux comprendre les facteurs de réussite qui contribuent à la création de valeur financière et non financière à long terme dans les entreprises familiales.
Pour rappel, STEP (Successful Transgenerational Entrepreneurship Practices) est un projet de recherche international dont l’objectif est d’œuvrer en faveur de la transmission intergénérationnelle des valeurs et des comportements entrepreneuriaux dans les entreprises familiales et les familles d’entrepreneurs.
La Chaire Impact Positif d’Audencia a piloté le tout premier classement Fairwork pour la France. Ce travail de recherche-action international centralisé par l’Université d’Oxford vise à établir des classements nationaux des plateformes numériques offrant les meilleures conditions de travail. Le rapport prouve que la marge de progression des 6 plateformes étudiées en France est encore grande.
Ayant choisi de recruter les coursiers avec des contrats de travail, Just Eat obtient une note de 8/10, qui pourrait cependant sérieusement baisser à l’avenir. La plateforme coopérative des Coursiers Nantais obtient 7/10, soit la deuxième meilleure note, illustrant l’intérêt de ce modèle. Deliveroo, Uber Eats, Naofood et Stuart doivent mettre en place de nombreux changements pour améliorer leur note actuelle de 4/10.
En 2021, 46% des Français ont eu recours à la livraison de repas, une pratique de consommation boostée par la crise sanitaire. Il est donc utile de sensibiliser les utilisateurs aux conditions dans lesquelles les travailleurs des plateformes exercent leur activité. Car ces derniers sont nombreux : environ 415 000 pour l’ensemble des plateformes numériques, d’après le Palmarès des plateformes 2021 du député Mounir Mahjoubi. Le développement de cette économie a engendré de nombreux débats sur le statut juridique et la protection des travailleurs. Si le législateur français a commencé à réguler le secteur, il a pour l’instant refusé de mettre en place une présomption de salariat, contrairement au projet de directive européenne qui la préconisait fin 2021.
L’équipe de la Chaire Impact Positif d’Audencia a choisi de se concentrer sur 6 plateformes de livraison à vélo, dont les trois leaders du secteur et deux plateformes nantaises : Deliveroo, Uber Eats, Just Eat, Stuart, Naofood et Coursiers Nantais.
Pour aller plus loin :
Tous les classements Fairwork dans le monde : www.fair.work/ratings/
D’après une étude du Centre d’Information et Document Jeunesse (CIDJ) publiée en 2018, seuls 17% des métiers sont mixtes (lorsque les proportions d’hommes et de femmes représentent chacune entre 40 et 60% des effectifs). Pourquoi les femmes travaillent-elles toujours davantage dans les ressources humaines ou la communication par exemple, tandis que les hommes sont encore largement majoritaires dans l’informatique ou la finance ?
En juin 2021, la Chaire Impact Positif d’Audencia a lancé une étude qualitative sur les choix d’orientation des étudiant(e)s et le poids des stéréotypes de genre. Cette étude a été menée avec KPMG, grand mécène de la Chaire. Convaincu que la mixité est à la fois un enjeu de justice sociale et de performance économique, KPMG souhaite la renforcer, mais peine à recruter des femmes pour certains métiers spécifiques du conseil en finance.
Pour mieux comprendre les déterminants des choix d’orientation et de carrière, nous avons interrogé des étudiant(e)s, mais aussi différents acteurs pouvant influencer leurs choix, comme des enseignant(e)s, des consultant(e)s carrière et des professionnel(les) du secteur de la finance.
Choix d’orientation, une question de goût ?
A première vue, les choix de spécialisation des étudiant(e)s sont avant tout motivés par leurs appétences. Mais pour autant, il existe un déséquilibre notable en matière de mixité dans certaines filières comme la finance, les ressources humaines ou encore la communication. Alors, quels sont les autres critères qui motivent les choix d’orientation ?
L’étude a confirmé que des biais sociétaux de genre pèsent également dans la balance. L’éducation (famille, amis, scolarité…) joue un rôle à travers l’intériorisation des qualités et rôles sociaux attribués aux filles et aux garçons dès le plus jeune âge.
Les filles sont plus souvent décrites comme douces, empathiques, ayant une sensibilité émotionnelle et le souci des autres. Tandis que les garçons seraient davantage compétiteurs, ambitieux, « bons en maths ». Et le système scolaire entretiendrait l’idée selon laquelle filles et garçons n’ont pas les mêmes goûts ni compétences, ce qui conditionnerait les choix d’orientation.
Cela s’observe dès le lycée à travers les choix de spécialité en première : « Les filles sont ultra majoritaires au sein de la triplette humanités-littérature-philosophie, langues, sciences économiques et sociales (85 % contre 15 %) tandis que les garçons le sont en mathématiques-numérique-sciences informatiques-physique-chimie (87 % contre 13 %) » (Source : Le Monde).
Et la même tendance se poursuit dans l’enseignement supérieur : « On compte 28 % de femmes dans les écoles d’ingénieurs alors qu’elles sont 85 % dans les formations paramédicales et sociales. A contrario, à l’université, en 2017-2018, elles représentaient 70 % des étudiants en langues, lettres et sciences humaines. Et si leur part a légèrement progressé dans les formations scientifiques, elles n’étaient que 28 % en sciences fondamentales » (Source : Le Monde).
Mixité des métiers : comment écoles et entreprises peuvent-elles agir ?
Pour favoriser la mixité des métiers, il est avant tout nécessaire d’encourager garçons et filles de la même manière, et ce dès le plus jeune âge. Mais il n’est jamais trop tard : les écoles du supérieur et les entreprises peuvent aussi agir pour dépasser les stéréotypes et ouvrir le champ des possibles.
Les pistes d’action sont nombreuses :
Ecoles et entreprises peuvent donc agir conjointement en faveur d’une meilleure mixité en aidant les étudiant(e)s et candidat(e)s à se libérer des biais sociétaux liés au genre : fille ou garçon, toutes les orientations sont possibles ! Le déficit d’hommes ou de femmes dans certains secteurs peut même se transformer en atout pour certains candidat(e)s : l’action positive au profit de la mixité autorise les entreprises à privilégier le genre le moins représenté dans l’entreprise, si les candidats short-listés présentent des « compétences égales ».
Article co-rédigé par Mélanie Dugué & André Sobczak pour la Conférence des Grandes Ecoles
Mieux comprendre la relation des consommateurs à l’achat de mode. Dans le cadre du partenariat de la chaire Impact Positif avec le groupe ERAM les étudiants de première année de cycler Master de SciencesCom ont mené deux études au premier semestre 2022.
Début février, nous leur avons soumis deux sujets autour de la mode responsable :
En matière de mode, quel message le prix envoie-t-il au consommateur en dehors de l’effort financier qui lui revient ? L’exemple du jean.
Décrypter le phénomène émergent de satiété vestimentaire et les émotions générées par la consommation de mode.
Premier constat encourageant et commun aux deux études : la prise de conscience par les consommateurs des enjeux de développement durable et des impacts du secteur de la mode semble généralisée, contrairement aux premières études de la Chaire (2014-2018).
Merci encore aux étudiants pour leur travail ! Découvrez ci-dessous les principaux résultats.
Méthodologie : étude quantitative par questionnaire (242 réponses exploitées) et qualitative (13 entretiens réalisés) auprès de consommateurs ayant acheté un jean durant l’année écoulée.
Le développement durable n’est pas un critère d’achat déterminant pour un vêtement. Les principaux critères d’achat restent le prix, le rapport qualité-prix et le style. Mais concernant le jean, le critère qualité est plus important.
La qualité est souvent synonyme de prix supérieur et d’article de marque. Pour autant, ce phénomène est paradoxal : si les marques sont gages de qualité aux yeux des consommateurs, ces derniers ressentent une certaine défiance vis-à-vis d’elles. Ils considèrent en effet qu’elles « s’enrichissent par leurs marges excessives ». Cette défiance est notable vis-à-vis des grosses entreprises.
Pour les consommateurs, le prix d’un article contribuerait trop à rétribuer la marque et/ou l’entreprise (les fonctions communication et marketing notamment). Ils souhaitent une répartition plus équitable : selon eux la production de la matière première, la confection et la production du vêtement doivent être rémunérées prioritairement et de manière plus juste.
Les préoccupations sociales sont au cœur du discours des consommateurs, pour autant, une minorité est prête à payer plus cher pour un produit plus responsable. Là encore, nous pouvons observer un paradoxe des consommateurs.
Méthodologie : étude qualitative auprès de 22 personnes ayant une appétence pour le shopping (16 entretiens individuels et 2 triades).
Ces entretiens ont permis de décrypter le rapport des participants, adeptes du shopping, à la consommation de mode et les émotions générées par l’acte d’achat. A travers cette étude, nous voulions explorer le phénomène émergent de satiété vestimentaire, qui correspond à un sentiment de contentement, de satisfaction puis de saturation. Autrement dit, le consommateur a la sensation d’avoir suffisamment acheté, voire trop, et perçoit sa consommation vestimentaire comme superflue et non plus comme nécessaire. La crise sanitaire du Covid a impacté les modes de consommation et les priorités des individus : ces impacts perdureront-ils ?
D’après l’étude « Référenseigne Expert Fashion » 2021 de Kantar Worldpanel, « 38% des français estiment ne pas avoir envie de faire du shopping car ils possèdent trop d’affaires et n’ont pas besoin d’en acheter plus. Or, ceux qui déconsomment ne sont pas forcément ceux qui ont des contraintes de budget. »
Voici les principaux résultats de l’étude exploratoire menée en collaboration avec les étudiants de SciencesCom :
L’achat de vêtements est vécu comme un acte social : un accomplissement, un plaisir personnel, l’image de soi que l’on va refléter au reste de la société à travers ses vêtements. Le jugement et l‘influence sociale étant très importants dans la consommation de mode, on achète pour soi et en fonction des autres. Le jugement et l’influence sociale sont très importants dans la consommation de mode.
Les émotions générées par le shopping évoluent durant le processus d’achat :
Plus l’achat est impulsif et plus la satisfaction sera de courte durée. A l’inverse, plus l’achat est réfléchi et plus la satisfaction se prolongera, retardant ainsi l’envie d’acheter de nouveau.
Le sujet de la mode responsable vous intéresse ? Si vous voulez agir en faveur d’une mode plus responsable, inscrivez-vous au module de sensibilisation Slow Fashion Training développé par la Chaire Impact Positif : toutes les infos par ici.
A la fin de l’année 2021, la Bpifrance a célébré en phygital l’engagement des #EnseignantEntreprenant et des réseaux qui interviennent auprès des jeunes pour les sensibiliser ou les accompagner.
Cet événement #JOPPE vise à valoriser les actions, outils et acteurs du territoire national en faveur de la sensibilisation des jeunes à l’entrepreneuriat. Depuis 20 ans, on constate un fort développement de l’esprit d’entreprendre des jeunes partout en France, dans les établissements, dans toutes les formations (générale, professionnelle, technique), et à tous les niveaux : primaire, secondaire et supérieur.
A cette occasion, Miruna Radu-Lefebvre a été invitée dans l’émission de lancement de la #JOPPE pour apporter son expertise sur le rôle des médias. Comment ont-ils contribué à l’évolution de l’image que nous avons aujourd’hui de l’entrepreneur ? Aux côtés d’Eve Chegaray, entrepreneuse et chroniqueuse de la célèbre BFM Académie et Yves Vilaginés, journaliste spécialiste de l’entrepreneuriat pour Les Echos, Miruna nous présente les résultats d’une étude récurrente depuis 2008, sur la représentation sociale de l'entrepreneur dans la presse française y compris l’entrepreneur dans l’entreprise familiale.
En effet, les médias jouent un rôle central dans la construction sociale de la réalité et l’impact des images qu’ils renvoient pour certains métiers. Ce qui conduit chacun d'entre nous, et notamment chez les jeunes, de développer une forme de désirabilité par rapport à certains métiers tout comme à évaluer la faisabilité de leur souhait de devenir un entrepreneur.
Déjà en 2008, la presse française avait joué un rôle très important dans le renforcement de la désirabilité par rapport au métier d'entrepreneur. Par contre, elle a occulté depuis la dimension de ce qu'on appelle dans notre jargon scientifique « la faisabilité attachée à ce métier », c'est-à-dire la confiance en soi quant à ses capacités de devenir un jour une ou un entrepreneur(e) de succès.
Autre constat remarqué dans cette étude, souvent les modèle et types d'entrepreneurs sont majoritairement masculins, autour de la quarantaine et pour qui tout réussit (études supérieures, carrière, business, famille…). Où sont passés les femmes ? Et, plus largement, où sont passés les « autres » - minorités ethniques, réfugiés, jeunes des quartiers ? Au-delà de cette question du modèle de rôle, on remarque que les médias mettent en avant très souvent les entreprises de grande taille, innovantes, visibles, et ambitieuses. On parle très rarement des entrepreneurs du quotidien (restaurateurs, artisans,…) et qui ont un vrai impact dans leur quartier. On oublie aussi dans les médias de parler d’échec des entreprises et des entrepreneurs, c’est très souvent un sujet tabou, alors que la résilience entrepreneuriale ou salariale existe et il faudrait davantage les mettre au-devant de la scène médiatique.
Audencia s’associe à The Case Center, organisation indépendante spécialisée dans la méthode des études de cas. Le dispositif partenarial inédit s’appuie notamment sur un bootcamp d’une semaine de production d’études de cas, rassemblant 12 professeurs, 5 entreprises leaders de leur secteur ainsi que le Ministère de la Culture, autour de problématiques liées à la transition écologique et sociale.
Comment optimiser un transport décarboné, y compris pour le dernier kilomètre de livraison ? Comment financer la transition ? Comment investir le marché seconde main de la mode ? Comment développer sa sobriété digitale ? Voici quelques-uns des sujets sur lesquels 6 binômes de professeurs d’Audencia se sont penchés du 14 au 18 février pour produire 6 études de cas. Les grandes entreprises Groupe Pomona, Aigle, Petit Bateau, Gémo, Nepsen et le Ministère de la Culture se sont prêtés au jeu de soumettre l’une de leurs problématiques pour cet exercice. D’ici quelques semaines, les cas réalisés seront déposés à la centrale internationale The Case Centre, qui diffuse les études de cas aux enseignants, aux chercheurs et aux entreprises du monde entier. Ce qui permettra à des étudiants des 5 continents de plancher sur ces sujets.
"Je me réjouis que le Case Centre travaille en étroite collaboration avec Audencia pour développer cette nouvelle collection de cas. Le Gaïa Case Bootcamp est une approche passionnante et innovante qui s’appuie sur les compétences complémentaires des ingénieurs pédagogiques et des professeurs de diverses disciplines académiques pour créer des cas de grande qualité, conçus sur mesure, au profit des étudiants d'Audencia et d’autres écoles ailleurs dans le monde."
Richard McCracken, Directeur de The Case Centre
La transition écologique et sociale en fil rouge
Au-delà de la production d’une collection de cas avec The Case Centre, le bootcamp permet une large transversalité et émulation au sein de la faculté d’Audencia. Le dispositif multi-parties prenantes (entreprises, professeurs, The Case Centre, à destination des étudiants) s’ouvre en effet à tous les professeurs et collaborateurs d’Audencia, qui ont pu participer à la conférence de lancement sur le thème « Comment repenser l'enseignement supérieur en management pour accompagner la transition écologique et sociale ? ». Un événement en présence du think-tank The Shift Project, présidé par Jean-Marc Jancovici.
Totalement aligné avec le plan stratégique ECOS 2025 de l’école, et son objectif d’impact positif sur la société dans son ensemble, le bootcamp s’est emparé de problématiques toutes en lien avec la transition écologique et sociale. D’où son nom l’associant à Gaïa, l’école d’Audencia dédiée au management de cette transition.
« Le Gaïa Case Studies Bootcamp mobilise les énergies de l’école pour apporter un éclairage nouveau sur des problématiques concrètes des entreprises de notre écosystème , et permettre à nos étudiants de mieux appréhender les enjeux actuels liés à la transition écologique et sociale. En cela, il incarne la volonté stratégique de l’école d’être un acteur de la transformation vertueuse des individus, des organisations et de la société »
Thibaut Bardon, directeur académique d’Audencia.
Enseigner et apprendre en 2022
L’étude de cas est un outil pédagogique d’autant plus efficace qu’il s’appuie sur une forte proximité des entreprises et organisations, l’une des particularités des écoles de commerce. Elle sert à la fois l’innovation pédagogique pour les professeurs, et assure aux étudiants de réfléchir à des sujets actuellement cruciaux pour les marchés concernés, afin de mettre en pratique leurs apprentissages.
« Les études de cas restent une méthode d'apprentissage importante. Elles stimulent une réflexivité critique sur les enjeux contemporains du management en classe et encouragent les apprenants à envisager différents scénarios et points de vue. Il s'agit d'une compétence essentielle pour nos étudiants et elle est au cœur de notre stratégie d'apprentissage et d'enseignement. »
Tamim Elbasha, directeur Learning & Teaching d’Audencia.
Un dispositif gagnant pour l’entreprise
Cette initiative totalement gratuite a rapidement séduit les entreprises. De fait, elles peuvent ainsi bénéficier de l’analyse et du regard extérieur du binôme de professeurs experts sur leur problématique. Elles ont aussi la possibilité de s’inspirer des solutions dessinées par les étudiants, dans de nombreux pays, pour alimenter leur stratégie et imaginer leurs futures innovations.
Le rayonnement des études de cas à l’international est aussi un booster de notoriété, favorable à la marque employeur dans le cadre du recrutement. Parce qu’elle permet une plongée très concrète dans les coulisses d’une organisation, l’étude de cas offre à voir l’entreprise sous un angle pouvant fortement influencer l’envie d’y postuler en stage ou pour un premier emploi.
La Chaire REALITES a lancé en 2022 un cycle de quatre Petits-déjeuners, un format d’évènements dédiés à la transformation du modèle de fabrication de la ville.
En une heure, des experts invités développent de manière pédagogique leurs expériences, leurs convictions et leurs interrogations avec l'assistance. L’objectif de ces rencontres est de partager des découvertes tout en incitant à une réflexion sur l’évolution de la ville, de notre société, de ses enjeux et de notre cadre de vie. L'occasion d'échanger sur les différentes façons de "vivre la ville" et d'imaginer son futur !
Ces Petits-Déjeuners sont ouverts à toutes les personnes intéressées aux sujets, en distanciel, sur inscription.
Et de trois ! Le parcours "Futur Dirigeant d'Entreprise Familiale" compte désormais trois diplômés de plus. Cette étape marque un cap dans leur vie et dans leur processus de légitimité en tant que successeur.
Tout au long de cette formation, ils ont réussi à identifier leurs propres leviers de positionnement au sein de l’entreprise et de leur famille. Pour l’un d’entre eux, il s’agissait de redéfinir l’identité de l’entreprise qui s’est construite autour du père et des opportunités qu’il a saisi au fil du temps sans construire une vision pour l’entreprise. Pour le second, la place du père est omniprésente : « Je partirais quand vous y arriverez », mais la légitimité du successeur est au moins acquise auprès des collaborateurs. C’est également le cas pour le troisième participant qui a fait part de sa volonté forte d’accélérer le processus de transmission.
Accueillis au sein des locaux du CIC Ouest, nous avons proposé aux participants et diplômés du certificat un afterwork sur la thématique « La RSE - Levier de compétitivité de l'entrepreneuriat familial » animé par Frédéric Robin, directeur banque privée CIC Ouest.
Nous avons eu le plaisir de recevoir Florence Touzé, Co-titulaire de la chaire Impact Positif d'Audencia, auteure du livre « Marketing et les illusions perdues, passez au Marketing Implicatif » (Edition La Mer Salée). Elle nous a partagé son expérience auprès des entreprises en matière de RSE, souvent, disent-elles, contraignante. Pourtant, elle a observé que beaucoup d’entreprises font de la RSE sans le savoir avec beaucoup d’innovation et d’audace. Effectivement, elle note que les modes de consommation ont évolué ces dernières années, avec des consommateurs sensibles aux préoccupations environnementales et aux marques « responsables ». C’est pourquoi les entreprises se tournent de plus en plus vers du marketing implicatif, en co-construisant leurs produits avec leurs clients (consommateurs mais aussi collaborateurs).
Juliette Biotteau (promo 2017 du certificat), a créé avec sa sœur la marque éco-responsable Montlimart. Descendantes de grands parents et de parents entrepreneurs ayant créé, respectivement, les marques ERAM et GEMO, elles se sentaient une véritable âme d’entrepreneures. Soutenues par le fonds de dotation crée par la famille Biotteau pour soutenir des projets de transition durable et responsable, elles ont lancé leur marque consacrée à la conception de vêtements pour homme à partir de matières premières écologiques, vêtements fabriqués à moins de 2000 Km du siège, en coton bio, et depuis peu en 3D. Chaque commande parraine 100 abeilles.
La 7ème édition du CityLab Alliance s'est déroulée du 23 au 25 février dernier au sein de l'Atlantic Campus d'Audencia. Le Groupe REALITES et la Chaire étaient présents.
LE CITYLAB, C'EST QUOI ?
Le CityLab Alliance est un hackathon inter-formation de 3 jours organisé par 3 établissements d'enseignement supérieur : l'Alliance Centrale Nantes, Audencia, et l’Ensa.
L'objectif est de permettre aux étudiants des 3 écoles de développer des compétences hybrides en management, ingénierie et design afin de résoudre ensemble des problématiques autour de la ville du futur.
En 2022, 115 étudiants des 3 écoles de l'Alliance ont participé parmi lesquels les programmes Mastère Spécialisé® et SciencesCom.
Répartis en 12 équipes de 10 étudiants, les groupes de travail ont été encadrés et évalués par des coachs qui leur ont permis d'élaborer des solutions innovantes pour répondre aux problématiques confiées par les entreprises.
6 sujets ont été apportés par 5 entreprises partenaires dont REALITES qui vient de renouveler son partenariat avec Audencia dans le cadre de la Chaire "REALITES - Faire vivre l'intelligence des territoires" jusqu'en 2026. Ce sujet était : « Comment créer les conditions favorables à l’émergence d’un système de communautés d’usagers convivial et auto-régulé ? »
A l'issue des 3 journées, des maquettes des solutions proposées ont pu être remises et présentées aux partenaires.
LA VILLE ACCUEILLANTE OU COMMENT REPENSER L'HABITABILITE DE LA VILLE ?
L'édition 2022 a été introduite par la conférence de lancement « Introduction à la philosophie du biomimétisme et à l’approche éthique qui la sous-tend » par Julien Vey et Virginie Blanville, experts de cette approche de l’Institut Supérieur de Design de Saint-Malo, suivie d’une table ronde.
Franck Marolleau, Directeur de Région Adjoint délégué au développement, Direction Régionale Pays de la Loire du Groupe, est intervenu autour du thème "Repenser la ville accueillante et frugale de demain : que l’on soit touriste, professionnel, migrant, habitant, l’accueil n’a pas le sens, ne revêt pas les mêmes besoins. Néanmoins, quelles que soient les attentes dissimulées derrière ce terme, celui-ci se doit de permettre le vivre ensemble et l’engagement vers un développement durable".
LE DESIGN BIOMIMETIQUE
Nouveauté cette année, l’utilisation de méthodes de travail issues du design biomimétique, philosophie et approches conceptuelles interdisciplinaires prenant pour modèle la nature afin de relever les défis du développement durable (social, économique et environnemental). Les étudiants ont été initiés à la philosophie et aux bases de la pratique du biomimétisme afin d’être en mesure de mener une réflexion transversale et bio-inspirée au service d’une conceptualisation de projets soutenables par et pour le vivant dans son ensemble.
L’approche biomimétique nous pousse à repenser nos systèmes de conception pour les rendre compatible avec la biodiversité et donc plus durables.
Etudiante participante au hackathon.
N'étant pas une spécialiste du biomimétisme, j'avais quelques appréhensions sur l'application de la méthode, mais j'en sors enrichie. Le sujet de REALITES s'est bien prêté à l’exercice. Il y a des idées intéressantes à retenir et à creuser, à faire vivre. Le citylab, c'est une super opportunité de croiser des regards nouveaux, critiques sur notre métier, sur ce que l'on fait, pour pouvoir améliorer à notre tour nos manières de faire et changer notre regard.
Stefanie hirsch, Responsable du Développement Foncier, DIRECTION REGIONALE PAYS DE LA LOIRE
Un grand merci aux entreprises pour leur confiance, aux coachs pour leur accompagnement ainsi qu'aux étudiants pour la qualité des solutions proposé !
L'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes est plus que jamais un sujet d'actualité. La chaire Impact Positif et l'Executive Education d'Audencia ont initié début 2022 une série de table-ronde pour valoriser le leadership responsable des femmes.
Genèse du projet
La chaire Impact Positif, au travers notamment de son programme #NégoTraining*, est très engagée sur l’égalité entre les femmes et les hommes dans le monde du travail. L’Executive Education de son côté propose un programme pour dirigeantes et dirigeants, cadres et managers qui souhaitent donner un nouvel élan à leur carrière : l’Executive MBA. Malheureusement, les femmes sont encore trop peu nombreuses à tenter l’aventure.
L’idée était donc de mettre en commun nos forces vives pour proposer des tables rondes valorisant le leadership féminin mais sous l’angle de la RSE. L’occasion également de montrer l’engagement de l’école en faveur de plus d’inclusion dans le monde du travail et la transversalité des projets en interne. Une fois par trimestre la chaire et l’Executive MBA proposeront donc des tables rondes. Les deux premières étaient sur le plafond de verre et l’entrepreneuriat féminin.
« Brisons le plafond de verre »
Syndrome de l’imposteur, manque de confiance, maternité, plafond de verre, attentes sociétales et préjugés, autant de raisons qui expliquent que « seuls 5% des directeurs généraux dans le monde soient actuellement des femmes » selon une étude publiée par l’YPO. Animée par Cécile Lefort, cette première table ronde de la série s’est attachée à déconstruire les stéréotypes de genre.
Avec :
« L’entrepreneuriat au féminin »
Selon l’INSEE, 39% des entreprises individuelles créées en 2020 l’ont été par des femmes. Alors que depuis 30 ans environ ce chiffre augmentait, cette proportion a tendance à stagner. S’ajoute à cela une représentation sectorielle qui reste inégale entre femmes et hommes. Cette table ronde animée par Magalie Grollier a été l’occasion de faire un état des lieux de l’entrepreneuriat féminin en France et de comprendre les obstacles rencontrés.
Avec :
*dispositif gratuit de sensibilisation des femmes à la négociation salariale.
La chaire récompensée à la conférence académique IPSERA 2022 pour son article "Explorer les compétences futures des achats pour une meilleure contribution à la RSE et à l'innovation".
Thomas Johnsen et François Constant, titulaires de la chaire Achats et Innovation Digitale ont gagné le premier prix de la conférence académique IPSERA 2022, à Jönköping en Suède grâce à leur article "Explorer les compétences futures des achats pour une meilleure contribution à la RSE et à l'innovation". L'article a été co-écrit également avec Philip Beske-Janssen et Andreas Wieland.
Basé sur une étude itérative auprès d'une centaine de directeurs achats, l'objectif de l'article est d'identifier quelles nouvelles compétences les acheteurs vont devoir acquérir dans la prochaine décénie, pour mieux contribuer à la RSE et à l'innovation. Des interviews d'experts aux plus hautes responsabilités dans les achats ont partagé leurs points de vue: nous avons consolidé et hiérarchisé ces futures compétences.
Bravo à eux, c'est une reconnaissance de leur travail sur le projet Periscope financé par l'UE ERASMUS+.
Contactez-nous pour en savoir plus !
Miruna Radu-Lefebvre, titulaire de la chaire Entrepreneuriat Familial & Société est de plus en plus sollicitée pour parler des travaux qu’elle mène au sein de la chaire. Ainsi, à l’invitation de Yves BROCHARD, Président d’Initiative Vendée Bocage, Miruna est intervenue à la table ronde organisée à La Roche-sur-Yon en collaboration avec Initiative Vendée Terres et Littoral en tant qu’experte de l’entrepreneuriat féminin. Elle a apporté une analyse et une vision académique de ce qui font les valeurs d’une entrepreneuse aujourd’hui.
Elle a été également l’invitée d’honneur au lancement club Family Business du Medef Mayenne ou encore à la 1ère conférence internationale sur l’entrepreneuriat, l’innovation et les entreprises familiales (ICEIFB) à Tunis.
Florence Touzé, titulaire de la chaire Impact Positif n’est pas en reste non plus ! Invitée au Com’en or Day, elle a évoqué deux propositions pour agir plus concrètement dans le marketing responsable : la marguerite des besoins et la matrice de contrat de marque.
Avant qu’il ne quitte Audencia, André Sobczak, alors également titulaire de la chaire Impact Positif, est intervenu dans des conférences ou tables-rondes pour promouvoir notamment l’égalité femmes/hommes.
La Chaire REALITES - Faire vivre l'intelligence des territoires apporte son regard d'expert sur France24, à l'occasion d'une émission « Le gros mot de l’éco » consacrée à la gentrification, avec notamment l’exemple des quartiers de Trantemoult et de Chantenay-Sainte-Anne à Nantes.
Retrouvez Virginie Grandhomme dans cette émission diffusée le 4 juillet 2022.
On parle de transformation urbaine et sociale, renouveau économique, inégalités, logiques de spéculation et d’investissements immobilier…
Virginie Grandhomme
Après un parcours de 10 ans en tant que responsable d’études spécialisée dans les politiques publiques de l’habitat, de l’aménagement du territoire, ou encore les politiques publiques de la jeunesse et du sport, Virginie Grandhomme a rejoint Audencia en tant que co-titulaire de la Chaire REALITES « Faire Vivre l’intelligence des territoires » en septembre 2021.
Titulaire d’un doctorat en sociologie sur le sujet de la collectivisation des luttes politiques, Virginie conçoit et développe les recherches de la Chaire sur les enjeux de la fabrique de la ville.
En 2021-2022, la chaire Impact Positif a lancé deux nouveaux modules de sensibilisation aux questions RSE : Slow Fashion Training et Entrepreneuriat : Responsable et rentable ! A l’instar de #NégoTraining, ce sont des modules premiers pas.
Slow Fashion Training ou comment sensibiliser à la mode durable
Sensibiliser à la mode durable, rendre acteur et diffuser les bons messages autour de soi. C’est ce que propose Slow Fashion Training, lancé en novembre 2021. L'objectif ? Impulser de nouveaux réflexes permettant d’allier plaisir et pratiques plus durables afin que chacun participe à la réduction de notre impact à l’échelle nationale et mondiale pour préserver la planète.
Gratuit et en ligne, l’atelier a été conçu pour apprendre à mieux connaître les impacts du secteur de la mode, de décrypter nos comportements d’achat et d’usage de nos vêtements. Le tout sans culpabilité.
En deux heures de temps, on ressort avec des pistes concrètes à mettre en place facilement au quotidien, des clés pour consommer en conscience et autrement, pour garder ses vêtements et/ou leur donner une seconde vie…
Un premier bilan encourageant. 70 personnes (sur 120 inscrites) ont déjà sensibilisées en 4 sessions organisées soit à destination du grand public soit pour les étudiants du Parcours RSE du Programme Grande Ecole. Vous souhaitez participer à Slow Fashion Training ? cliquez ici pour vous inscrire et recevoir les invitations aux prochains ateliers ! Deux sessions grand public par an sont prévues.
Intégrer la RSE dès la création de son entreprise
Piloté par la chaire Impact Positif, le module Entrepreneuriat : responsable & rentable, développé par la Plateforme RSE de la métropole nantaise et Les Sup'Porteurs de la création 44, s'adresse aux créateurs d'entreprise pour les sensibiliser à la RSE dans leur projet.
Un module 1er pas en petit comité pour favoriser les échanges qui a pour objectifs :
40 personnes ont déjà suivi ce module en 6 ateliers. Pour en savoir plus, contacter Ameline Bordas.
En signant ce partenariat, Audencia et Villes de France se sont engagées à collaborer afin de permettre une meilleure connaissance réciproque des activités de l’association Villes de France et de la Chaire.
Ce partenariat va permettre à la Chaire de nouer une relation de travail avec les villes moyennes et leurs élus et techniciens des services. Il s’agit à la fois d’identifier des interlocuteurs susceptibles d’être mobilisés dans le cadre des travaux de recherche au titre de leurs connaissances et expériences pratiques de l’administration des territoires, que des acteurs intéressés au partage et à la discussion autour des résultats de recherche ainsi produits.
Virginie Grandhomme, co-titulaire de la Chaire REALITES – Faire vivre l’intelligence des territoires, commente :
Je suis très heureuse de la signature de ce partenariat avec l’association Villes de France, avec qui nous avons des liens privilégiés. À travers ce partenariat, nous allons pouvoir donner une nouvelle envergure à nos travaux de recherche et à nos futurs évènements.
Pour Bastien REGNIER, Directeur général - Villes de France, ce partenariat permet à l'association de poursuivre sa mission de défense et de reconnaissance des villes moyennes et de leurs agglomérations, mais aussi de répondre au besoin de valoriser les enjeux spécifiques et les attentes de ces territoires urbains, de renforcer leur contribution au développement économique, social et culturel essentielle à l’équilibre national, et de promouvoir leur image.
Avant son départ d’Audencia, André Sobczak alors co-titulaire de la chaire Impact Positif, était l’invité avec Laurent Geoffroy, Directeur des Ressources Humaines de KPMG France, de Thomas Hugues pour son émission Smart Impact.
L'occasion pour les deux organisations de parler de leur partenariat (renouvelé pour 4 ans en mars 2022), du guide des bonnes pratiques RSE co-écrit ensemble, de #NégoTraining... L'objectif commun : développer des projets pédagogiques ayant un impact positif sur la société et faire de l’engagement social et environnemental un levier d’innovation et de performance.
Portée par les financements de la Fondation Audencia, une chaire est un centre destiné à la promotion d'une discipline ou d'un savoir émergent par le développement de recherches et d'enseignements sur une problématique concrète de management. En général les partenariats sont de quatre ans. Cette année qui vient de s’écouler a vu le renouvellement de trois partenariats et l’arrivée de deux nouveaux mécènes. Tour d’horizon.
Groupe REALITES, KPMG, Groupe CIC Ouest-CM Equity renouvellent leur engagement
Grand mécène depuis la création de la chaire REALITES – Faire vivre l’intelligence des territoires en 2018, le groupe REALITES poursuit le partenariat avec Audencia jusqu’en 2026. En tant qu’aménageur territorial et entreprise à mission, REALITES a à cœur de comprendre et d’analyser en profondeur les mutations profondes et constantes de la fabrique de la ville. L’ambition pour ce nouveau mandat pour la chaire est de créer et partager des connaissances sur le développement des grands projets urbains en associant les collaborateurs du développeur territorial.
Grand mécène de la chaire Impact Positif depuis 2014, KPMG France poursuit son partenariat avec Audencia pour 4 ans. Le leader de l'audit et du conseil soutiendra ainsi des projets de recherche liés à la Responsabilité Sociétale des Entreprises, notamment en matière d’égalité femmes-hommes. L’objectif ? Développer des projets pédagogiques et recherches ayant un impact positif sur les entreprises et la société. Et ainsi faire de l’engagement social et environnemental, un levier d’innovation et de performance.
Jamais deux sans trois ! Le groupe CIC Ouest- CM Equity renouvelle son partenariat pour la troisième fois consécutive auprès de la chaire Entrepreneuriat Familial & Société pour 4 nouvelles années. Soucieux d’inscrire un partenariat dans la durée, c’est tout naturellement que le groupe bancaire, Partenaire fondateur de la chaire en 2013, souhaite prolonger cette coopération qui s’est notamment concrétisée en 2015 par la création d’un certificat pour jeunes dirigeants. Il continuera d’appuyer les travaux de recherche de la chaire sur l’entrepreneuriat transgénérationnel et les successions intrafamiliales.
Deux nouveaux mécènes pour la chaire Impact Positif et pour la chaire Entrepreneuriat Familial & Société
GRDF a rejoint la chaire Impact Positif d’Audencia en tant que grand mécène. CE partenariat vise à répondre plus efficacement aux enjeux environnementaux et sociaux auxquels GRDF doit faire face. Reconnue pour son action dans le domaine de la responsabilité sociétale et environnementale des entreprises (RSE), la chaire Impact Positif d’Audencia illustre de façon concrète les synergies possibles et nécessaires entre le monde de l’entreprise et de l’enseignement supérieur. Ce partenariat, conclu pour une durée de 4 ans, permettra à GRDF de bénéficier d’un accompagnement stratégique autour de sa stratégie RSE. Il vise également le développement de projets pédagogiques et de recherche liés aux problématiques énergétiques, notamment en lien avec l’essor du biométhane, un gaz renouvelable, dans lequel GRDF est engagé.
Dans l’objectif de développer des projets d’études et de recherche sur des thématiques telles que la transmission de l’esprit d’entreprendre dans les entreprises familiales ou encore la croissance des entreprises familiales, le cabinet d’avocats Cornet Vincent Segurel signe un partenariat de mécénat pour 4 ans avec la chaire Entrepreneuriat Familial & Société. Audencia et Cornet Vincent Segurel partagent un engagement fort en matière de Responsabilité Sociétale des Entreprises. La collaboration permettra au cabinet d’avocats d’utiliser les enseignements de la chaire pour faire évoluer ses pratiques auprès de ses clients, et ainsi de monter en compétences sur les problématiques des entreprises familiales. Parallèlement, le partage d’expérience et les retours terrain du cabinet viendront nourrir les travaux et l’expertise de la chaire.
Dans un contexte actuel particulièrement anxiogène (urgence climatique, pandémie, crise énergétique…), jamais le marketing et la communication n’auront autant été contestés, décriés voire détestés. Une remise en question complète du système est inévitable. Une alternative est pourtant possible. Depuis plusieurs années, en effet, une tendance s’élève pour un marketing « pour impliquer et s’impliquer ».
C’est ce qu’explique Florence Touzé dans son livre Marketing, Les illusions perdues* (Éditions La Mer Salée) en proposant un marketing plus responsable : le marketing implicatif. Florence Touzé, titulaire de la chaire Impact Positif d’Audencia est une des pionnières et fervente militante du marketing implicatif.
*Marketing, Les Illusions perdues, éditions La Mer Salée, prix public : 19€, N° ISBN 979-10-92636-32-1
Voici une sélection d'articles parus dans la presse généraliste ou spécialisée, toute thématique confondue.
2022
20/09/22 - Petit-Déjeuner #3 : Fabrique de la ville & Design fiction (Chaire REALITES - Faire vivre l'intelligence des territoires) dans le cadre de la Nantes Digital Week
28/09/22 - Step Conversation #2 : Le genre dans les entreprises familiales (Chaire Entrepreneuriat Familial & Société)
28/09/22 - Atelier Entrepreneuriat responsable et rentable ! (Chaire Impact Positif)
28/09/22 - Enregistrement du podcast "En toute transparence" (Chaire Impact Positif et étudiants d'Audencia SciencesCom)
10/06-07/22 - 17ème congrès EIASM on family firm management research (Chaire Entrepreneuriat Familial & Société)
13/10/22 - Atelier #NégoTraining à Atlantic Campus (Chaire Impact Positif)
21/10/22 - Lancement Conférence des ambassadeurs-rices de la plateformes RSE Nantes (Chaire Impact Positif)
08/11/22 - Atelier #NégoTraining en distanciel avec KPMG (Chaire Impact Positif)
18/11/22 - Salon Elle Active (Chaire Impact Positif)
01/12/22 - Table ronde Femmes & Leadership responsable (thème à confimer) (Chaire Impact Positif & Executive Education)
09/12/22 - Petit-Déjeuner #4 sur le E-sport (thème à confirmer) (Chaire REALITES - Faire vivre l'intelligence des territoires)
15/12/22 - Atelier #NégoTraining à Atlantic Campus (Chaire Impact Positif)
2023
27/01/23 - Conférence Qualités de Vi(ll)es (Chaire REALITES - Faire vivre l'intelligence des territoires)
20-24/02/23 - 2ème édition du Gaïa Cases Bootcamp
03/23 (à confirmer) - Conférence sur le thème de femmes dirigeantes (chaire Impact Positif)
Le mot de la fin
Merci pour votre lecture de ce deuxièmre numéro R&B mag ! Nous espérons que cela vous a permis d'en savoir un peu plus sur le pôle Recherche & Business.
Des commentaires ? Des suggestions ? N'hésitez pas à nous en faire part.
On vous donne rendez-vous pour le prochain numéro, qui à n'en pas douter, sera tout aussi riche !
A bientôt
Le pôle R&B
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