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Brexit : exode ou statu-quo ?

Alors que le divorce entre la Grande-Bretagne et l’Union européenne avance à grands pas, l’incertitude règne. Professeur de sciences politiques à l’université Pablo de Olavide de Séville, Jean-Baptiste Harguindéguy répond à nos questions.

Propos recueillis le 07/03/19.

 

Face à la complexité de sa mise en œuvre, on peut se poser la question : le Brexit aura-t-il lieu ?

Jean-Baptiste Harguindéguy : Je reste en effet sceptique sur la réalité du Brexit. Chaque jour apporte son lot de rebondissements. En 2016, c’était facile de voter. Mais la réalité, c’est qu’on n’a jamais dit aux gens quelles seraient les difficultés du divorce. La mise en œuvre s’avère beaucoup plus complexe que prévu. Cela va coûter beaucoup d’argent au Royaume-Uni. Face à ce pas dans l’inconnu, le doute s’est instauré dans l’esprit des Britanniques.

 

Doit-on s’attendre à un départ massif des ressortissants de l’Union européenne ?

Jean-Baptiste Harguindéguy : Trois stratégies semblent se dessiner pour les continentaux de Grande-Bretagne : soit rester au Royaume-Uni en demandant la nationalité britannique, tout en sachant que l’on ne sait pas si les conditions d’obtention changeront à l’avenir ; soit quitter la Grande-Bretagne pour d’autres grands centres financiers du continent ; soit viser l’Irlande, Dublin notamment, en adoptant une sorte de « un pied en dehors, un pied en dedans ». En dehors de ceux qui sont déjà partis, la plupart sont dans une phase d’attentisme. Ils font jouer leurs contacts sur le continent au cas où, sans pour autant devancer des décisions politiques dont on ignore les conséquences.

 

Le Royaume-Uni va-t-il fermer ses portes aux diplômés du continent ? D’autres territoires peuvent-ils concurrencer Londres en terme d’attractivité ?

Jean-Baptiste Harguindéguy : La question est de savoir si les personnes tentées par la Grande-Bretagne souhaitent rentrer dans une stratégie à court, moyen ou long terme. Les démarches administratives ne seront sans doute pas les mêmes. D’autres pays peuvent effectivement finir par attirer davantage les surdiplômés du continent. Ce sont d’ailleurs les mêmes qui essaient de récupérer le capital humain du Brexit : les Pays-Bas, Francfort et Bruxelles tentent de capter les sièges sociaux des entreprises. Paris ne s’en sort pas trop mal avec son système de guichet unique. Quant à l’Espagne, la crise catalane et le millefeuille administratif espagnol ont eu tendance à affaiblir sa position dans cette compétition.

 

 

 

Guy-Pierre Chomette, Rédacteur

 

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Conséquences du Brexit

L’approche du Brexit plonge nos Audenciens londoniens dans l’incertitude, teintée pour certains d’entre eux d’un peu d’amertume, à l’image de Julien Planté, qui a suivi le programme Grande Ecole en 1998. Depuis 19 ans, il vit et travaille à Londres comme producteur pour la télévision et l’événementiel live.

« Le Brexit est partout. Il génère un désordre paralysant et inquiétant. Je regrette que certains Britanniques aient oublié l’Histoire et ne se sentent pas citoyens européens. Cela aurait peut-être empêché de vivre la situation actuelle » nous dit-il.

Julien se dit blessé par ce qui se passe autour de lui. Il s’est d’ailleurs personnellement engagé pour que le divorce n’ait pas lieu. En mai 2017, il organise The Convention on Brexit & the Political Crash, puis rejoint les militants pour un nouveau référendum et organise The Convention: Another Vote is possible en janvier 2019Selon lui, la campagne initiale aurait en effet été biaisée, ternie par des mensonges et approximations.

Même sentiment d’inquiétude pour Felipe Gonzalez (EIBM 09), franco-colombien, qui travaille à Londres depuis 4 ans, pour la Société Générale Corporate and Investment Banking.

 « L’accès au marché du travail pour les ressortissants de l’UE sera plus limité. Désormais, les titulaires d’un passeport européen devront demander le statut de résident. L’écart entre locaux et non-locaux va se creuser. Même risque pour les familles. Avec le Brexit, il se dit qu’un enfant né au Royaume-Uni de parents non britanniques, ne pourra plus prétendre automatiquement à la nationalité britannique et pourrait voir son statut de résident remis en cause. » avance-t-il.

Alors que règne la plus grande incertitude sur les conditions réelles de la sortie de l’UE, les supputations vont bon train, y compris au sujet des retraites.

« J’ai travaillé 6 ans en France, 2 en Espagne et 4 au Royaume-Uni. A priori, mes cotisations de retraite en France et en Espagne seront compatibles mais qu’en sera-t-il de celles payées en Angleterre ? » questionne Felipe.

Certains diplômés ont, quant à eux, choisi de ne pas se laisser gagner par le marasme ambiant, comme Azzedine Alkhalfioui (GE 11), qui travaille pour Barclays Bank.

« Londres est une porte ouverte sur le monde. La ville restera la meilleure alternative européenne dans la finance. Il suffit de regarder : aucune autre capitale européenne n’offre aux banques et aux cadres financiers autant d’avantages. »

Londres semble aussi devoir rester la capitale européenne de la Tech. Facebook, Google, Apple y sont implantés et ne devraient pas bouger.  

« Londres veut devenir la Silicon Valley européenne et le gouvernement va dans ce sens. Pas de doute, Londres réserve un bel avenir à nos jeunes diplômés. Il faut donc y foncer ! » conclue Azzedine.

 

Géraldine Lance, Rédactrice

 

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Brexit : quel impact sur les financements européens universitaires ?

51,9% de Britanniques se sont exprimés en faveur d’une sortie de l’Union européenne le 23 juin 2016. Quelles sont les conséquences de ce Brexit sur les financements européens universitaires ? C’est la question posée à Robert Bowen (IMM 12).

« Nous vivons dans une période d’incertitude », décrit Robert Bowen, 35 ans, professeur à l’Université de Swansea au Pays de Galles, depuis septembre 2017. Egalement professeur en visite à Audencia pour le programme IMM, il enseigne le Marketing à l'ère digitale. Selon lui, le vote de sortie de l’UE pourrait mettre à mal la pérennité des financements européens accordés aux universités britanniques.

« Moins de fonds, cela signifie moins de programmes de recherche et moins de postes de chercheurs/professeurs », résume-t-il. « Perdre l’accès aux fonds de recherche européens, cela signifie aussi fragiliser les partenariats avec des universités européennes. Ce qui est déjà le cas », selon Robert Bowen.

« La situation actuelle n’incite guère les chercheurs et professeurs européens à conduire des projets avec leurs homologues britanniques », relate-t-il contraint à l’avenir de trouver de nouvelles sources de financement. « Le gouvernement britannique dit qu’il compensera cette baisse des crédits de recherche mais nous n’avons aucune certitude. » Difficile donc de se projeter à long-terme.

La perte de ces financements pourrait aussi conduire les universités britanniques à renoncer à certains projets de construction.

« L’Université de Swansea est un nouveau campus édifié voilà trois ans. Sa construction a été subventionnée par l’Union européenne à hauteur de 450 millions de livres sterling. Sans cette enveloppe, le projet n’aurait sans doute pas vu le jour », illustre Robert.

Une richesse culturelle impactée

La menace n’est pas seulement économique. La mobilité des étudiants et du personnel universitaire à travers l’Europe pourrait également être altérée par le Brexit, notamment celle qui s’effectue via le programme Erasmus. « Certains de mes collègues partent en Europe cette année. Peut-être la dernière pour le faire ? », s’interroge Robert, regrettant de ne pas avoir postulé. Selon lui, le Brexit pourrait donc aussi avoir des conséquences sur la diversité de la richesse culturelle. Sans parler de l’image « ternie » du Royaume-Uni. Pour autant nulle question pour lui de quitter ses terres natales.

 

Florence Falvy, Rédactrice

 

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Pas de panique !

Sylvie Froger (GE 97), a créé son agence de relocation Simplement Londres. Elle récuse les discours de panique et souligne que Londres restera une plaque tournante de l’économie en Europe.

 

Pouvez-vous retracer votre parcours et nous dire ce qui vous attache tant à Londres ?

Sylvie Froger : Cadre marketing dans un grand groupe industriel en Suisse, j’ai été détachée à Londres, en 2004, et je ne suis jamais repartie ! Je me suis vite attachée à cette ville. Londres est cosmopolite, internationale, très ouverte d’esprit, la culture y est omniprésente… Si vous ajoutez à cela le flegme britannique, vous avez le cocktail qui m’a rendu complètement londonienne. J’ai créé Simplement Londres en 2012. Nous sommes quatre salariées. Plutôt francophone au début, notre clientèle est désormais internationale.

 

Depuis 2016 et le vote des Britanniques en faveur du Brexit, votre métier est-il impacté ?

Sylvie Froger : L’année du vote, l’industrie a beaucoup souffert car tout s’est arrêté. Sur le marché de la relocation des francophones à Londres, certains ne s’en sont pas relevés. D’autres se sont réorientés vers des services de relocation vers… Paris. Simplement Londres a été très secoué mais nous avons tenu bon. Une fois passée cette phase, on est revenu à la normale. Au risque de surprendre, je dirais même plus que rien n’a changé depuis le Brexit ! Certes, les Européens sont plus frileux de s’installer à Londres, incertains quant aux futures procédures d’immigration. Mais ce n’est pas le cas du reste du monde pour lequel Londres reste une place très active, une plaque tournante où le Brexit n’est qu’un élément parmi d’autres à prendre en compte.

 

Que va-t-il se passer dans les semaines et les mois qui viennent ? 

Sylvie Froger : Il faut distinguer le secteur de la finance des autres secteurs. Avec la perte du passeport financier, certaines équipes de trading ne pourront plus travailler à Londres. Pour le reste, notamment la technologie, Londres reste en première ligne. Une livre plus faible n’est d’ailleurs pas vue d’un mauvais œil par certaines entreprises qui souhaitent exporter d’ici ! À dire vrai, personne ne sait ce qu’il va se passer. À Simplement Londres, nous disons : pas de panique. Les Européens seront toujours bienvenus dans ce pays qui ne peut vivre sans eux. Certes, ils devront officialiser leur droit de résidence par une démarche simple et rapide, mais la Grande-Bretagne ne va pas leur fermer la porte ni encore moins se priver des continentaux qui vivent sur son sol. Nous sommes confiants.

 

Guy-Pierre Chomette, Rédacteur

 

Campus life

Plus de 1 800 personnes à la dernière cérémonie de remise de diplômes

C’est un moment important dans un cursus... Début février, la cérémonie de remise de diplômes a mis à l’honneur 816 étudiants. Pour la première fois, l’événement était commun à 5 programmes d’Audencia.

Bravo aux 816 nouveaux alumni ! Tous avaient rendez-vous samedi 2 février 2019 au Zénith de Nantes à l’occasion de la remise de diplômes d’Audencia.

Et, pour la première fois, « cinq programmes étaient réunis sous le même toit », se félicite Dan Evans, Directeur des Programmes, en partie à l’initiative de cet événement unique. Bachelor et BBA, Audencia SciencesCom, Masters internationaux, Mastères spécialisés, Full-time MBA & Executive MBA... Tous les étudiants ont défilé sur scène. L’occasion de distiller « un message d’appartenance » mais aussi de montrer toute la « diversité » qui existe au sein de « la grande famille d’Audencia ».

« La reconnaissance de tous les efforts fournis »

Plusieurs temps forts ont rythmé cette cérémonie de remise de diplômes. A commencer par la chorale Cœur et Orchestre des Grandes Ecoles de Nantes qui a ouvert les festivités. Si les professeurs et la direction des programmes se sont ensuite relayés sur scène lors d’interventions, il s’agissait avant tout de mettre à l’honneur les diplômés du jour, notamment au moment de la remise de prix : 7 étudiants ont reçu le prix de la meilleure thèse, 11 le prix Major de promotion, 6 le prix de l’audace ou encore 16 ambassadeurs de promotion. Parmi eux figure Isabelle Mauriquot, diplômée du Mastère Spécialisé SMED (Stratégie Marketing à l’Ere Digitale).

« Très bien organisé, très rythmé... Du chant, de la dance, des diplômés heureux, des familles et amis fiers, un buffet délicieux, c’était une magnifique après-midi ! », témoigne-t-elle.

« J’ai ressenti beaucoup d’émotion et de satisfaction : c’est la reconnaissance de tous les efforts fournis », fière d’être diplômée d’une école qui prône « autant la diversité (des programmes, des élèves, des nationalités, des intervenants…) ».

Autre moment incontournable : le cocktail. En soirée, les 816 diplômés et les 1 000 invités ont été conviés à monter sur la scène pour clore l’événement. Sans oublier le traditionnel lancer de toques !

 

RDV en 2020

A présent, le rendez-vous est donné en 2020 pour la prochaine cérémonie de remise de diplômes. A noter que le programme Grande Ecole se joindra également à la fête ! L’occasion d’agrandir encore un peu plus le cercle de la diversité. 

 

Florence Falvy, Rédactrice

 

Campus life

Oraux d'admission : bienvenue aux diplômés !

Programme Grande Ecole, programme Bachelor, SciencesCom : la saison des concours est ouverte. Pour les alumni, c’est l’occasion unique de rencontrer la future génération de diplômés.

Les oraux d’admission aux différents programmes d’Audencia sont un grand moment d’attractivité et de rayonnement de l’institution vers l’extérieur. Les jurys sont composés d’un professeur et d’un praticien qui apporte sa connaissance du monde de l’entreprise. Pourquoi pas vous ?

« Nous comptons sur les diplômés pour faire vivre les valeurs d’Audencia à travers leur participation aux jurys d’admission, explique Nicolas Arnaud, Directeur du Programme Grande Ecole. Participer à ces oraux, c’est aussi la possibilité de comprendre les attentes des nouvelles générations. »

Rien que pour le programme Grande Ecole, près de 3 500 candidats vont être accueillis dans les locaux d’Audencia, du 3 au 12 juin pour le concours d’admission sur titre en cycle master et du 18 juin au 9 juillet pour le concours d’admission des classes préparatoires. À noter que l’Ecole recherche également des alumni pour les oraux de compétences des étudiants de troisième année, qui se tiendront du 15 au 28 mai et les 26 et 27 août.  

De son côté, Guy Gascoin, Directeur du programme Bachelor, insiste sur l’importance de la sélection des candidats.

« Pour qu’une école soit performante, il faut un bon programme, de bons formateurs, une bonne équipe d’encadrements et de bons étudiants. Pour avoir de bons étudiants, mieux vaut demander à ceux qui sont passés sur les bancs de l’école avant eux, de les auditionner lors des oraux d’admission. Quelque soit leur année de promotion, les diplômés connaissent la philosophie de l’École et l’ADN du cursus. » 

Près de 700 candidats vont passer l’oral pour tenter de rejoindre le programme Bachelor bac+3, auxquels il faut ajouter les admissions sur titre en troisième année et celles qui permettent d’effectuer une quatrième année. Les jurys se réuniront entre autres les 3 avril, 6 avril et 5 juin à Nantes, les 10 et 13 avril sur Paris.

Enfin, les épreuves orales du concours SciencesCom se tiendront du 4 au 6 avril et du 6 au 8 juin prochains.

 

Guy-Pierre Chomette, Rédacteur

 

Campus life

Audencia conquiert le monde avec des nouveaux partenariats en Afrique et un voyage en Chine

Depuis longtemps, une des forces d’Audencia repose sur son ouverture vers l’international. Au fur et à mesure des années, l’Ecole a en effet su s’étendre hors des frontières françaises, accueillir des promos plus larges et nouer des partenariats étrangers. Les derniers en date, en Afrique de l’Ouest et Afrique de l’Est.

 

Cap vers l’Afrique

En mars, Audencia a signé deux accords inédits d’enseignement et de recherche en Afrique. L’un est avec l’Université du Ghana et l’autre avec United States International University Africa au Kenya. D’ailleurs, celui signé au Kenya s’est réalisé dans le cadre de la visite officielle d’Emmanuel Macron à Nairobi les 13 et 14 mars 2019.

Grâce à ces partenariats, Audencia va développer ses collaborations en matière de recherche, les étudiants pourront facilement faire des échanges entre universités et ce n’est pas tout ! Des programmes communs seront également établis entre les institutions et un double-diplôme sera même créé permettant ainsi aux étudiants ghanéens, d’obtenir le Master of Science in Food and Agribusiness Management d’Audencia.

Ces alliances avec l’Afrique marquent également une étape importante du développement du Collaborative Institute for Global Agribusiness, lancé en 2018 par Audencia avec trois autres membres Fondateurs : l’Association brésilienne des agro-entreprises, l’ESPAE Graduate School of Management en Equateur et la société consulting TCAI Tejon Communication & Action International Ltda au Brésil.

 

Une découverte de la Chine

Du 16 au 23 mars, les étudiants en première année de classes préparatoires économiques et commerciales ont eu la chance de s’envoler vers Chine. Ce voyage leur a permis de se plonger dans la culture et le monde des affaires chinois, de rencontrer des étudiants français, de découvrir Hong-Kong et ses buildings.

Ce périple de quelques jours fut aussi l’occasion de visiter le campus de Shenzen Audencia Business School (SABS).  Une étape nécessaire quand on sait que Shenzen fait partie d’une zone économique spéciale (ZES) aujourd’hui comparée à la Silicon Valley.

Et enfin, les étudiants ont aussi participé aux deux étapes chinoises de l’événement « Audencia Around the World » : le tour du monde d’Audencia Alumni. Le principe ? 8 jours de rencontres entre diplômés dans le monde entier.

Par ces voyages à travers les quatre coins de la planète, ces partenariats internationaux, le réseau d’Audencia ne cesse de grandir et reste une véritable source d’inspiration.

 

Géraldine Lance, Rédactrice

 

Network talk

Franc succès pour l’événement Audencia Around The World !

Huit jours autour du monde pour présenter les communautés internationales d'anciens élèves, pas moins de 31 événements, 25 pays sur les 5 continents... Pour cette première édition, Audencia Around The World, du 15 au 22 mars 2019, a fait le plein !

A l’assaut du tour du monde en 8 jours, l’événement Audencia Around The World a rempli son pari : faire se rapprocher les communautés d’alumni présentes aux quatre coins du globe, de Dublin à Singapour, en passant par Mexico, Shanghai, Sydney (cf photo ci-dessus) ou encore Londres. Le coup d’envoi a été donné le 15 mars à Chengdu, en Chine, avec l’intronisation d’une nouvelle communauté. 30 autres événements ont suivi.

 

Une vraie adhésion 

Premier constat : les alumni ont bien répondu présents ! Plus de 450 inscrits ont en effet fait vivre l’événement pendant 8 jours. Parfois dans des lieux inattendus, comme à Séoul, Nairobi ou Copenhague, où la manifestation a suscité une vraie adhésion des diplômés, pourtant peu en nombre dans ces territoires.

Audencia Around The World a également pu compter sur de fidèles ambassadeurs, comme Habiba Laraki (IMM 09). Auparavant ambassadeur à Casablanca, il s'est installé à Copenhague où il a organisé un événement. Tout comme Siddharth Akolkar (IMM 10), un ambassadeur de l'Inde qui a déménagé à Toronto et pris part à l’événement avec Hélène Niyonzima (GE 14), pour faire se rencontrer des diplômés qui ne se connaissaient pas.

 

Place à l’audace 

Un webinaire en direct à Tokyo, une soirée yoga avec cure de désintox numérique à New York, le nettoyage des plages à Sydney et à San Francisco... Audencia Around The World a également été marqué par des événements « audacieux ». Le thème de l’audace a d’ailleurs été à l’honneur d’un afterwork à Londres avec deux guest speakers, Alicia Bulbeck (GE 17) qui a créé un supermarché zéro déchets et Julien Planté, aujourd’hui producteur de cinéma et d’événements. A plus de 9 000 kilomètres de là, l’audace était également au rendez-vous à Hong-Kong où pas moins de 70 participants d’horizons divers (des diplômés, des étudiants en stage, des Executive MBA) ont également partagé leur vision de l'audace. Le tout dans un élan très positif.

 

Un hommage à « John »
Audencia Around The World est la preuve que la grande famille d’Audencia reste mobilisée quelles que soient les distances. Cet événement ne pouvait donc se dérouler sans rendre un hommage à Jean-Laurent Barthere (GE 08), dit « John », décédé en décembre dernier. Installé à Hong-Kong, son engagement fait toujours écho dans le réseau. 

 

Florence Falvy, Rédactrice

 

Network talk

Association des diplômés d'Audencia : vers un fonctionnement simplifié

A l’occasion de l’Assemblée Générale du 13 mars 2019, l’association Audencia Alumni s’est dotée de nouveaux statuts, pour gagner en agilité et simplifier sa gouvernance.

L’association centenaire, Audencia Alumni, est l’acteur-clé de la mobilisation des diplômés d’Audencia dans un réseau dynamique et convivial. En 2012, l’Association et l’Ecole ont rapproché leurs activités pour décupler et optimiser les moyens consacrés au développement de ce Réseau.

Le transfert des moyens opérationnels de l’association vers l’Ecole a permis de renforcer le pôle Alumni, de 4 à 8 collaborateurs. Le nouveau système de cotisation – prélevée en une fois lors de l’entrée des étudiants à Audencia – a fait quadrupler le budget annuel, avec une collecte plus simple et efficace, donnant au réseau la stabilité financière nécessaire à son développement à long terme.

Depuis 2012, l’association des diplômés et Audencia ont un fonctionnement paritaire pour définir le plan de développement du réseau. Les missions de l’association se recentrent sur l’allocation des budgets, la définition des axes stratégiques et la mobilisation des diplômés. Le déploiement opérationnel du plan d’action annuel est quant à lui pris en charge par le pôle Alumni.

Tout ceci a conduit à une réflexion sur la meilleure organisation possible et à la modification des statuts de l’association, considérant aussi l’évolution de l’engagement bénévole ces dernières années, les diplômés préférant s’investir pour porter des projets que rejoindre des organes de gouvernance. Ils attendent aussi plus de réactivité, d’agilité et de proximité.

La double gouvernance de l’Association – Bureau et Conseil de Surveillance – disparaît au profit d’un organe unique, le Conseil d’Administration, composé de 12 membres maximum, dont au moins un représentant étudiant. Pour refléter la diversité des diplômés d’Audencia, l’intention est d’intégrer dans le CA des alumni issus de différents programmes.

La proposition de modification des statuts a été adoptée à l’unanimité, lors d’un vote à bulletin secret et le nouveau CA a été élu. Autour de Flavie Lorre (GE 98 - Présidente), Anne-Sophie Ferry (GE 10), Ataf Nabli (GE 01), Jérôme Cador (GE 10), Ulysse Silva (GE 20) et Christian Hily (GE 99), reconduits, François Macé (GE 79), Jérôme Pasquet (MBA 06), Tristan Pelloux (GE 15) et Laure Bernuau-Diakov (ExecMBA 18) font leur entrée.

« Grâce à cette évolution, nous sommes sur de bons rails pour avancer sur les projets au service du Réseau et gagner en agilité. Nous faisons d’ailleurs appel à tous ceux qui veulent s’engager pour faire vivre et grandir Audencia Alumni. » conclut Flavie Lorre.

Retrouvez la présentation de l’AG (contenant le rapport opérationnel et les projets 2019).

 

Guy-Pierre Chomette, Rédacteur

 

Network talk

Des événements organisés par et pour des diplômés d’Audencia

Retour sur trois événements phare ayant animé l’actualité d’Audencia et de ses alumni depuis février dernier.

 

Diplômés et professeurs d’Audencia se retrouvent au Cap pour un dîner

À l'occasion de sa visite en Afrique du Sud, Jennifer Goodman, professeure à Audencia, a fait une halte à Cape Town pour aller à la rencontre d’anciens étudiants. Le rendez-vous a été pris le 27 février et pas n’importe où... chez Pierre Lambret, diplômé (GE 03). Ce dernier est désormais propriétaire du Plant, un restaurant végétalien en plein cœur du quartier central du Cap. Voilà un an et demi que cette adresse gourmande propose un véritable dépaysement gustatif.

 

Une soirée-débat 100% féminine

« Carrière : Les jeunes femmes font-elles vraiment des choix ? », tel était le thème de la soirée-débat organisée le 13 mars dernier au CCO de Nantes. L’occasion de découvrir en avant-première les résultats d’une étude commanditée par Audencia et Business au Féminin Network pour comprendre les mécanismes qui animent les premiers choix de carrière. Au programme : une soirée 100% féminine avec Christine Naschberger, enseignante-chercheuse en Ressources Humaines, Catherine Chassanite, Consultante Carrière à Audencia, Gwenaëlle Valenta, Responsable RH chez KPMG Région Ouest, Hélène Leroy (GE 14), Consultante secteur public - Pôle eau et milieux aquatiques (Espelia), Anaïs Hijos (GE 18) et Elia Guiheux diplômée de Centrale Nantes.

 

Le Cercle des Dirigeants a tenu son traditionnel rendez-vous

Autre événement qu’il ne fallait pas rater : une conférence sur le thème « L’argent : valeur, moyen, objectif ou tabou ? » organisée le 21 mars par le Cercle des Dirigeants, et ses deux ambassadeurs Sébastien Rouzaire (GE 91), Président Fondateur de Kerius Finance, et Philippe Serzec (GE 92), Associé Deloitte Transaction Services. Cette initiative a pour vocation de rassembler les diplômés de plus de 15 ans d'expérience, occupant un poste de dirigeant ou de direction dans leur entreprise. Pour répondre à la question qui animait cette soirée, Yann Boissière, rabbin au MJLF (Mouvement juif libéral de France) et président de l’association Les Voix de la Paix, animateur de nombreux séminaires et cercles de réflexion en entreprises, a décrypté le message de textes philosophiques et théologiques de différentes religions, d’Aristote à nos jours. A ses côtés, François Mollat du Jourdin (GE 85), fondateur de MJ&Cie (premier multi Family Office indépendant en France) est venu témoigner de son expérience dans l'accompagnement en Philanthropie & Mécénat. Et, pour ne pas déroger à la règle, cette conférence s’est conclue autour d'un cocktail. De quoi développer le réseau entre diplômés d’Audencia.

 

Florence Falvy, Rédactrice

 

 

Around the world

A la découverte de nos voisins européens

C’est l’envie de changer d’air et de quitter la vie trépidante parisienne qui a poussé Julien Bavencoffe (GE 11) à prendre la route à bord d’un van pour un tour d’Europe de 7 mois.

Parisien depuis 7 ans, Julien aspirait à un mode de vie plus calme, plus serein, mais aussi plus libre. En octobre 2017 nait l’idée de ce road-trip. Julien avait à cœur de poser le pied dans tous les pays européens avant son trentième anniversaire.

Sept mois plus tard, le van est acheté et il s’élance sur les routes avec son amie Jane. Au programme : découvrir ou redécouvrir certains pays, mais surtout aller à la rencontre de nos voisins. Un voyage itinérant de 23 000 kilomètres en Irlande, Ecosse et Angleterre, mais aussi à travers la Scandinavie, le Danemark, l’Allemagne, les pays baltes, la Pologne, la Hongrie, la Slovaquie, puis la Roumanie, la Bulgarie, la Grèce, la Macédoine, le Kosovo, la Serbie, la Croatie, la Bosnie, le Monténégro, l’Albanie pour enfin finir par l’Italie.

« Le mode de vie en van offre une grande liberté. On s’arrêtait où on voulait et on y restait le temps qu’on souhaitait. » 

De ce voyage, Julien gardera des souvenirs forts. Notamment des paysages norvégiens ou écossais, mais aussi de ses 30 ans qu’il a fêtés en Croatie. Un joli clin d’œil puisqu’il avait réalisé son semestre d’échange à Zagreb et n’y avait jamais remis les pieds depuis. Enfin la gentillesse des Albanais et des Roumains a profondément marqué Julien, il se souviendra longtemps de leur accueil.

« Ces pays ne sont pas du tout touristiques, mais nous avons été super bien accueillis. Les gens se sont intéressés à nous, à notre projet. Les Albanais et les Roumains sont très sympas, ils sont expansifs et chaleureux. »

Le retour à une vie plus sédentaire n’a pas été simple

 

« Le voyage nous a changé, on ne voit plus les choses de la même manière. Le confort n’est plus essentiel pour nous. On prend le temps de faire les choses, on apprécie chaque instant. Aujourd’hui, nous sommes adeptes du slow tourisme, je n’ai plus envie de prendre l’avion par exemple. Du coup, de retour dans mon appartement parisien, pourtant bien plus grand que le van, je me sentais à l’étroit, prisonnier, je manquais d’espace et de liberté. »

Julien a trouvé du sens dans ce voyage et souhaite aujourd’hui garder cela dans sa vie professionnelle.

« J’aimerais travailler dans l’Economie Sociale et Solidaire (ESS), soit en intégrant une structure de ce milieu, soit en montant mon projet. »

Et puisqu’un changement n’arrive jamais seul et qu’un retour aux sources s’imposait, Julien et Jane viennent s’installer dans la cité des ducs début avril.

On leur souhaite beaucoup de réussite et encore plein de beaux voyages !

En savoir plus

 

 

Amandine Luce, pour l'équipe Audencia Alumni

 

Around the world

Partez en immersion grâce aux Learning trips !

Londres, Haute-Savoie, Istanbul, Glasgow... De janvier à mars, c’était la période des Learning trips, une expédition pour découvrir les différentes cultures entrepreneuriales dans un esprit collaboratif. 

« Permettre aux étudiants d’aller se confronter aux entreprises, en France ou à l’étranger, et aller à la rencontre de professionnels de leurs secteurs », tel est le principe des Learning trips* lancé voilà un an par Audencia, explique Marika Garrel, Directrice des Etudes des Masters Spécialisés (MS).

Ces voyages d’immersion, qui se déroulent de fin janvier à mi-mars sur une durée moyenne de 4 jours et 3 nuits, deviendront à compter de septembre 2019 « un élément de la maquette pédagogique commun à tous les MS », c’est-à-dire aux six déjà existants (SMED, MCI, MOS, MDC, MASC, FRC) auxquels s’ajouteront deux nouveaux programmes, dès la rentrée prochaine : APTE et MFM.

Un grand réseau

Autre nouveauté à venir : les étudiants des programmes MASC et APTE partiront à l’étranger en même temps. Parmi les destinations privilégiées : Hambourg, la capitale de l’énergie éolienne.

L'Objectif ? « Créer un sentiment d’appartenance et de communauté entre les différents programmes MS ainsi que des connexions entre les différents profils ».

Car c’est aussi tout l’intérêt de ces Learning trips : favoriser les croisements. Par exemple, cette année, un diplômé Bachelor (bac +3) à Londres a accueilli des étudiants en MS (bac +6), les MCI ont été accueillis par un MOS, un diplômé IMM a accueilli les MDC et organisé un afterwork à Istanbul...

Dans un esprit de co-construction

Ces Learning trips sont également l’occasion pour les étudiants d’être pleinement acteurs de ces voyages immersifs et ce, « dès le choix de la destination ». Dans une démarche de co-construction avec le directeur de chaque programme, une équipe de 3 à 5 étudiants est chargée, sur la base du volontariat, de l’organisation en amont et sur place, en sachant que 2 à 3 visites d’entreprises sont prévues. Par exemple, les étudiants en MS MDC partis à Istanbul ont opéré en duo. A chaque binôme, un thème (commerce, sécurité, architecture...). Le matin, c’était visite en commun et, l’après-midi, place à l’immersion dans la ville. Avant de déboucher sur un livrable papier. De quoi permettre « un retour et un partage d’expériences ».

*Les frais (déplacement et hébergement) sont inclus dans le programme.

 

Florence Falvy, Rédactrice

 

Patronage & support

Fondation Audencia : montée en puissance

Placée sous l’égide de la Fondation de France, la Fondation Audencia poursuit sa mission au service de l’Ecole. Le programme des bourses va être intensifié en 2019.

Créée il y a dix ans par trois entreprises – l’Oréal, le CIC Ouest et le Noble Age (aujourd’hui LNA) – pour soutenir les projets stratégiques d’Audencia dans le domaine de la recherche, de l’innovation pédagogique et de l’ouverture sociale et culturelle, la Fondation Audencia accompagne le rayonnement de l’Ecole en France et à l’international.

Lors du dernier Comité Exécutif qui s’est tenu en janvier, les administrateurs de la Fondation (entreprises, diplômés, professeurs et directeur général d’Audencia) se sont félicités d’avoir atteint l’objectif des 1 250 000 € de dons en 2018.

« Entamée en 2016, la levée de fonds auprès des diplômés gagne en puissance, avance Françoise Marcus, Déléguée Générale de la Fondation Audencia. Nous comptons 420 donateurs privés en 2018 contre 183 en 2017. Au-delà même des montants collectés, la culture du don s’enracine progressivement et c’est là notre but ».

2018 a également vu la création de deux nouvelles chaires, l’une sur le financement de l’innovation et l’autre sur l’intelligence des territoires, et le financement d’une learning expedition au CES de Las Vegas par les membres fondateurs du club CADO, le Club Audencia des Dirigeants de l’Ouest.

Pour 2019, l’objectif de la collecte s’élève à 1 100 000 €. Côté actions, outre le financement traditionnel des projets de recherche, des innovations pédagogiques et des bourses d’ouverture sociale et culturelle, la Fondation souhaite mettre en place un programme de bourses de scolarité beaucoup plus ambitieux, axé sur l’hybridation des compétences. Il s’agit d’aider à l’émergence de créateurs de valeur innovants et responsables. Ce programme reste bien sûr tourné vers l’ouverture sociale, notamment à travers des aides apportées à des personnes qui ne sont pas éligibles aux bourses d’Etat mais qui rencontrent néanmoins des difficultés financières.

« L’Ecole doit renforcer toujours plus son rôle d’ascenseur social » souligne Françoise Marcus.

La totalité des bourses de vie et des bourses de scolarité devrait s’élever à 300 000 € en 2019

Autre grand projet de la Fondation pour 2019 : aider Audencia à rester en avance dans son approche prospective des compétences et des modes d’apprentissage de demain en créant un dispositif spécifique.

« C’est un élément différenciant de l’Ecole qu’il s’agit de préserver » dit encore la Déléguée Générale de la Fondation. 

Rapport annuel 2018

 

Guy-Pierre Chomette, Rédacteur

 

Innovation hub

Les journées de l’Alliance, conjuguer les savoirs pour innover en équipe

Avez-vous entendu parler des Journées de l’Alliance, le rendez-vous annuel de l’hybridation des compétences, proposé par les trois écoles de l’Alliance Centrale – Audencia – ENSA Nantes à leurs étudiants de première année ?

Partageant la conviction très forte que c’est aux interfaces des savoirs et des expériences que naissent les projets innovants et porteurs de valeur, les trois écoles ont depuis longtemps créé des passerelles en formation, entrepreneuriat, recherche et innovation, afin de renforcer l’hybridation des compétences et amener sur le marché des profils multi-compétents. Avec deux incarnations emblématiques : les doubles-diplômes – d’ingénieur-manager notamment – et les workshops tels CityLab ou Mobiance.

Conçues par les équipes pédagogiques des trois écoles, les Journées de l’Alliance, qui ont eu lieu les 12 et 13 mars derniers, en sont une autre grande incarnation. Ces deux jours ont pour objectif de faire découvrir à un millier d’étudiants, de première année du Programme Grande Ecole d’Audencia et de Centrale et de troisième année de l’ENSA Nantes, la richesse des confluences entre chacune des formations et la fécondité du partage des compétences qu’ils y acquièrent.

Au programme, 24 ateliers en mode design thinking avec des thématiques allant de « Become a sports reporter » à la création d’un tramway sensoriel, en passant par la création d’un livre pour enfant et la mise en scène de la ville la nuit par la lumière. Et puisque l’on parle de créativité, comment ne pas mentionner le poulailler urbain ou « MurMur » l’appli qui raconte l'histoire des murs de nos bâtiments et maisons, récents ou anciens, de leur imagination à leur construction, prototypés par les étudiants au cours de ces ateliers.

Deux journées pour apprendre à rechercher des solutions à des problèmes complexes en équipes pluridisciplinaires, cela préfigure des situations bien connues de nombre de diplômés expérimentés dans leurs entreprises.

Pour revivre deux intenses journées créatives en images Photos

 

Florence Alix-Gravellier, pour l'équipe Audencia Alumni

 

Business corner

Partager et témoigner auprès des étudiants : pourquoi ? Réponse avec Delphine François Chiavarini (GE 97)

Du 21 au 24 janvier dernier, s’est tenue à Audencia la 1ère Career Connections Week, coproduite par des équipes de la Direction des Relations Entreprises et Diplômés, associées à la Communication et à la Grande Ecole : un format inédit, professionnalisant et propice aux échanges, pour faire se rencontrer et dialoguer les étudiants du programme Grande Ecole, les entreprises et les diplômés.

Parmi ces derniers, Audencia a eu l’honneur d’accueillir Delphine François Chiavarini (GE 97), vice-présidente du groupe Moen Incorporated. Expatriée à Cleveland (USA), elle fait partie des 3 400 diplômés Audencia qui travaillent aujourd’hui à l’étranger. Elle n’était pas revenue à l’Ecole depuis sa diplomation, mais elle a choisi d’intervenir lors de Career Connections Week.

Fin janvier, Delphine François Chiavarini a donc pris la parole lors d’une table-ronde en langue anglaise, intitulée « 1st job: How to start your career on the right foot!”. Il faut dire que le profil de Delphine en la matière est inspirant : après un début de carrière en France, elle a passé 6 années en Suisse avant de s’envoler pour les Etats-Unis, où elle travaille depuis 2014.

Un beau profil de femme dirigeante d’entreprise à l’international, qui a su inspirer nos étudiants !

 

Delphine, pourquoi revenir témoigner devant les étudiants ? Comment avez-vous vécu ce moment ?

« Cela faisait 22 ans que je n’étais pas revenue à Audencia ! Je pense que ce qui m’a motivée à revenir à l’Ecole, c’est de la curiosité et surtout l’envie de partager, donner une perspective et témoigner de mon expérience personnelle. Je souhaitais échanger avec des étudiants qui doivent se poser des tonnes de questions ! »

Lorsque nos diplômés reviennent à Audencia, c’est en effet pour les aider à mieux appréhender la réalité du monde de l’entreprise, à construire leur parcours, mais aussi pour reconnecter avec leur Ecole et ses acteurs, et pour rencontrer les jeunes générations, qui seront peut-être de futurs collaborateurs !

Chers diplômés, pourquoi pas vous ?

 

Lauranne Heaume, pour l'équipe communication

 

Itineraries

Nominations

Quelques Audenciens ont changé de poste ces derniers mois :

  • Quentin Bassi (GE 07) est nommé Head of Operations Europe chez BAM Karaoke Box
  • Adrien Beuriot (GE 04) est nommé Responsable de la Gestion d’actifs immobiliers pour l’Europe continentale, chez Aviva Investors
  • Pierre Castelain (GE 09) est nommé Manager - Solution Consulting - Presales  - Southern Europe, chez Anaplan
  • Jean-Arnold Coutareau (GE 94) est nommé Associé au sein des activités conseil en opérations de marché et informations financières, chez Pricewaterhousecoopers
  • Olivier Eglem (GE 10) est nommé Responsable Acquisitions Résidentiels, chez Scaprim
  • Didier Gaffinel (GE 87) est nommé Responsable mondial du Coverage et de la Banque d’Investissement, chez Crédit Agricole CIB
  • Florian Galizia (GE 16) est nommé Associate, chez Capital Mind
  • Pierre Gauthier (EMP-MBA 06) est nommé Directeur du Développement International, chez Dr Banner
  • Marie Nedorezoff (GE 97) est nommée Directrice Générale, chez Midi2i
  • Léopold Salasc (GE 04) est nommé Directeur du centre d’affaires entreprises, chez LCL Marseille Provence PME
  • Guillaume Ten Have (GE 13) est nommé Directeur, chez Capital Mind

 

Félicitations à eux pour ces belles nominations !

Et si vous aussi, vous souhaitez nous signaler un changement de poste ou une création d’entreprise, écrivez-nous à audenciaalumni@audencia.com

 

Emilie Tendron, pour l'équipe Audencia Alumni