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Musique 3.0 : au plus près des artistes

En musique comme dans d’autres domaines, la propriété n’a plus la cote. Place à l’expérientiel ! Co-fondateur de la start-up DoubleOone à San Francisco, Boris Frochen (GE 03) fait le point sur les nouvelles tendances de consommation musicale.

Pouvez-vous revenir sur l’aventure DoubleOone ?

Boris Frochen : Créée il y a deux ans et demi, DoubleOone est à la fois une agence et un label. Une agence car nous produisons des événements inspirationnels et expérientiels, que ce soit du marketing évènementiel pour de grandes marques ou des évènements type teambuilding à destination des grandes entreprises de la Silicon Valley. Un label également, car nous produisons des groupes en ouvrant les studios d’enregistrement à différents publics pendant que des artistes y enregistrent leurs œuvres. Cela ne s’est encore jamais fait. Nous souhaitons aller au cœur de la créativité musicale, ouvrir ce monde aux néophytes et créer des passerelles entre le monde créatif de la musique et le monde de l’entreprise.

 

Y a-t-il un marché pour ce nouveau type de consommation musicale ?

Boris Frochen : Dans l’écosystème musical actuel, une grande part du chiffre d’affaires potentiel est laissée sur la table - selon une étude Nielsen, ce sont près de 3 milliards de dollars qui s’envolent chaque année ! Ce que l’on appelle aujourd’hui les music superfans cherchent à avoir des expériences, à être confrontés à leurs artistes préférés de manière plus intime et régulière. DoubleOone crée ce degré d’intimité et d’échange. Plus généralement, les millénnials préfèrent l’expérience à la propriété. Inutile de revenir sur l’ampleur qu’a pris le streaming dans les usages liés à la musique ! Ce qui les intéresse, c’est l’expérience unique auditive et visuelle dont ils peuvent reparler et partager sur les réseaux sociaux.

 

Comment consommerons-nous de la musique demain ?

Boris Frochen : Tout ce qui est physique s’est écroulé au profit du streaming et d’une certaine vision de l’accession expérientielle à la musique. La prochaine étape est la participation à des expériences musicales uniques, d’anthologie, de manière physique ou en ligne, en réalité virtuelle, en 360. Mettre un casque et vivre en direct un concert que Radiohead donne à Londres alors que vous êtes en rase campagne. Ou une session d’enregistrement dans un studio DoubleOone ! Une vision exceptionnelle, un son de très grande qualité… On pourra y intégrer des avatars pour que le public interagisse et pose des questions en ligne aux musiciens. C’est vers ce genre de produits et de services que l’audience va désormais vouloir aller.

 

Guy-Pierre Chomette, Rédacteur

 

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Quand la musique rythme une carrière professionnelle

Travailler dans le milieu de la musique tout en exerçant une fonction traditionnelle (finance, marketing,…), c’est possible ! La preuve avec le portrait de deux diplômés.

Rien ne prédestinait Enzo Ungauer (GE 18) à faire une carrière dans la musique, et pourtant ! A 26 ans, il occupe le poste de Manager Marketing & Artist Relations chez Steinway & Sons France, la plus prestigieuse des marques de piano.

« La concrétisation d’un rêve ! »

L’organisation événementielle et la relation avec les artistes rythment aujourd’hui son quotidien. Mais n’allez pas croire que cette passion pour l’instrument est née dès son plus jeune âge.

« Ma mère a toujours souhaité que je fasse du piano et, à l’époque, cela ne m’attirait pas », se souvient-il, davantage adepte des sports extrêmes.

Seulement, une mauvaise chute au ski en décida autrement. Pour passer le temps, il commence à 16 ans le piano et découvre la musique classique. « Je suis tombé amoureux de Chopin. » Jusqu’à une rencontre décisive avec Jean-François Zygel, qui anime l’émission culturelle La Boîte à musique. Puis c’est à 20 ans que Enzo donne son premier concert sur un piano Steinway... bien-sûr ! Chez cette marque, qui le fait tant rêver, il y a un dicton : « Tu y restes six mois ou toute ta vie ». Vous l’aurez compris, Enzo est bien décidé à y jouer toute sa carrière.

Comme lui, Gabrielle Nicot-Bérenger a également pratiqué le piano. Diplômée IMM en 2012, celle qui a grandi dans un climat musical exerce à Londres depuis 5 ans. Après diverses expériences dans l’industrie musicale (Believe Digital, Music Glue...), la jeune femme de 29 ans intègre Ignition (société de labels et management d’artistes) en août 2018 comme Digital Manager. Son rôle : gérer la présence des artistes en ligne et les interactions avec les fans (réseaux sociaux, sites web, e-mails...).

« Au début, c’était un univers complètement inconnu mais, à Londres, les gens y sont très ouverts. Ce qui me plaît le plus : travailler avec les artistes, mettre leurs idées à exécution... Et ce domaine évolue en permanence au gré des nouvelles technologies », explique-t-elle.

 

Florence Falvy, Rédactrice

 

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Festivals et RSE : le local à l'avant-garde

La France compte chaque année près de 2 000 festivals de musique qui participent pour beaucoup à la première place du pays comme destination touristique mondiale. Et la RSE dans tout ça ? Focus sur le festival « Hors Tension » de Port-Saint-Père, près de Nantes, avec Erika Logeais (GE 98) qui s’y implique bénévolement depuis 2015.

 

La quatrième édition de Hors Tension s’est tenue début juin. En quoi peut-on dire que ce festival va dans le sens de la responsabilité sociale des entreprises ?

Erika Logeais : À dire vrai, nous n’avons pas vraiment pensé la démarche RSE en amont. Mais de fait, plusieurs engagements du festival s’y apparentent, et notamment sa spécificité : Hors Tension est un festival 100 % acoustique. Nous tâchons d’être le moins gourmand possible en électricité, donc tous nos formats musicaux se jouent sans aucune amplification sonore. Pour certains artistes, c’est un challenge ! Il y a une proximité avec le public qui n’existe pas dans les grands festivals. Les artistes jouent dans des petits lieux comme des jardins privés que les habitants ouvrent pour l’occasion.

 

Comment êtes-vous organisés ?

Erika Logeais : C’est une initiative d’un collectif d’habitants pour faire vivre le village autour d’un projet culturel. La musique a quelque chose de fédérateur. L’idée est d’impliquer les habitants dans l’organisation. Nous sommes tous bénévoles et particulièrement concernés par les questions de citoyenneté et les problématiques environnementales. En terme de gouvernance, nous sommes une association loi 1901, mais nous n’avons que des co-présidents ! Nous fonctionnons sur un système de vote collectif pour les grandes décisions, de façon très participative et collaborative. Il s’agit aussi de travailler en transversal, comme par exemple faire intervenir ensemble plusieurs acteurs de la commune, écoles, mairie, associations… En termes citoyens, cela a du sens ! J’ajouterais que la programmation est pensée pour plaire à toutes les générations et que notre politique tarifaire est volontairement très accessible.

 

Quelles mesures prenez-vous pour la protection de l’environnement ?

Erika Logeais : Nous utilisons classiquement les bacs de tri sélectif de la commune bien sûr, mais nous allons plus loin en essayant de limiter la présence de plastique pour la partie alimentation. Par exemple, les cornets en papier remplacent les barquettes de frites en plastique. Nous impliquons aussi au maximum les producteurs locaux, notamment au travers de partenariats avec des producteurs de légumes bios. Par ailleurs, toute la décoration est faite à base de récupération, des objets de seconde main prêtés par des ressourceries locales ou récupérés dans notre réseau.

 

Guy-Pierre Chomette, Rédacteur


 

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La culture comme pilier d’Audencia

Avec la RSE et le sport, la culture fait partie des piliers de la formation à Audencia. Que les arts et la culture soient une passion ou une véritable vocation professionnelle, les possibilités sont nombreuses à Audencia !

 

Les associations étudiantes

Il existe de nombreuses associations étudiantes qui prônent chacune à leur façon la culture. Le programme Grande Ecole fait figure de proue avec pas moins de sept associations culturelles ! Ainsi le BDA, le Cogen, Equinox, Les Hallucinés, L’In-édit, Isegoria ou bien encore Shamrock font vivre différents types d’arts à Audencia.

Mais les autres programmes de l’Ecole ne sont pas en reste. Audencia Bachelors, par exemple, a son « Bureau des Clubs » qui, chaque année, donne la possibilité aux étudiants de participer à différentes activités : photo, vidéo, théâtre, danse, musique… Le panel des options artistiques est renouvelé en fonction des talents des nouvelles promotions !

 

La culture au sein des programmes d’Audencia

La créativité et la culture sont globalement encouragées à Audencia, y compris au sein des programmes : Mastère Spécialisé Management de la Filière Musicale, Majeure Management des Institutions Culturelles en collaboration avec le Musée du Louvre, Majeure Création et Production Audiovisuelle, voie Double Compétence Beaux-arts, parcours cinéma d’animation/gaming… Les opportunités sont nombreuses en fonction des affinités de chacun !

 

Les initiatives individuelles

Lisez, écoutez, faites tourner ! C’est la devise de Platine, le projet de Manon Novaretti, étudiante à Audencia SciencesCom. Nos étudiants donnent en effet parfois vie à de belles initiatives artistiques individuelles. Ici, le projet est d’envoyer chaque semaine des pépites musicales et littéraires dans la boîte mail des abonnés. 

 

Nantes, ville culturelle

Audencia, c’est un aussi un fort ancrage à Nantes, ville de sa création, or la capitale du Grand Ouest bénéficie d’une vaste offre culturelle. Ainsi, il y a plusieurs années déjà, le journal anglais Sunday Times avait désigné Nantes comme "the loopiest city in France" soit en français « la ville la plus déjantée de France ». L'article évoquait, entre autres, les Machines de l'île, les expositions à la HAB Galerie, Claude Ponti, la Cantine du Voyage et la Villa Cheminée… Tout un programme à (re)découvrir à la veille des vacances d’été, alors que le Voyage à Nantes redémarre !

 

Lauranne Heaume, pour l'équipe Communication

 

Campus life

Les rendez-vous de la rentrée à ne pas manquer !

La rentrée de septembre est la période la plus chargée de l’année à Audencia, et pour cause ! Afin de souhaiter la bienvenue dans l’Ecole aux nouveaux étudiants et de les sensibiliser à cette notion de réseau dès leur arrivée, de nombreux événements sont organisés.

 

En avant le programme

Plus de 2 000 primo-entrants vont venir grossir les rangs d’Audencia à compter de la rentrée de septembre. L’occasion de les accueillir comme il se doit. Dès le pas de la porte franchi, le message est clair :

« Dès aujourd’hui, vous faites partie du réseau des alumni. »

Pour une entrée en matière réussie, une journée d’orientation sera donc tout d’abord organisée pour leur présenter le campus et son fonctionnement, avec en guise le mot de bienvenue du Directeur de programme. A noter que des lunettes de soleil logotées seront distribuées à cette occasion à l’ensemble des étudiants.

Dans la foulée, l’événement, « Career kick off » sera renouvelé pour la deuxième année consécutive à destination des Masters internationaux. Il s’agit d’une demi-journée pour prendre sa carrière en main ! Une plénière avec un guest speaker aura pour vocation de sensibiliser à l’importance de bien networker, de prendre des contacts... Puis trois sortes d’ateliers seront proposés avec des entreprises, des consultants carrière (articuler son CV...) et des diplômés.

Enfin, comme les années passées, l’événement « International Day » animera cette rentrée, le 10 octobre. Au cours de cet après-midi, quatre diplômés internationaux seront invités pour faire part de leurs expériences et partager leurs conseils à l’occasion d’une table-ronde animée par une consultante carrière. Objectif : retracer de belles histoires et donner envie aux étudiants d’agir sans tarder pour une carrière à l’international.

 

Et ce n’est pas fini...

A noter aussi que, dès la fin août, l’heure sera aux festivités avec l’accueil des EuroMBA, du 26 au 30 août, pour leur séminaire résidentiel à Nantes. Au programme : une semaine sur la RSE en entreprise puis un événement networking avec l’ensemble des diplômés MBA le 29 août. Et l’on peut préciser, d’ores et déjà, que d’autres événements seront proposés aux étudiants pendant les premiers mois de l’année académique : Audencia Talents, des Career Connections Days, Future Leaders Day et encore…

 

Florence Falvy, Rédactrice

 

Campus life

Lydia et Pascal aux commandes de la cafétéria

Plus de 600 cafés par jour ! Sans compter les autres boissons, les sandwichs, les salades… Gérée par Lydia Blon et Pascal Boismain, la cafétéria de l’Ecole ne désemplit pas et s’impose comme la place centrale du village Audencia.

Verdure, lumière, volume : la cafétéria d’Audencia ne manque pas d’arguments pour attirer le chaland. Ouverte de 8h à 18h, l’atmosphère qui s’en dégage invite à la pause-café autant qu’au travail, seul ou à plusieurs.

« Étudiants de différents cursus, professeurs ou personnel de l’Ecole, ils sont nombreux à venir y travailler en groupe », constatent Lydia et Pascal, respectivement 26 ans et 5 ans de bons et loyaux services à la cafétéria. « Des réunions plus ou moins longues qui reflètent la première de ses missions : ce lieu sert de lien entre des gens de divers horizons mais qui ont tous l’Ecole en commun ».

Avec ses huit mètres de hauteur de plafond et son vaste comptoir, l’espace peut accueillir jusqu’à 400 personnes sans prendre des allures de métro parisien aux heures de pointes.

« Nous n’avons malheureusement pas vraiment le temps de nous attarder avec chaque personne qui vient à la cafétéria », expliquent Lydia et Pascal. « Nous essayons d’être réactifs tout en restant à l’écoute de leurs attentes ».

Depuis quatre ans, un système de réservation baptisé Tomorrow permet aux consommateurs de réserver leur déjeuner en ligne dès 7h30 du matin. Une innovation qui a facilité le travail de Lydia et Pascal et leur permet de scinder en deux le flux des clients à midi. Autre service : sur commande des différentes directions de l’Ecole, la cafétéria prépare et livre dans les locaux des petits déjeuners ou des déjeuners de travail.

« Nous sommes pleinement intégrés à Audencia et c’est très agréable. Nous ne sommes pas un prestataire de services extérieur implanté dans les murs, nous sommes des collaborateurs à part entière. En terme de considération, ça change tout ! On participe aux activités, on nous appelle par notre prénom, bref, on fait partie de la grande famille Audencia ! » concluent Lydia et Pascal, conscients de la valeur ajoutée que la cafétéria apporte quotidiennement à Audencia.  

 

Guy-Pierre Chomette, Rédacteur

 

Campus life

Nouveaux programmes et distinction en Chine

Double diplôme avec Sciences Po

Sciences Po Saint-Germain et Audencia proposeront un double diplôme dès la rentrée 2019. Un cursus qui s’inscrit pleinement dans la volonté commune des deux écoles de développer des partenariats de haut niveau, favorisant l’hybridation des compétences et l’interdisciplinarité dans la formation des futurs cadres. Objectif de ce partenariat : permettre à des étudiants de Sciences Po Saint-Germain d’intégrer le Programme Grande Ecole de l’institution nantaise pendant leur cursus, alors que des étudiants d’Audencia feront le chemin inverse. Ces derniers pourront accéder à différentes spécialités : « métiers de l’Europe et de l’international », « métiers du droit et de l’action publique » ou encore « métiers de la culture / parcours politique de communication et action publique ».

 

Lancement d’une filière « art de vivre »        

Dès septembre 2020, des étudiants français et internationaux pourront suivre une formation spécifique axée sur les savoir-faire français, notamment dans le domaine des spiritueux, grâce à un programme conjoint imaginé par la communauté d’agglomération de Grand Cognac, le Centre Universitaire de la Charente et Audencia. La palette de formation s’étend du Bac+3 à la formation professionnelle : le Programme Audencia Bachelor (Bac+3) ouvrira ainsi une spécialisation « Culture et Management des Spiritueux », pendant laquelle les étudiants bénéficieront de l’expertise des professeurs de Segonzac pour appréhender ce secteur économique, dont la Spirits Valley en Charente représente 80% du chiffre d’affaires de la production française. Par ailleurs, un Master of Science French Art de Vivre (art de vivre à la française), dispensé en anglais, pourra accueillir une quarantaine d’étudiants. À la clé, un diplôme de niveau Bac+5 permettant par exemple d’occuper des postes contribuant au développement de ces marchés à l’étranger.

 

Un Prix en Chine pour Audencia

Le Global University China Career Union a décerné à Audencia le prix “Professional Service Collaboration”. Il distingue ainsi l’engagement de l’Ecole au service de la carrière de ses étudiants et diplômés en Chine. C’est une reconnaissance de la qualité du dispositif qu’Audencia a mis en place et du travail d’accompagnement de l’équipe des consultants Carrière de l’Ecole, qui est distinguée (avec 32 autres écoles) parmi plus de 1 000 institutions d’enseignement supérieur. Une récompense d’autant plus importante que la Chine représente un des piliers de la stratégie internationale d’Audencia : son campus Shenzhen Audencia Business School depuis 2016 et son Cooperative Center for Studies en collaboration avec Beijing Institute of Technology dès 2014 en sont les grandes illustrations.

 

Jordi Soude (SciencesCom 07), Rédacteur

 

Network talk

Une leçon de résilience

« Se reconvertir, s’expatrier, changer de mode de vie… Rebondir, c’est avant tout prendre un nouvel élan, mais c’est aussi notre capacité à surmonter les épreuves de la vie » a résumé Laetitia Lienhard (GE 17), Journaliste aux Echos et Animatrice de la table ronde IDxA du 2 juillet dernier.

Question rebond, les 4 alumni qui sont intervenus en connaissent un rayon ! Tour à tour, ils ont exposé aux 160 diplômés présents leur histoire de vie.

  • Marija Alabjeva (IMM 17) : Marija est lettone. A 18 ans, elle quitte son pays pour avoir de meilleures opportunités. Elle arrive seule en France, un pays qu’elle ne connaît pas. Sans soutien moral et financier, elle traverse 2 à 3 ans compliqués, enchaîne les petits jobs et apprend le français. « J’ai persévéré et j’ai réussi à m’inscrire à la fac de Nantes, puis à intégrer Audencia. Aujourd’hui, j’habite à Paris et je suis Consultante senior en Management des organisations, ça valait le coup ! »

 

  • Pénélope Bœuf (GE 07) : Le bac en poche, Pénélope obtient une licence de droit et un diplôme d’Audencia. Elle ne sait pas trop quoi faire et enchaîne les jobs : Century Fox, Publicis, Oui FM, M6, Groupon… Elle finit par monter sa boite : « Ça a bien fonctionné, on a été repéré et on a vendu la société. J’ai récupéré un gros chèque… Et là, c'est la descente aux enfers. Que faire de ma vie ? Je me suis dit ‘’ça suffit d'enchaîner les jobs qui ne me plaisent pas’’ et j’ai lancé mon podcast ‘’l’Arnaque, mes histoires de vie racontées’’». Drôle de coïncidence pour celle, qui, petite déjà, voulait raconter des histoires… 

 

  • Etienne Cassagne (GE et MOS 09) : Après Audencia, Etienne a passé 8 ans chez Coca en événementiel et marketing. « J’ai commencé à prendre du recul sur l’entreprise avec un grand ‘’E’’ et je me suis rendu compte que je voulais être plus proche des gens ». Il s’est formé à la communication non violente et a profité de l'accompagnement carrière d'Audencia. « Je ne savais pas où j’allais mais ce n’était pas grave. Ce sont les étapes qui comptent, pas la destination ». Le projet a mûri et Etienne a monté High Five Consulting (société de coaching et conseil en organisation). Aujourd'hui, il accompagne des sportifs et dirige le MOS.

 

  • Jérôme Pasquet (MBA 06) : Jérôme a co-fondé 10-Vins, la nespresso du vin, avec 2 associés. Une belle expérience entrepreneuriale de 7 ans qui s’est soldée par une divergence d’opinion. « On était arrivé au bout d’un cycle et on ne voyait plus les choses de la même façon. J’ai quitté mes fonctions de DG, ça a été dur, cette start-up était mon bébé. Une association, c’est d'abord un CDD avant d'éventuellement se transformer en CDI ». Aujourd’hui, Jérôme a tourné la page et a créé Peek’In, un service digital qui facilite la restitution d’objets trouvés dans les hôtels.

 

Puis, Michaël Jérémiasz est intervenu. « une leçon de vie » pour certains, « un discours qui remet les idées en place » pour d’autres. Bref, un témoignage d’une rare intensité qui n’a laissé personne indifférent.

Michaël, devenu paraplégique à 18 ans à la suite d’un saut à skis périlleux, a vécu plusieurs vies en une : 4 médailles aux Jeux Paralympiques, n°1 mondial, vainqueur des 4 tournois du Grand Chelem, porte-drapeau de la Délégation Française à Rio, auteur et conférencier.

Tout en humour et en autodérision, il est revenu sur son parcours.

« Un an après l'accident, en novembre 2000, je commence à m’entraîner au tennis en fauteuil. Au départ, je n’ai pas aimé, c'est dur quand tu as connu le sport debout. J’avais des ampoules plein les mains mais je voulais aller plus loin. D’après mon frère, ce sport était fait pour moi : ‘’Avant, tu étais bon mentalement et techniquement mais tu avais un jeu de jambes pourri, le problème est réglé !’’. Dès 2001, j’ai été sélectionné pour un stage en équipe de France. C’est le sport qui m’a permis de me créer une nouvelle identité.

Aujourd’hui, je vois le verre à moitié plein et je veux en profiter. J’ai une envie profonde de vivre et m'éclater ! Je veux aussi contribuer à une société plus juste et banaliser la différence. Une personne handicapée doit pouvoir avoir une vie sociale, des amis, des enfants...Ma quête de sens c’est ‘’est-ce que ça sert autre chose que mon intérêt personnel ?’’ ».

Inspirant…  

 

Vous n’y étiez pas et vous voulez en savoir plus ? Retrouvez :

 

Amandine Luce, pour l’équipe Audencia Alumni

 

Network talk

Homecoming day : la pression monte !

Inattendu, émouvant, inoubliable : le premier Homecoming Day d’Audencia vous accueillera le samedi 12 octobre au sein de l’Ecole. Trois cents diplômés sont attendus pour cette journée de fête et d’émotion à ne rater sous aucun prétexte !

Programme des festivités

« Cinq ans de promo, ça se fête ! L’Ecole nous propose de tous nous retrouver à Nantes pour un retour aux sources dans une ambiance festive. Il paraît même que l’Ecole surprendra… Rendez-vous le 12 octobre ! » s’enthousiasme Gustave de Campigneulles (GE 14).

« Je fais partie de ceux dont les meilleur(e)s ami(e)s aujourd’hui sont des camarades de promo, témoigne quant à elle Estelle Marie (GE 04). Revenir à l’Ecole, c’est revenir sur les lieux de ces amitiés naissantes. C’est aussi l’occasion de revoir d’autres membres de promo qu’on a perdu de vue mais qu’on a plaisir à recroiser. Rencontrer d’autres diplômés, revoir Nantes… Autant d’arguments pour se précipiter au Homecoming Day du 12 octobre ! On n’hésite plus, on booke billets de train et hôtel ! »

Dès 13h, l’Ecole ouvrira ses portes pour vous recevoir. Souvenirs, souvenirs : à peine passé le hall d’entrée, c’est toute une page de votre vie étudiante qui remontera à la surface. Des amis de promo aux professeurs en passant par les lieux, les soirées, les assos et même les périodes de révisions : bien des recoins de votre mémoire vous rattachent à votre Ecole.

À 14h, Christophe Germain, Directeur Général d’Audencia, et Flavie Lorre (GE 98), Présidente d’Audencia Alumni, lanceront les festivités. Peu après, confortablement installés dans l’amphi Edit de Nantes, une série de flashbacks vous entraînera dans la grande aventure d’Audencia, au fil du temps, lorsque l’Ecole s’appelait encore Sup’ de Co, Ecole Atlantique de Commerce ou SciencesCom. Que vous soyez diplômé(e) PGE, IMM, Bachelor ou encore MS MOS, vous voyagerez dans l’univers d’Audencia, d’hier à aujourd’hui.

16h : sans perdre le rythme, une visite immersive et animée de l’Ecole vous sera proposée, en compagnie de celles et ceux qui font Audencia aujourd’hui. Cette plongée au cœur d’Audencia vous aidera à mettre en perspective vos propres souvenirs avec les enjeux actuels.

Vers 18h, un temps libre ne sera pas de trop pour retrouver les anciennes connaissances, en faire de nouvelles ou partir retrouver les quartiers de Nantes où vibre encore votre vie étudiante.

19h15 : il sera alors grand temps de vous diriger vers le cœur de l’île de Nantes, dans un lieu prestigieux encore tenu secret, pour une soirée inoubliable avec dîner étoilé (menu prestigieux concocté et présenté par le Chef Etoilé Jean-Yves Guého) et dance floor endiablé. Incontournable !

 

Audencia Homecoming Day s'adresse à toutes les promotions qui célèbrent leur 1, 5, 10, 15, 20, ... 50, 55 ans de promo.
N’hésitez pas à diffuser l’invitation. Trophée spécial pour la promotion la plus représentée !

 

Inscrivez-vous rapidement pour profiter du tarif préférentiel (valable jusqu’en juillet 2019).  

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Guy-Pierre Chomette, Rédacteur

 

Network talk

Retour sur trois événements ayant marqué l’actualité d’Audencia

Visite privée de l'entreprise Le Voyage à Nantes, le retour du gala Bachelor, l’événement du Cercle des Dirigeants à Roland Garros... D’avril à juin, les diplômés d’Audencia Nantes ont eu maintes occasions de se croiser.

Pour commencer, rien ne vaut une plongée dans les coulisses de l'entreprise Le Voyage à Nantes, un acteur incontournable de la scène culturelle locale. Une visite privée à laquelle ont participé 60 Alumni, le 25 avril dernier. Stratégie, développement, ambition internationale, pluralité des métiers... Aurélie Peneau (Mahti 89), Directrice du Développement Touristique du VAN, a déroulé une présentation de cette société publique locale, suivie d’une visite des locaux. L’occasion aussi de dévoiler la programmation estivale.

Après 12 années d’absence, le gala Audencia Bachelor a quant à lui fait son grand retour le 25 mai. Objectif de cette initiative portée par des étudiants du programme : rassembler les publics des cursus de l’Ecole mais aussi célébrer les 40 ans de la première rentrée du programme. Ainsi, 200 personnes (diplômés, étudiants, professeurs et membres de l’équipe) ont pu partager cette soirée riche en animations et en échanges, mettant à l’honneur le tissu associatif de l’Ecole et la dynamique d’Audencia Bachelor Network.

Pour finir, le Cercle des Dirigeants, qui rassemble les diplômés de plus de 15 ans d'expérience, a initié, le 6 juin dernier à Paris, un nouveau format de rencontres : un petit-déjeuner débat exclusif, suivi des matchs de tennis-fauteuil à Roland-Garros. Florence Alix-Gravellier, médaillée des Jeux Paralympiques de Pékin en 2008 et Responsable du Pôle Audencia Alumni, et Etienne Cassagne (GE 09), Dirigeant de la société de consulting High Five Consulting, sont intervenus sur le thème « Handicap & Performance, du sport à l’entreprise ». Organisé par les ambassadeurs Sébastien Rouzaire (GE 91) et Philippe Serzec (GE 92), l’événement a réuni une vingtaine de diplômés.

 

Florence Falvy, Rédactrice

 

Around the globe

Un parcours qui se joue en plusieurs actes

On peut regarder la vie d’une expatriée comme un spectacle composé de plusieurs tableaux. C’est ainsi que l’on va retracer le parcours d’Eve Le Gall (GE 05). Partons, pour cela, à plus de 17 000 kilomètres de Nantes, direction Sydney en Australie. C’est ici qu’elle a posé ses valises voilà 12 ans, après quelques allers et retours sur d’autres continents.

« En Australie, tout me plaît ! Le cadre de vie est assez exceptionnel, le climat extrêmement agréable et le mode de vie détendu », s’exclame Eve, qui s’y est installée en 2007, à Brisbane plus exactement, deux ans après avoir obtenu son diplôme Grand Ecole.

L’envie de « faire un break », se souvient-elle. De formation littéraire, elle avoue un certain goût pour la culture. Pas étonnant lorsque l’on grandit aux côtés d’une mère qui évoluait dans le milieu du théâtre. C’est donc sans surprise qu’elle fait ses premiers pas professionnels dans un centre culturel spécialisé dans les spectacles vivants tout d’abord, pour promouvoir une tournée de l’Opéra de Paris, puis différents spectacles, de la comédie musicale à l’opéra.

A l’image des artistes qui sillonnent le monde au gré des plus grandes scènes internationales, elle va alors se lancer dans un tour de monde pendant environ 9 mois et parcourt l’Asie, la Russie, le Moyen-Orient... avant de revenir à Sydney et d’intégrer, pendant 6 ans, l’opéra pour l’orchestre symphonique. Elle y décroche un poste de marketing puis évolue vers la fonction de Responsable Communication digitale et nouveaux médias. Avant de s’envoler pour le continent américain et de travailler pendant un an pour le New-York City Ballet au Lincoln Center, la scène centrale des arts du spectacle.

« Il s’agit de l’un des plus grands centres d’art vivant avec 11 compagnies résidantes ! »

« Il faut oser »

Depuis l’année dernière, Eve a de nouveau mis le cap vers l’Australie où elle travaille au sein du Sydney Harbour Trust, comme Directrice Marketing. Cette agence du gouvernement australien a pour vocation de gérer les sites culturels situés autour du célèbre port local. En contrat pour deux ans maximum, elle dit rester à l’écoute des opportunités pour peut-être écrire un nouveau chapitre à son histoire. Et même si elle ne nie pas certaines difficultés liées notamment à l’éloignement, elle est convaincue à 38 ans, qu’il faut oser s’expatrier et ne pas laisser ses peurs prendre le dessus.

 

Florence Falvy, Rédactrice

 

 

Around the globe

Nico Laruina, Baryton et Marketer

Travailler au marketing d’un grand groupe et être chanteur d’opéra… Impossible ? Pas selon Nico Laruina, diplômé d’Audencia (EIBM 09) et aujourd’hui cadre chez Nestlé. Il parcourt le monde, le week-end et pendant ses congés, pour chanter les plus grands airs d’opéra. Cet Italien atypique et polyglotte (il parle six langues) nous raconte comment deux vies professionnelles très denses peuvent se conjuguer.

Malgré sa réussite, tout n’a pas été si simple pour l’artiste :

« J’avais commencé une belle carrière de chanteur qui s’est arrêtée en 2006, à cause de problèmes sur mes cordes vocales. J’ai donc bifurqué vers des études de marketing dont un MBA à Audencia. J’étais un peu atypique dans cet univers très différent de celui de l’Opéra. Tous les gens que je côtoyais étaient déjà immergés dans le monde du business, avec des codes et un vocabulaire que je ne connaissais pas. Il a fallu que je m’adapte ».

Après avoir entamé un parcours professionnel dans de grands groupes, notamment chez L’Oréal (pour les marques Lancôme ou Bodyshop), Nico Laruina décide de remettre sa passion sur le devant de la scène et reprend sa carrière de chanteur en 2014. Le Basse Baryton va alors sillonner l’Europe pour incarner des rôles de premier plan comme celui de Figaro dans l’Opéra de Mozart.

Ce sont alors deux carrières professionnelles qu’il faut mener de front pour le jeune homme :

« Il faut simplement être très bien organisé et avoir un minimum de flexibilité du côté de l’entreprise. Par exemple, j’ai besoin de prendre trois semaines consécutives de congés pour partir en tournée, je dois chanter au moins deux heures par jour… C’est une passion très prenante mais que les différentes entreprises dans lesquelles j’ai travaillé ont toujours acceptée, et cela n’a jamais freiné ma carrière ».

Et c’est le chanteur qui est parfois sollicité par l’entreprise : « Lorsque j’étais en poste chez Reckitt, on m’a demandé de chanter, accompagné par un pianiste, devant 400 ou 500 personnes pour la fête de Noël ».

 

Pour Nico, l’Opéra et l’entreprise ne sont pas des activités si différentes :

« Quand on est face à un client ou à ses équipes et que l’on a besoin de les convaincre, de les entraîner avec nous, on monte aussi sur scène, comme lorsqu’on chante en public ». Et si vous lui dites que son parcours est exceptionnel, Nico Laruina fait preuve d’une humilité désarmante : « Je n’ai rien d’extraordinaire. Ou tout du moins, je ne suis pas plus extraordinaire que certains de mes collègues qui ont un travail très prenant et qui s’occupent de leur famille le reste du temps ».

Actuellement en poste chez Nestlé à Cologne, Nico repart en tournée cet été pour chanter, entre autres, dans le Don Giovanni de Mozart ou encore dans La Bohème de Puccini.

 

Jordi Soude (SciencesCom 07), Rédacteur

 

Patronage & support

MS Management de la filière musicale : soutenez la diversité !

La première promotion du MS Management de la Filière Musicale verra le jour cet automne. Véritable innovation, le programme prendra tout son sens s’il peut donner à des étudiants passionnés de musique, la chance d’accéder à une formation en grande école, grâce à leur seul mérite. La Fondation Audencia collecte des fonds pour financer des bourses de scolarité destinées aux étudiants issus de milieux moins favorisés.

Lancée en partenariat avec Campus M, cette nouvelle formation se veut ouverte à la grande diversité des profils attirés par le secteur musical. À la tête de cette initiative, Angelo Gopee, Directeur Général de Live Nation, témoigne :

« Beaucoup de gens ont les compétences mais ne peuvent se payer des études supérieures. On ne peut pas laisser les gens de la minorité exclus de la diversité de la culture. Il faut aussi leur donner leur chance. Nous voulons proposer des bourses à ces personnes qui ont cette volonté, cette ambition, cette passion pour le secteur musical ».

En effet, la filière musicale française a plus que jamais besoin de jeunes cadres qualifiés issus d’origines sociales diverses pour continuer à croître et rayonner au-delà des frontières. Pour Audencia et Campus M, impossible d’ouvrir une formation dans la musique si elle ne s’adresse pas à des jeunes qui sont déjà acteurs du milieu, mais qui ne peuvent s’acquitter des frais de scolarité du Mastère. L’enjeu est sociétal : il s’agit d’aider des jeunes issus de la diversité en soutenant leur désir d’entreprendre dans le secteur des industries créatives et culturelles.

Alors que le coût de la formation avoisinera les 15 000 € par an, Audencia et Campus M mettent en place un système de bourses pour la rendre accessible au plus grand nombre. Objectif d’ici fin août : rassembler 112 000 € pour financer sept bourses de scolarité et dix équipements informatiques.

En passant par la Fondation Audencia, vous pouvez flécher vos dons vers le Mastère Spécialisé Management de la Filière Musicale, les bourses de scolarité et/ou les équipements informatiques des étudiants. Ils ouvriront droit à une déduction fiscale de 66% du montant du don de l’impôt sur le revenu (dans la limite de 20% du revenu imposable) ou de 75% du montant du don de l’impôt sur la fortune immobilière (dans la limite de 50k€/an). Quant aux entreprises, leurs dons ouvrent droit à 60% de déduction sur l’impôt sur les sociétés (dans la limite de 0,5% du CA HT).

 

Guy-Pierre Chomette, Rédacteur

 

Innovation hub

Le phénomène « Podcast »

De Ouest France à 20 Minutes en passant par France Inter, le podcast est devenu un support privilégié par les médias, avec une offre désormais pléthorique. Si les radios ont été naturellement les premières à investir ce support, de nombreux acteurs, y compris les marques, se positionnent aujourd’hui avec de nouveaux programmes.

« Nous sommes vraiment dans une période d’expérimentation, explique Estelle Prusker, Responsable des études Médias à Audencia Sciencescom et par ailleurs animatrice d’une table-ronde consacrée au phénomène Podcast lors du dernier Web2day. « Un enrichissement de l’offre qui mise sur le fait que l’audience globale augmente, mais il n’y a pas encore d’outil de mesure fiable pour les podcasts. Ce qui pose le problème de la monétisation de ce support. »

A Audencia Sciencescom, les étudiants ont touché de près les problématiques liées aux podcasts en planchant sur le lancement de Majelan, plateforme de diffusion créée par Mathieu Gallet (ex-PDG de Radio France) et Arthur Perticoz. Les 37 étudiants du Master 2 Medias ont ainsi réfléchi à l’offre, l’expérience utilisateur ou encore le modèle d’abonnement de ce nouveau média.

Si le podcast est déjà utilisé dans le cadre de cours à Audencia, l’Ecole va passer un cap dès septembre prochain en proposant aux enseignants chercheurs qui le souhaitent, de se former au support. De son côté, Vincent Lefebvre, Professeur associé à Audencia, a lancé en septembre 2018 sa propre chaîne de podcasts, avec l’aide de ses étudiants. Elle s’adresse aux entrepreneurs novices ou experts, les professionnels de l’accompagnement, les étudiants, les enseignants et les chercheurs en entrepreneuriat. La première saison (16 épisodes) visait à répondre à différentes questions : quand se sent-on devenir un entrepreneur ? Quel événement marque ce passage ? Perd-on son identité d’entrepreneur au fur et à mesure que l’entreprise se structure ?

« Le podcast permet vraiment de se concentrer sur le fond, d’avoir une très bonne interaction avec son interlocuteur, explique Vincent Lefebvre. Et c’est l’occasion pour nos étudiants d’aller à la rencontre d’entrepreneurs dans un cadre bien défini, avec des aspects techniques très simples à gérer ».

Une saison 2 de cette série devrait voir le jour l’année prochaine : « en 16 épisodes, nous n’avons pas fait le tour de la question », conclut Vincent Lefebvre.

Ecouter les podcasts

Et un podcast à suivre, par Pénélope Boeuf (GE 07) :

L'arnaque

 

Jordi Soude (SciencesCom 07), Rédacteur

 

Itineraries

Parutions

 

 

« Les innovations managériales - Donner du sens à la transformation »

Quelles sont les logiques sous-jacentes aux innovations managériales ? Dans quelle mesure contribuent-elles à la performance de l’entreprise ? Comment les salariés, managers et dirigeants leurs donnent-ils du sens ?

Pour donner au lecteur toutes les clés d’un management innovant, ce livre est complété de recherches et d’études de terrain ainsi que de cas d’entreprises.

Thibaut Bardon - Nicolas Arnaud - Clara Letierce - Editions DUNOD - 2019

 

 

 

 


« L’enseignement supérieur français : acteur mondial »

Premier livre blanc co-édité par Audencia et NEOMA.

Pour la première fois, Audencia et NEOMA s’associent pour publier un livre blanc sur la stratégie des business schools à l’international.

Facultés et étudiants internationaux, accords d’échanges ou de doubles diplômes dans le monde entier, implantation de campus dans d’autres pays, accréditations, stages et emplois à l’étranger. L’ouvrage détaille les multiples facettes qui traduisent cette volonté de développement global.

 

 

"Go France - The guide to working in France"

Rédigé avec l'aide de professionnels des ressources humaines et d'anciens étudiants internationaux, Go France est le fruit d'un effort conjoint du Centre de carrières d'Audencia et de l'équipe d'Audencia Alumni.

Il a pour objectif de fournir aux étudiants internationaux des lignes directrices professionnelles pour travailler en France, des ressources et des outils utiles, mais aussi des informations sur la vie en France et le contexte culturel que les étudiants internationaux vont vivre.

Suivez les conseils de Nonso et "mettez votre français en pratique" ! Passez à la page 25 pour voir ce qu'il a d'autre à dire.

 

 

Vous êtes diplômé(e) et avez publié un ouvrage ?

Faites-le nous savoir en nous envoyant un mail à : audenciaalumni@audencia.com

 

Emilie Tendron, pour l'équipe Audencia Alumni

 

 

Itineraries

Nominations

Quelques Audenciens ont changé de poste ces derniers mois :

  • Séverine Aleon (GE 99) est nommée Directrice Financière chez PRISMA MEDIA
  • Olivier Becker (GE 00) est nommé Head of Absolute Return High Yield & Convertible Bonds chez Oddo BHF Asset Management 
  • Alison Chamussy (GE 05) est nommée Directrice Marketing France et Benelux chez SPOTIFY
  • Thomas Courtois (GE 97) est nommé Président chez NICKEL
  • Laurent Derbois (GE 83) est nommé Associé chez MBA Capital
  • Jérôme Estampes (GE 92) est nommé Directeur Financier chez Groupe GUERBET
  • Rémi Fontenais (FRC 14) est nommé Compliance Advisor chez AXA Investment Coordinator
  • Pierre Gauthier (EMP-MBA 06) est nommé Director International Development chez Dr Banner
  • Laurent Gauzi (GE 97) est nommé Executive Advisory Lead France Belgique Luxembourg chez Avanade
  • Maxime Germe (GE 07) est nommé CFO Iberia chez BREITLING
  • Elodie Huet (GE 01) est nommée Directrice de l’Expérience Clients chez AVENTIM
  • Léonard Laval (GE 17) est nommé Chief of Staff to Managing Director chez DOCTOLIB
  • Stéphanie Le Gohebel (GE 98) est nommée Directirce CFA – IA Intelligence Apprentie chez CCI Nantes St Nazaire
  • Jean-François Le Martret (GE 81) est nommé Directeur Général Adjoint chez Groupe GUERBET
  • Estelle Marie (GE 04) est nommée South Europe Director chez French Founders 
  • Karim Mary (GE 15) est nommé Compte Clef Logistique chez MARS
  • Stéphanie Maschiella (GE 05) est nommée Counsel in the Tax Law practice chez Arendt & Medernach
  • Sylvain Noel (GE 06) est nommé Marketing Scientist Senior chez Agence IOOCX
  • Vincent Roux (GE 04) est nommé Président chez Réseau Entreprendre Atlantique
  • Christos Yannicopoulos (GE 91) est nommé Directeur Général chez TESSI IBERIA

 

Des Audenciens ont lancé leur entreprise :

  • Arnaud Barres (GE 91) est Fondateur et Directeur Général chez GAME PARTNERS
  • Sophie Roule (GE 01) est Fondatrice de Involuté Vins & Evènements

 

Félicitations à eux pour ces belles nominations et belles créations d’entreprises !

Et si vous aussi, vous souhaitez nous signaler un changement de poste ou une création d’entreprise, écrivez-nous à audenciaalumni@audencia.com

 

Emilie Tendron, pour l'équipe Audencia Alumni

 

Carnet de l'été

Qu’est-ce qu’on écoute/lit cet été ?

Pour ce numéro estival, diplômés et staff de l’Ecole se sont jetés à l’eau. Nous vous avons concocté la playlist Audencia à écouter sur la plage ; et sélectionné des livres, à bouquiner au bord de la piscine. C’est kitsch, c’est rock ou beaucoup moins. On ne se moque pas, ce sont nos goûts !

Découvrez la playlist de l’été :   

  • « Mala vida » de Mano Negra (Florence Alix-Gravellier)
  • « Moderator » de Words Remain (Matthieu Bonnamy)
  • « Les choses simples » de Slimane et Jenifer (Laetitia Caliez)
  • « Qu’est-ce que tu fais pour les vacances ? » de David et Jonathan (Arnaud Fournier)
  • « I loved the way » de Pina Kollars, car on ne peut pas s’empêcher de taper du pied au rythme de la chanson ou « Carry fire » de Robert Plant, car c’est un vrai stairway to heaven (Katie Francois)
  • « El Joven » du groupe jazz/gypsy/flamenco Barrio Manouche et « La Foule » du même groupe - produit par DoubleOone bien sûr ! (Boris Frochen, GE 03)
  • « Black Smoke » de Tay Oskee (Eve Le Gall, GE 05)
  • « Help me Stranger » des Raconteurs (Erika Logeais, GE 98)
  • « L’amour à la plage » de Niagara (Amandine Luce)
  • « Sunset Lover » de Petit Biscuit (Nushad Merchant)
  • « Black Star Dancing » de Noël Gallagher (Gabrielle Nicot-Bérenger, IMM 12)
  • « Happy » de Pharell Williams (Séverine Richou)
  • « On My Side » d’Adryiano (Enzo Ungauer, GE 18)

 

Ecouter la playlist

 

Besoin d’inspiration pour votre livre de chevet des vacances ? Découvrez notre reading list :

 

Toute la rédaction de the Mag vous souhaite un bel été ! Nous vous donnons rendez-vous à la rentrée pour le prochain numéro.

 

 Amandine et Séverine, pour l'équipe Alumni

 

Le mot de la fin

Merci d’avoir lu ce dernier numéro de The Mag avant l'été ! Nous vous donnons rendez-vous à la rentrée, après un petit break estival, pour le 10ème numéro (déjà !).

D’ici là, tout se passe sur Together. Créez votre compte, regardez les prochains événements à côté de chez vous et rejoignez les 11 400+ Audencia Alumni actifs dans le réseau.

Des idées de sujet ? Dites-nous si vous souhaitez voir aborder un thème en particulier dans les prochaines parutions ; et pour toutes vos questions, nous restons joignable à : audenciaalumni@audencia.com

Excellent été ! 

 

Votre team Alumni

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